Reecriture Mythe Antique

d'être interdite puis rejouée en 1677 (version épurgée). Pièce difficile à classer, comme le perso principal. Pièce qui a fasciné le public, élevée au rang de mythe moderne Pièce critiquée car elle ridiculise la religion en confiant leur cause au valet. Critiquée aussi à cause de la scène du châtiment final. Dom Juan est une réécriture de la pièce de Tirso de Molina : El Burlador de Sevilla (Le séducteur de Séville). Etude de l'oeuvre : Pièce d'une esthétique baroque -> choix de la prose, mvmt

visiter le château de Versailles. Polyphile, un des quatre membres cette la société du « Parnasse », décide de faire la lecture d’un de ses nouveaux chefs-d’œuvre, soit Les Amours de Psyché et de Cupidon. Ainsi, la trame est transportée à la Grèce Antique. Dans un royaume, se trouvait un roi, père de trois filles. La benjamine, Psyché, était reconnue pour son immense beauté et cela laissait souvent ses sœurs dans l’ombre. Vénus, reine de Cythérée, devint jalouse de Psyché car elle pensait en son cœur

cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges1. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre. » Parole dite par l’auteur de la réécriture d’Antigone : Jean Anouilh. Jean Anouilh (1910-1987) est un écrivain et dramaturge français. Fils d’un tailleur et d’un professeur de piano, il découvre sa passion pour le théâtre en 1923. Jean Anouilh fut un auteur à succès en remportant le Grand

ANTIGONE (PROLOGUE), JEAN ANOUILH Antigone c'est une tragédie moderne, c'est à dire une pièce de théâtre dans laquelle les personnages doivent mourir car ils sont soumis à leur destin et ils ne peuvent pas lutter contre. Elle a été inspirée du mythe antique de Sophocle (l'Antigone de Sophocle est une tragédie grecque écrite vers 441 av. J.-C). En 1944 durant la Seconde Guerre Mondiale (Occupation allemande), Antigone est représentée à Paris au théâtre de l’Atelier pour la première fois. L'auteur

son fils, le petit Démophon. L’émotion de l’enfant, plongé au cœur de ce désastre, est palpable dans ce récit sans ironie dramatique. Le lecteur est avec l’enfant, dans sa recherche et dans sa peur de donner du sens à ce qu’il voit. • Cette réécriture du mythe permet d’aborder avec simplicité les notions clefs de la tragédie (le dilemme, le rôle du divin, la fatalité, la lutte entre la raison et la passion) • Point de départ d’un voyage sans fin autour du personnage de Phèdre, dans tous les arts,

titre de simples pistes, les points suivants: - Sur la nécessité de rompre : a) Les générations passées imposent une culture de référence idéalisée et figée qui peut paralyser ou empiéter sur les initiatives des nouvelles générations (par exemple le mythe de mai 68, les formes d’arts reconnues et leurs canons, etc.) b) La vision du monde et de la société véhiculée par les anciennes générations n’est plus adaptée aux réalités familiales, sociales, économiques, et culturelles d’aujourd’hui (sociétés

Antigone Introduction Cette pièce est une réécriture d’Antigone de Sophocle, auteur tragique de la Grèce antique. Elle s’inspire du mythe mais dans une version modernisée (ajout de scènes…). Ce dernier s’est concentré sur Crénon, alors que Jean Anouilh a centré sa pièce sur Antigone. Les tragédies mettent les personnages devant des dilemmes. Ces deux protagonistes font preuve de hybris/hubris : Crénon car c’est un tyran qui élimine tous ceux qui se mettent en travers de son chemin, il empiète

illustres venus de l’histoire ou de la mythologie. Le mythe d’Œdipe est l’un des mythes les plus réécrits dans l’histoire de la littérature. Celui d’Antigone constitue la suite de ce dernier et forme avec lui ce que les spécialistes appellent la légende thébaine ou la lignée de Labdacides. Sophocle « n’a pas inventé de toutes pièces l’histoire d’Antigone, mais il lui donna la forme que nous lui connaissons dans son Antigone ».et depuis, ce mythe a été exploité par plusieurs écrivains. nous citons

cinématographie entre autres certaines de ses propres œuvres. En 1932, il écrit La Machine Infernale, une tragédie en quatre actes qui sera représentée pour la première fois en 1934 à la Comédie des champs Élysées. La Machine infernale est la réécriture de Cocteau du mythe d’Œdipe. Lorsqu’Œdipe nait, ses parents (roi et reine de Thèbes) entendent l’oracle, ils essayent de le déjouer en abandonnant leur fils au sommet d’une montagne, les pieds percés. Mais l’enfant de meurt pas, il est retrouvé par un berger

remarquer un vocabulaire technique de la sculpture très présent: "un tas d'argile"; "roche"; "madriers"; "baquets boueux"; "plâtre"; "planches"; "moulages"; "glaise", des phrases témoignant de l'accumulation de détails sur ce travail: "quelques moulages antiques, que la poussière amassée lentement semblait ourler de cendre fine". En plus d'étudier un milieu, L'Œuvre nous montre les autres caractéristiques naturalistes selon l'esthétique de Emile Zola. Pour lui, une œuvre d'art est "un coin de la création