Réductionnisme

une histoire progressive, accumulative et acquisitive ; et une autre histoire, également active mais où manquerait le don synthétique qui est le privilège de la 1ère. Cette conception permet davantage de penser la diversité des cultures, sans réductionnisme. 5. L’idée de progrès. A-ton raison de postuler l’existence d’un progrès dans l’histoire ? cette hypothèse d’une évolution paraît directement attestée par les faits. C’est ce que faisaient les historiens du début du siècle, en classant les

uniquement en fonction de leurs conséquences. Le déontologisme moniste fait dériver toutes nos obligations d'un seul et unique principe, comme par exemple l'impératif catégorique dans la doctrine de Kant. Le déontologisme pluraliste refuse un tel réductionnisme et affirme que les actions humaines sont à juger en fonction de plusieurs principes distincts, comme par exemple le devoir de ne pas faire de mal à autrui inutilement (principe de non-malfaisance), le devoir de se conformer aux engagements librement

importante . elle se focalise sur la recherche du pourquoi de l'emergence des mobilisation en d'autre termes elle s'en tient a la recherche de determinant lointains uniquement. 2) l'ambition nomologique : qui debouche sur une double forme de reductionnisme modelisateur: on se base sur un exemple historique precis ce qui ne facilite pas la generalisation par exemple. 3) labsence dune theorie de l'acteur : la difficulte est de trouver les liens entre micro et macro. il existe 3 dimensions explicatives

sécurité et de stabilité, tandis que pour d'autres, il peut être source d'ennui et de rigidité. De même, la taxonomie peut être vue comme un outil de compréhension et de catégorisation du monde, mais elle peut également être perçue comme une forme de réductionnisme qui ne rend pas compte de la complexité et de la richesse de la réalité. B. La place du hasard et de la différence dans l'utopieSi l'utopie selon Perec laisse peu de place au hasard et à la différence, cela ne signifie pas pour autant qu'elle

droit ne serait seulement qu’un symptôme d’un phénomène plus profond. On pourrait dire alors que sous le droit, on retrouverait : la lutte des classes, des idéologies politiques… Cet argument souffre d’un autre problème : le réductionnisme épistémologique. Ce réductionnisme consiste à réduire un phénomène à un autre. La conscience est-elle le produit du cerveau ? Nan. Si on admet que la pensée n’est que des réactions physico-chimiques, alors on réduit la pensée à la matière. Si on admet qu’il y

l’apprentissage, cela s’applique à tous le comportement et à l’éducation (modèle dirigiste). Limites : ne tient pas compte de la compréhension et la spécificité du matériel. 3. Le behaviourisme (1913-1950): Watson (1878-1956) Influencé par le réductionnisme (ramener tous les comportements à l’instinct), fait sa thèse en 1903 sur le rat. Behaviourisme : étude du comportement observable s’un sujet s’adaptant à un milieu, l’observation devient une revendication contre l’introspection. 1913 : écrit un

Josselyne Abadie   _____________   Quelques pistes de réflexion  Je pense que cette approche est à la fois incontestablement pertinente et effectivement risquée. Comme toutes les méthodes et approches complexes elle est exposée au risque de réductionnisme, mais de plus, sa formulation comprenant beaucoup de contradictions et d’ambiguïtés, elle offre des failles - voir un alibi - dans lesquelles des intervenants peuvent s’engouffrer. Nous connaissons notamment tous des abus en matière de manipulation

définit et appliquer est voué à disparaitre sous la pression de ses contradictions interne. Marx a une approche globale du capitalisme, pas seulement en tant que système économique, mais aussi en tant que société et moment historique, il réfute le réductionnisme de Smith et Ricardo autour du marché, mais préfère élargir sa réflexion sur les désordres sociaux mis en place par la révolution industrielle. 2) Les schémas de reproductions du capitalisme Marx perçoit des déséquilibres internes au capitalisme

l’existence des individus, c’est bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes, non ce qui est réellement. L'esprit est déterminé par ses conditions matérielles d'existence, par tout ce qui l'entoure. Ce point de vue matérialiste conditionne ensuite le réductionnisme matérialiste, pour qui, l'esprit n'est pas un principe mais s'explique par autre chose que lui même. Ce qui signifie que l'esprit est determiné et s'explique par la matière. Nous aurions tous tendance à désirer l'esprit plutôt que la matière puisqu'elle

différence profonde entre analyses stratégique et culturaliste des organisations. Puis nous terminerons cette première partie avec Bourrier, répondant aux critiques méthodologiques et conceptuelles de d’Iribarne en lui reprochant une autre forme de réductionnisme : une vision déterministe, mécaniste et psychologique de la culture, et définissant la vision de d’Iribarne comme « une conception vieillotte de la culture qui verrait qui verrait dans celle-ci un facteur d’influence mécanique des comportements