Régression à l'infini

Pourquoi une telle question en premier lieu ? Parce qu’elle est au centre du questionnement philosophique, et qu’elle est un bon angle d’attaque pour comprendre ce qu’est, finalement, l’attitude philosophique. En effet, on l’a vu : le doute est à son origine. Reste à savoir jusqu’où il doit être poussé, et si ceux qui conseillent de le pratiquer sans aucune limite ne se trompent pas. Introduction Dans la pièce de théâtre « La vie est un songe », Pedro Calderon de la Barca met en scène un personnage

dissertation Peut-on tout démontrer? Nous avons tous en tête le grand tableau noir blanchi par la craie en cours de mathématiques, soit ces longues et fastidieuses démonstrations à partir d'une figure géométrique ou encore d'un problème posé. Par la rigueur qu'elle nécessite, la concentration, nous faisons peu appel à elle au sein de la vie quotidienne. Aussi pourrions-nous nous voir reprocher cette négligence, la démonstration étant au fond la seule démarche garante de vérité. Mais est-ce toujours

L E HASARD EXISTE - T - IL ? La première des évidences pour l'esprit commun, c'est que le hasard culmine dans un jet de dés, une pièce de monnaie jouée à pile ou face, dans les six tirages du Loto ou la donne au Poker. Notons d'ores et déjà que tous ces exemples sont liés à l'argent. Mais nous pourrions également considérer le hasard des rencontres, la tragédie d'un accident de voiture ou d'un crash d'avion, et même la météo. En effet, ce dernier exemple est un bon exemple de mauvais

épistémologiques et méthodologiques. On s’appuie sur un échantillon de comportements, on tire des inférences à propos des caractéristiques des sujets testés. Les conséquences peuvent être importantes pour le sujet. Les problèmes essentiels : ➢ Choisir des comportements à observer pour mettre en évidence la caractéristique. Il faut bien construire le test pour une bonne représentation. ➢ Il y a toujours des erreurs de mesure. Il faut pouvoir la quantifier, si elle est importante on ne peut pas prendre

être considérées comme des "erreurs systématiques" concernant la perception de la forme, de la couleur, des dimensions ou du mouvement de certains objets. Les architectes grecs en tenaient compte pour donner de parfaites proportions apparentes à leurs temples. À l'époque de la Renaissance, les peintres ont découvert les lois de la perspective, et réalisé des prodiges en matière de trompe-l'œil, créant réellement l'illusion d'objets en relief. Descartes tirait argument des erreurs visuelles pour supposer

des paramètres de quantification du risque de rendement d'un actif financier. pour remédier a ce problème Engle a introduit Le concept d'hétéroscédasticité conditionnelle rompant avec des modèles de régression reposant sur l'hypothèse d'homoscédasticité des aléas, dont on supposait de surcroît qu'ils étaient normalement distribués, ce qui a permet de mieux modéliser la volatilité saisonnière de nombreuses séries temporelles. Mieux

A.DEBBICHE COURS – LA SCIENCE II TES/S 2k19 Suite donc du cours sur la science, de la tentative d'élaborer un savoir vrai du réel, désormais il s'agit de s’intéresser quelque peu à la question de la démonstration, pourquoi ? Bien évidemment, l'objectif de la connaissance, ou du savoir est bien de viser la vérité, càd à tout le moins adequatio rei et intellectus / adéquation de la chose et de l'intellect, saisie adéquate de la chose telle qu'elle est réellement par l'esprit qui s'y intéresse

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La diffusion de ce recueil est strictement réservée à ------------------------------------------------- ESCP Europe. CONFIDENTIEL Non  Oui Remerciements Nos sincères remerciements au cabinet KPMG, particulièrement à Monsieur Raphael Jacquemard pour sa disponibilité et ses conseils tout au long de la réalisation de ce travail. Résumé : Les données ressortant des

qu’on détient à son sujet la vérité. Le philosophe est donc un amoureux de la vérité, c’est elle par exemple que Socrate poursuit sans relâche. De plus, avec la notion d’amour, on comprend que l’homme prend plaisir à chercher la vérité. Contrairement à ce qu’on pense en général, la vérité n’est donc pas une notion sévère et froide. La vérité est aussi une valeur pour d’autre domaine : la justice (l’erreur judiciaire révolte), l’histoire ou encore les sciences (par exemple Galilée a montré que la

« Le désir est l’essence de l’homme », a dit Spinoza. Le désir, la recherche de plaisir, de satisfaction dépassant le besoin « primaire », est ce qui guide les actions de chacun. Peut-on alors faire ce choix : se libérer du désir, ou bien, libérer le désir ? C'est-à-dire opter pour la fin de son asservissement par le désir (niant ainsi sa nature propre) ou pour la fin des murailles entravant le plein accomplissement du désir, empêchant celui-ci de s’épanouir pleinement. Le choix semble difficile