Registre familier

Genres, registres, et tonalités  Registres et tonalités- Les registres : En musique, on désigne par là chacune des sections (grave, médiane, aiguë) de l'échelle vocale. En littérature, le mot a trois significations : on parle de "registre de langue" pour caractériser le niveau (familier, élevé ou soutenu, par exemple) d'un vocabulaire : au sens rhétorique, on parle de regsitre au sens d'un outil de classification des genres du discours (dans ce cas, la tragédie ou la comédie peuvent être considérées

est très longue). Relevez tout ce qui se rapporte: - Au genre de l'extrait (théâtre, nouvelle, poème...), - Aux registres (tonalités) employés (lyrique, pathétique...), - Aux types de discours (narr., arg., descr., explic.), - Aux thèmes évoqués, - Aux relations entre les pers., - Aux procédés et figures de style, - A la ponctuation, - Aux registres de langue (soutenu, familier, courant...) - A la construction de la phrase, - etc... Essayez de trouver tout ce qui caractérise chaque phrase

en gardant les caractéristiques de l’écriture naturaliste ? Ainsi, nous étudierons dans un premier temps la déchéance tragique de Gervaise, puis dans un deuxième temps l’indifférence des autres et pour finir l’esthétique naturaliste. 1) Registre tragique * Expression de la fatalité * Première phrase : expression « …ne dura que… » * ne laisse aucun espoir /Son sort est celé * exprime une lenteur des événements/ lenteur accentuée par des expressions comme «… petit à petit

essentiels à une bonne compréhension du récit. 4°) Les Registres courant, familier et soutenu : * Le registre courant : c'est le français standard, tel qu'on l'apprend dans les manuels scolaires (= c'est la langue utillisée dans la classe – en théorie -, dans les administrations, dans beaucoup de professions (un représentant qui parle une langue familière n'est pas pris au sérieux ou n'inspire pas confiance, etc...). * Le registre familier : c'est la langue que l'on utilise avec ses amis ou

«  Aux champs » Date de parution : le 31 octobre 1882, dans le journal Le Gaulois. Première édition : dans « les contes de bécasse » édité par ‘’Rouveyre et Blond’’ Courant littéraire : Le réalisme. Registre littéraire : Réaliste et pathétique. Registre de langue : Langage familier pour les Tuvache et Vallin, Langage courant pour les d’Hubières. Point de vue dominant : La focalisation zéro. Cadre spatial : à la campagne, proche d’une ville thermale «  Rolleport », dans deux chaumières

Le registre de ces deux textes est tragique, en effet, même s'ils ne datent pas de la même époque : " Andromaque", de Jean Racine étant publié en 1667, tendis que "En attendant Godot", de Samuel Beckette est publié en 1952, ils utilisent le même aspect du théâtre : la tragédie. Dans le premier texte, l'intrigue est typique, une personne (Oreste) en aime une autre (Hermione) mais celle -ci en aime une autre (Pyrrhus). Cependant, dans cette oeuvre, ce procédé est accentué, car celui-ci est répété.bOn

 Dans quels registres est représenté l'agonie d'Emma ? Mme Bovary est l’histoire  d’une jeune femme, Emma, qui, à cause de son esprit romantique, doit vivre la réalité en se réfugiant dans des lectures et des amants. Au moment où Emma comprend que ses dettes vont être révélées, elle tente en vain det rouver de l’argent et sollicite tour à tour Maître Guillaumin, Binet et Rodolphe. Son échec la conduit sur la seule voie qui lui reste : le suicide. Elle dérobe donc dans la réserve d’Homais

(incipit, milieu, excipit) ? 2- Quel est le type de discours ? Le texte raconte-t-il une histoire (discours narratif) ; explique-t-il une notion ? (discours explicatif) ; décrit-il un objet/ une personne (discours descriptif). 3- Quel est le registre du texte ? Est-il comique ? tragique ? pathétique ? lyrique ? épique ?… 4- Le thème du texte (le sujet) Plus particulièrement, il faut relever les éléments suivants : 1- Le paratexte (informations sur l’Histoire, les personnages : place de

mort car plus nerveuses et préoccupantes. Dès le début de l’œuvre, on remarque que la mort n’est pas vue par l’auteur comme étant un évènement inquiétant. En effet, sa mise à distance envers la fin se manifeste par l’utilisation d’un vocabulaire familier, presque enfantin : « moustiquaille », « bouquinaille ». L’anaphore « Je crains pas ça tellement » soutient l’idée d’un évènement quelconque, la répétition lui donnant un caractère habituel. Il voit la mort comme étant une chose sereine presque

autoritaire voire agressive, un volume sonore très fort, un débit de parole très élevé et une articulation qui mettait l’accent sur des propos désagréables. Le client a eu recours à un registre courant et par moment un registre familier. Moi : Je reste polie, à l’écoute de mon client. Je ne l’interromps pas, je garde un registre courant. Je ne change ni le volume sonore de ma voix, ni mon débit de paroles, j’ai recours à un ton plutôt affirmatif voire interrogatif par moment. J’essaie d’articuler afin de