Registre Comique Dom Juan

Dom Juan, ou le festin de Pierre Molière Acte I, Scène première Introduction. Don Juan (1664) est une pièce créée par Molière (1622- 1673) pour permettre à sa troupe de vivre au moment où son Tartuffe avait été interdit suit à la cabale de la Compagnie du Saint Sacrement. Comme pour se disculper de toutes les accusations dont on l’a accablé et notamment l’athéisme, Molière tente de faire amende honorable en vouant aux enfers un libertin, un athée qui défie les puissances

châtiment • Geste qui signe fin est main donnée : emblématique du lien, contrat que DJ a repoussé pendant pièce et qui, littéralement, va l'entraîner • Ordre cérémonieux dernière réplique (présent de vérité générale, article défini) 2) Dom Juan reste fidèle à lui-même : a. Par rapport aux avertissements : Son rationalisme : • 'je veux voir' phrase rappelle croyance DJ qui croit que ce qu'il voit (2 et 2) • Essaye d'engager combat physique avec apparition tps • 'éprouver' : cherche

Vrai aussi en peinture : Picasso et ses maîtres : Rembrandt, Vélasquez, Goya, Ingres. La parodie : dégrader le modèle : un exercice iconoclaste pour rire, s'exercer, faire passer une intention plus profonde Le recours au burlesque ou au registre héroï-comique : Le Lutrin de Boileau ; Virgile travesti de Scarron ; Ubu roi, parodie burlesque et grotesque des héros tragiques, tout comme Le roi se meurt ; « Le crapaud » de Corbière : le poète est comme un crapaud, « rossignol de la boue », alors que

Acte I scène 1 Le texte étudié : Sganarelle Eh ! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois−moi, quel homme est Dom Juan. Gusman Je ne sais pas, de vrai, quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de voeux, de soupirs et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin

Dissertation Dom Juan ou le Festin de Pierre – Molière 1665 Le XVIIème siècle est le siècle de l'ordre, de la grandeur et du classicisme. Il commence en 1610 avec l'assassinat du roi Henri IV et se termine à la mort du roi Louis XIV en 1715. Le classicisme est un courant littéraire et artistique apparu en Europe au XVIIème siècle. Ce mouvement se base sur un ensemble de valeurs et de critères formant un idéal incarné dans l'honnête homme. Le classicisme a également développé une esthétique de

chargée de répondre à une question ou à une angoisse des hommes : si l'histoire de Don Juan est devenue un mythe c'est parce qu'elle peut représenter une réponse aux questions du délire et de le loi, du temps et de la mort. Par la même, le personnage échappe à une représentation précise, à un texte ou à une œuvre donnée. A l'origine du mythe de Don Juan, il y a sans doute des modèles réels : Exemple, Don Juan Tenorio aurait authentiquement vécu à Séville au début du XVI ème siècle, modèle de débauché

si les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent qu’à faire rire. Il est nécessaire, ici, de distinguer la comédie du registre comique, les dissensions entre ces deux aspects qu’on pouvait croire inséparables étant porteuses de sens. Annonce des axes : I- Les aspects comiques d’une pièce font rire (quels sont-ils? pourquoi font-ils rire?...) II- Le rire peut avoir une visée didactique (moraliser, enseigner, faire réfléchir, contester...) III- Un comique inséparable du

DOM JUAN: ACTE V SCENE 5-6 Intro : -bio Molière -Le personnage est éponyme (personnage = titre de l’œuvre) -Situation du passage : dénouement, D.J va être puni de ses pêchés PB : En quoi ce dénouement est-il original ? I.Les différentes représentations placées sur son chemin A.Le spectre - apparence : didascalie « en femme voilée » + « je crois connaitre cette voix » = femme déshonorées par D.J - personnage envoyé par le ciel : CL religieux « miséricorde du ciel » « se repend

rire. D'abord intéressons nous au comique de gestes. Ce type de comique dont les procédés résident en des gestes pouvant frôler le grossier du type coups de bâton ou chutes rappelle bien souvent la Commedia Del Arte. En effet, dans ce théâtre populaire italien l'un des personnages prénommé Pierro ne cesse de chuter de sorte que lors de chacune de ses entrées en scène, le public est dans l'attente de cette cascade. Par ailleurs, Molière utilisa régulièrement le comique de gestes dans ses pièces, ainsi

retour à la raison, l’harmonie, l’imitation des anciens. Il écrit Dom Juan en 1665, pièce dans laquelle il s’attaque à la médecine, la tyrannie des pères, la religion, sous des traits comiques qui engendrent le rire, par l’intermédiaire d’un personnage qui trouve dans les défis et les obstacles une raison d’exister et de se sentir vivant. Antoine Adams, dans Histoire de la littérature au dix-septième siècle, tome trois, juge la pièce Dom Juan de façon très catégorique : ainsi, le premier acte se développerait