Réification

et sa délicatesse : les verbes « tenir, suspendue, serrait avec étreinte » renvoie à sa force (+évocation répétée du motif de la « main »)de même que les verbes « briser » et « faner ».Métaphore « briser » allusion à un objet , « une chose »: réification donnant l’impression que la jeune fille est un objet, une victime, un jouet(des hommes dans le roman d’ailleurs) ; cependant énumération d’adjectifs mélioratifs « une chose délicate exquise et précieuse, faite pour d’autres mains que les siennes

suffisante riche (léonine) Intensificateurs : vastes oiseaux des mers, => avec décalage sémantiques leurs grandes ailes blanches si beau Ses ailes de géant Ces représentations s'opposent avec : déposés sur les planches l'infirme Comme des avirons = réification Plus largement, texte travaillé par les contraires : Prennent des albatros # indolents compagnons de voyage, Que ces rois de l'azur, # maladroits et honteux, # Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches # traîner à côté d'eux. Ce voyageur

connaissances partagées par plusieurs individus à l’intérieur de la firme (connaissance collective) « C’est cet ensemble de connaissances individuelles, spécifiques ou partagées que l’on peut qualifier, sans anthropomorphisme aventureux ou réification hasardeuse, de connaissance organisationnelle » (Reix [1995]) La connaissance organisationnelle, c’est bien plus que la somme des connaissances individuelles Interactions entre les individus Mémoire organisationnelle, valeurs, normes, sens

spectacle, moment d'attente suggéré par la présence des points de suspension. Présence d'un blanc typographique : début du spectacle? « Un gros homme est là debout, le patron, cherchant à se reconnaître au milieu des tables et des chaises », la réification du personnage rend difficile sa dissociation d'avec le mobilier, lui-même « cherch(e) à se reconnaître » comme si la différenciation n'allait plus de soi. Ceci explique peut être la répétition lancinante qui clôt le paragraphe « le patron, le

figé Récit éclaté → nouvelle vison du monde (pas de Dieu, pas de sens ; spirale) b) Un personnage moderne : l'anti-héros ► Dépassé par le monde dans lequel il vit → n'agit pas librement Personnages = pantins Fin de l'humanité → réification En attendant Godot, Samuel Beckett Introduction Entrée en matière ► Nietszche postule « Dieu est mort » au XIXe siècle → Absurdité Création d'un nouveau théâtre au XXe siècle : Le théâtre de l'absurde ► Basculement historique : monde

des connaissances partagées par plusieurs individus à l’intérieur de la firme (connaissance collective) « C’est cet ensemble de connaissances individuelles, spécifiques ou partagées que l’on peut qualifier, sans anthropomorphisme aventureux ou réification hasardeuse, de connaissance organisationnelle » (Reix [1995]) La connaissance organisationnelle, c’est bien plus que la somme des connaissances individuelles Interactions entre les individus Mémoire organisationnelle, valeurs, normes, sens commun…

totalement moi, malentendu, -> autrui m’enferme dans cet acte) Intériorité = création du regard extérieur d’autrui acr jugement d’autrui tombe sur moi comme un verdict Menace de mon être profond par mon paraitre : dépersonnalisation * Réification Le personnage = l’aliénation de la personne car être de la représentation Autrui est toujours tenté de réduire à un personnage qui n’est que le reflet partiel de mon intériorité. La personne = intériorité – être – ouverture Le personnage

pour autant, la connaissance d'autrui est-elle plus facile ? En tant que simple observateur, il est vrai qu'il apparaît simple de connaître autrui et cela dès le regard. En effet, ce dernier comme le remarque Sartre dans l'Etre et le Néant est réification, |c'est-à-dire qu'il rend « chose » le sujet regardé. La rencontre avec autrui est ma chute originelle : Autrui, par son existence même, me fait tomber dans le monde des choses. Je ne suis |plus seulement une liberté, mais une chose au milieu des

suivants : « paysan » (l.11), « ferme » (l.18), « fossés » (l.24) et « long chemin » (l.9). Nous verrons par la suite avec quelles précisions Maupassant nous décris cette nouvelle. La nouvelle Le gueux est décrite de manière très précise. Une réification se présente : « il alla s’abattre au coin d’un fossé » (l.24), l’auteur décrit précisément, l’épuisement de Cloche après avoir mendié une journée entière. Maupassant utilise de l’imparfait de description. Nous pouvons voir du vocabulaire précis

société. Ensuite Olympe de Gouges annonce une rupture, un changement qu’elle fait au futur de l’indicatif, c’est donc une annonce présentée comme une certitude.l.16 à 17 en=richesse il=pouvoirIl y a une incompatibilité entre l’immoralité, la réification des femmes et les valeurs de la révolution. A partir de maintenant, il est impossible de considérer la femme comme un objet sous-entendu qu’elle doit donc être un sujet (être vivant) comme les hommes. Pour que la révolution soit une réussite il