Reecriture Mythe Antique

faire surgir le merveilleux : A. L’omniprésence des mythes antiques ou médiévaux 1. la présence du merveilleux antique : l’ensemble du recueil met en scène les mythes antiques qui réactivent la dimension surnaturelle d’un poète qui se recommande d’une certaine « religion ». 1. La figure du Phénix récurrente à chaque fois que le poète met en abyme l’action poétique apparaît dans La chanson du Mal-Aimé, 2. Souvent associée au mythe d’Orphée évoqué dans la même Chanson ainsi qu’en plusieurs

Histoire du théâtre de l’Antiquité à nos jours Synthèse I-Le Théâtre Antique Etymologie : « Théâtre » vient du Grec « theatrôn » , lieu de la représentation et de la racine « théômaï » , « regarder , « contempler ».La drama ( action) est jouée alors par les protagonistes ( de « agôn » , combat , conflit et « protos » , premier), c-à-d les comédiens. 1) La Grèce ( VèS av J-C) -Le théâtre est né en Grèce au VèS av J-C , au cours des Dionysies , fêtes données en l’honneur de Dionysos. Tous

permet la «justification morale de la tragédie5». La catharsis, sorte de traitement homéopathique, «consiste, pour la tragédie, à traiter le tempéramenr plus ou moins émotif du spectateur par des émotions provoquées6». Deux exemples de choeur antique : celui de la Médée d'Euripide, mise en scène par Jean-Pierre Ronfard au T.N.M. en 1986 (photo : Robert Etcheverry) et celui d'Antigone de Sophocle, mise en scène par Louise Laprade à la N.C.T. en 1992 (photo : Bruno Braën). «Aucune situation

05.03.10 LE MYTHE ET L’ECRITURE Nous allons nous intéresser au mythe et à ses différents aspects, dont l’introduction et son évolution dans la littérature. Pour ce faire nous allons l’étudier dans un recueil de nouvelles et ensuite dans un passage en particulier. Au sens étymologique, mythe veut dire parole. Un mythe est un récit qui se veut fondateur d’une pratique sociale. Le mythe est une parole qui se réfère à des événements anciens chargés

Dans la première moitié du XXème siècle, le théâtre est fortement influencé par les mythes antiques. Ainsi, le mythe d'Électre inspire Jean Giraudoux, grand amateur en réécriture mythique qui décide de publier une pièce de théâtre éponyme en 1937 : Électre. La mort du héros, élément récurrent et important dans le dénouement de la pièce caractérise la plupart des tragédies. Dans cet extrait, un homme, le Mendiant, dévoile à des personnages les circonstances du meurtre d’Agamemnon, roi de Mycènes

particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies souvent grinçantes et d'œuvres à la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. Œuvre : Antigone Contexte historique L’Antigone de Jean Anouilh est inspirée du mythe antique, en rupture avec la tradition de la tragédie grecque. « L'Antigone de Sophocle » Le personnage d’Antigone est l'allégorie de la Résistance s'opposant aux lois de Créon / Pétain, qu'elle

'Electre' (1937), 'Ondine' (1939). Nommé commissaire à l'Information en 1939, il démissionne en 1940 pour se consacrer à la littérature. Le dramaturge meurt à Paris, le 31 janvier 1944, des suites d'une intoxication alimentaire. Inspiré par les mythes antiques, Jean Giraudoux mêle les grands thèmes classiques aux inquiétudes modernes dans un univers précieux, fait d'humour et de fantaisie. • Première représentation : la première d´Electre est donnée la 13 mai 1937 au théâtre de l´Athénée sous la

genre Objectif culturel : étudier le traitement du même mythe de l’Antiquité à nos jours Descriptif de la séquence La pièce avait été donnée à lire aux élèves quinze jours avant son étude. Séance 1 : Lecture / Oral. Connaître le mythe d’Antigone et le contexte de création de la pièce pour comprendre l’œuvre Cette séance propose aux élèves un travail en deux temps : 1) un travail d’enquête au CDI afin de définir ce qu’est un mythe et de découvrir celui d’Antigone et sa postérité littéraire

Agrégation interne de Lettres Modernes 2006/2007 Saint-John Perse Dissertation Par le mythe, l’homme primitif cherchait à s’approprier les forces qui régissent le monde, à les rendre intelligibles, à se les rendre favorables. Car qui dit mythe(s), dit rites : rite divinatoire, rite propitiatoire ou rite initiatique. Par le biais de l’histoire racontée, l’homme explique la nature dont il est tributaire par une sur-nature qui n’est pas la sienne et qu’il dit sacrée, avide de recevoir les sacrifices

constituée non seulement dans l’expérience clinique mais aussi dans celle de la littérature et des arts, et à partir de la lecture par Freud de Gradiva de Wilhelm Jensen, on effectuera un parcours dans des textes variés, empruntés à la tragédie antique aussi bien qu’au roman contemporain. Œuvres au programme : - Sigmund Freud, Le délire et les rêves dans la Gradiva de W. Jensen, précédé de Gradiva fantaisie pompéienne, Folio essais, 1986. - E.T.A. Hoffmann, L’Homme au sable, traduction de Loève-Veimars