Reflet

comme prétexte la chevelure d’Elsa. Nous l’étudierons en deux axes : I. La femme II. La souffrance I. La femme 1. La chevelure C’est l’élément déclencheur de la mémoire. En effet, ses cheveux blonds aux reflets roux lui font penser à un incendie : "et peigner sans rien dire un reflet d’incendie", "incendie", "feux", "cheveux d’or" et "cheveux dorés". La métaphore avec l’or est méliorative, elle rend compte de la beauté d’Elsa. Aragon fait une comparaison entre les cheveux de sa femme et

classe sociale et adulte. •Enfin le héros se caractérise par son absence de psychologie, d’épaisseur. Seuls ses gestes sont évoqués, le héros se définit par rapport aux objets comme dans le Nouveau Roman. •Ainsi il appartient au lecteur de remplir le reflet à sa guise.

s'eforce d'etre le miroir d'une societe 2 il amene aussi le lecteur a reflechir sur soit meme 3 mais il ne se contentepas de refleter il transmet aussi une vision du monde e mieux, avec ce sujet, est de tirer parti de l'image utilisée par Stendhal. Ce qui est suggéré, c'est que le roman ne serait qu'un miroir. C'est-à-dire que le roman le plus abouti serait une image, un reflet de la réalité qu'il capte. C'est bien l'ambition du réalisme qui voudrait rendre compte de ce qu'il observe sans ajouter

m’avance également qu’il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Il faut se détromper. Le bonheur n’est que ce chemin qui est la vie. Il faut l’apprivoiser et le vivre. En ce jour, j’ai envie de lui dire : « Ce que tu vois chaque matin au miroir, est le reflet de la persévérance du savoir être et la sagesse. Le chemin, tu l’as déjà aperçu et tu le trace parfaitement. J’envie en toi cette joie de vivre malgré tes déceptions. Je te respecte et je t’apprécie. Bon vent mon cher AMI… »

Chateaubriand veux nous faire parvenir à travers les paroles de René que la nature sert de référence à René, pour décrire ses sensations qui ne sont normalement pas représentables. La première fonction est qu’elle lui sert de miroir, de reflet pour exprimer ses etats-d’ames. En effet, on a par exemple dans(L-4-5), une comparaison triple entre sons et murmures, passions et vent et eaux, et un cœur solitaire et un désert. Cette comparaison est la meilleur façcon d’exprimer ses sensations

je suis en clos vivant et vrai comme on imagine les anges et non comme les reflets. » C'est un miroir dans la forme ovale est délimitée par les mots. C'est dans cet espace littéraire que le poète peut voir réfléchie son image. Mais ce n'est pas une image, c'est le nom du poète qui est écrit au centre de cet espace. C’est son image métaphorique. Il y a une comparaison : « Comme on imagine les anges et non comme les reflets. ». Ces trois éléments mis ensemble semblent ne pas avoir du sens, au moins

sentiments et l'excès des personnages permettent donc la catharsis et le choc, qui sont libérateurs pour le public. Le théâtre antique et classique met donc souvent en scène des personnages excessifs ou des situations exceptionnelles, qui ne sont que le reflet du monde et du public qui permet de réfléchir quant à la condition humaine et de canaliser ses pulsions.

parler, pour entrer en contact avec lui, elle voulut le toucher. Après qu'il eut repoussé ses avances, elle mourut. Face à cette impossible communication, Narcisse se croit indigne d'amour et incapable d'aimer. Il veut se retrouver en regardant le reflet de son visage dans une mare. À force de soupirer après son image, sans échange humanisant de paroles vivantes, il finit par mourir... Il est alors transformé en un narcisse, la fleur qui porte son nom. Il est important de se rappeler que Narcisse

même à son tour et de même ne puisse posséder l’objet de son amour ! » (Ovide, Métamorphoses). Lors d’une partie de chasse, Narcisse se penche sur une source pour apaiser sa soif et « séduit par l’image de sa beauté qu’il aperçoit, il s’éprend d’un reflet sans consistance, il prend pour un corps ce qui n’est qu’une ombre (…) il se désire, dans son ignorance, lui-même » (Métamorphoses). Le chagrin de ne pouvoir atteindre l’objet de son amour le fait mourir. Ainsi, par référence au mythe de Narcisse

Description : L'artiste s'est représenté assis de dos, en train de peindre. Il est face à sa toile et à un miroir. On voit le reflet de son visage dans le miroir mais ses lunettes masquent ses yeux. Le miroir est décoré de l'aigle américain. Sur la toile, le peintre a dessiné son visage rajeunit. Des esquisses et des petites reproductions de peintres célèbres sont accrochées à la toile. On reconnait : un autoportrait de Dürer, de Rembrandt, de Picasso et de Van Gogh. Le dessus du chevalet est