Réification

humaines : gestes, sentiments (ex.: «L'alambic gardait une mine sombre», Zola)...L'ALLEGORIEC'est la présentation d'une idée abstraite sous une forme concrète : l'idée est personnifiée (ex.: La Liberté guidant le peuple, du peintre Delacroix). LA REIFICATION C’est le contraire de la personnification, c’est le fait de transformer un humain en une chose abstraite, en animal etc… (ex : « Vous formez un groupe de bœufs, dit-il à ses élèves »)

Texte 11 : « La Rencontre » Au XVIIème siècle, les mouvements littéraires majeurs sont le baroque ainsi que le classicisme dont Madame de la Fayette se rapproche à travers des analyses très fines et détaillés des émotions et des pensées de ses personnages. Madame de la Fayette à travers son œuvre La Princesse de Clèves fait une critique de l’extravagance et l’impiété de la haute société de la Cour dont elle fait partie depuis son mariage avec le comte de La

effet le registre burlesque, les personnages mis en scène par La Fontaine sont souvent des animaux et l’utilisation d’un registre anatomique peut paraître gênant, inspirer le dégoût. On note la volonté de décrire le contexte politique avec une réification, les Membres sont mis pour les courtisans, ainsi les Membres apportent la nourriture à l’estomac qui lui se contente de recevoir ce qu’on lui donne. Le roi détient le pouvoir, et tout le monde assouvit sa moindre envie. L’auteur met ainsi en scène

naturelle chasse de nous l’erreur et l’étonnement que la nouveauté nous apporte » (l.23 à 25), en cela, il penche plutôt vers le rationnel. Il est tolérant, avec : La compassion rentrée qu’il éprouve pour l’enfant, symbolisée par la réification : « Gazouillait » (l.5). La personnification : « Il est à croire… l’homme » (l.4-5). A ses yeux, la différence n’est en fait que l’idée que l’on se fait de ce que l’on ne connaît pas, comme le soulignent : Les hyperboles : « Ce

Elle met en relation un comparé (celui qui est comparé) avec un comparant (ce à quoi on compare).Métaphore filée : est développer à travers plusieurs expressions qui se rapporte au champs lexicale du comparant. Chosification/réification  : inverse de la personnification. Transformée un être vivant a un simple objet. L’allégorie : des choses imaginaires représentés par une chose réel comme la paix( la colombe). La métonymie : c’est

L’influence du baron sur l’éducation de sa fille A) Une éducation imposante issue de sa réflexionLe personnage apparaît, en fait, comme un père qui se voit « créateur » L21, sa fille devient alors son matériau de travail :· Réification de Jeanne en position de complément de verbes « voulant LA »/« voulait qu’on LA » qui la transforme en objet quand elle est sujet : voix passive donc elle subit l’action «  elle fut mise au Sacré-Cœur · Lexique de la création « la tremper lui même

des relations proposées au sein de l’ontologie normalisée empruntée ; – décrire de nouvelles relations sémantiques utiles pour versionner et gérer les ressources et pour en produire de nouvelles par réutilisation de celles existantes. 3.2. Réification d’une relation sémantique L’approche que nous adoptons consiste à réifier le concept de relation sémantique, concept déjà étudié aussi bien en psychologie, en linguistique qu’en informatique (Chaffin et al., 1987 ; Herrmann et al., 1987 ; Brachman

mentaux n’est pas liée à l’idée de soumettre les individus à ce genre d’épreuves, elle est due avant tout à deux illusion dans laquelle tombent ceux pour qui les tests constituent un moyen de maintenir les hiérarchies et les divisions sociales : la réification et l’héréditarisme. L’hérédité à l’intérieur des groupes et celle entre les groupes se sont pas liés par des degrés croissants pour la seule raison que l’héritabilité augmente dans les groupes et que les différences s’accroissent entre ceux ci

entendre les adverbes «soudaine », « tout à coup » : elle ne maîtrise pas son destin, mais en est le jouet. Reflet de la condition féminine au XIXè siècle, Jeanne se montre soumise, mutique. Elle s'assimile au bateau éponyme dans une démarche de réification qui trahit sa nature confuse, rêveuse, trop imaginative et passive. Proie d'un mari dénué de délicatesse, elle ne trouve pas sa place dans un monde mené par hommes. D'ailleurs, la société -civile et religieuse- est nettement disqualifiée

deux. L'opposition est aussi traduite par la conjonction qui permet d'indiquer une différence « mais » : « Mais l'homme lui, a-t-il changé ? » l.8. De plus, la présence du pronom personnel « lui », marque bien cette divergence. Il y a aussi une réification de l'homme, ravalé au rang d'enfant : « L'homme se croit un héros, toujours comme l'enfant » l.17. Le sens de « se croire » est d'être vaniteux, de se montrer supérieur. Cette tournure de phrase vient, elle aussi, démystifier l'homme. La notion