Redistribution Inégalités De Revenu

SOCIOLOGIE Questions contemporaines « Inégalités et stratification sociale » Leçon 1 : Les inégalités économiques. La société française est une société inégalitaire qui peut être multidimensionnelle. D'une part, ces société sont plus ou moins égalitaires, et d'autre part nous étudierons d'abord celles structurante c'est-à-dire les inégalités économiques. Introduction : * S'interroger sur les inégalités économiques. Qui gagne combien ? Qui sont les riches qui sont les pauvres ? Qui

Impôt et inégalités de revenu en France au 20e - 15 Juillet 1914 : mise en place de l'impôt progressif sur le revenu : l'administration fiscale française établit tableaux statistiques qui indiquent la tranche de revenus et le montant des impôts émis. - Les inégalités de revenu visent à étudier la répartition inégale des ressources économiques perçues par la population française au 20e siècle (1914-1991). - On utilise des outils : niveau de vie, les déciles (mesure distribution des revenus et sépare

------------------------------------------------- L’impact des revenus de transfert sur les inégalités de revenus INTRODUCTION La société française fonctionne grâce à une organisation basée sur laproduction et la distribution. Cependant nous verrons que les inégalités des revenus sont préjudiciables d’un point de vue économique et social et que les revenus de transfert distribués par l’Etatpermettent de diminuer les écarts entre les catégories de ménages. La répartition sociale s’établie à partir

(subventions et aides aux entreprises = prestations sociales). Avec la R.I, les pertes de revenus font peur, c’est ce qui entraine de nouvelles formes de solidarité comme des politiques de redistributions qui ont un triple objectif : -réduire les risques de perte de revenu associé a certaines situations (maladie, chomage, accidents…), - réduire les inégalités issuent de la répartition primaire des revenus (justice sociale) . On utilisera alors la fiscalité. – garentir la paix sociale et favoriser

3,3 0,1 Allocataires minima de sociaux enmilliers Revenu minimum insertion d IRMll AtLocêtion adultes êux handicâpés IIAH) Attocation supptémentaire vieittesse IASVI (Æ51 Altocation sotidarité de spécifique Attocation parcnt lAPll de isoté Atlocation supplémentaire d invâtidité lAStl ALiocation d insertion et attocation temporajreâttente lAll d IATAJ Attocetion équi\.dtent retraite remplacement IAERI AtLocêtion veuyage IAVJ Revenu sotidarité de lRS0l Ensemblê minimâ des Sociaût ,:q-ilg'

Le cours Lorsque l’État intervient régulièrement dans un grand nombre de domaines de l’activité économique et sociale, on parle d’interventionnisme étatique. L’interventionnisme est né des échecs constatés du libéralisme : inflation, chômage, inégalités sociales... Mémo-cours Je me teste Toutefois, selon l’époque ou le lieu, cet interventionnisme varie grandement ; ainsi, si la France est historiquement une économie de « tradition interventionniste », la plupart des pays occidentaux, comme

pour Tocqueville, la démocratie entraîne la moyennisation de la société. L'égalité des individus rend les inégalités de moins en moins supportables. Les combats pour les réduire se font de plus en plus nombreux. De ce fait, à terme pour Tocqueville, la démocratie et ces combats permettront la disparition des inégalités, entraînant ainsi la fin des classes sociales. Pour autant, ces inégalités n’ont pas disparu puisqu’on continue, de nos jours, à en observer. Les frontières entre les classes sont toujours

interventions pour l’Etat-providence, face à des évolutions sociales récentes (entrée des femmes sur le marché du travail, vieillissement de la population, inégalités croissantes,…). Les trois leçons de l’ouvrage visent à modifier la conception traditionnelle (qui vise à réparer les solutions les plus difficiles pour les individus ou à remplacer les revenus perdus) en prenant en compte la situation individuelle de chacun. Etat-providence et société industrielle Bruno PALIER fait ici un rappel sur la

réduire les inégalités associées à inégale distribution des revenus. (Se promener dans un parc public visiter un musée ou passer les épreuves du baccalauréat). B) la valeur ajoutée et sa mesure La notion de valeur ajoutée correspond aux richesses crée par les entreprises. Elle se définit comme la différence entre le chiffre d’affaires et les consommations intermédiaires détruites ou incorporé au produit fini. La valeur ajoutée donne lieu à un partage : Les salaires Les revenus des propriétaires

à un processus d'étiquetage de stigmatisation qui mène à l'intériorisation du sentiment d'exclusion. 4) L’État a permis la prise en charge des différents risques sociaux : chômages, maladie, vieillesse, famille... Il verse des revenus d'assistance, redistribue des revenus et utilise des politiques spécifiques à destination de population discriminées. L’État tente d'assurer la cohésion sociale. Pour Serge Paugam Chômage Rupture du lien social et cumul des handicaps Exclusion : disqualification