Réincarnation

secte rejoint aussi la famille chrétienne parce qu’elle croit que Jésus est le seul qui puisse détruire le mal et apporter la paix. Par contre, La Mission de l’Esprit-Saint rejoint un peu aussi la famille orientale, car elle croit au karma et à la réincarnation des mauvaises âmes jusqu’à temps que l’esprit trouve la ‘’vraie’’ voie. Elle suit aussi les principes de l’eugénisme. Critères de discernement 1 La vérité absolue Dans cette secte, je crois qu’il y a un risque de dérive sectaire puisque les

l’accomplissement de ses noces mystiques avec le principe divin. On retrouve la même transposition spirituelle dans le roman de la Table ronde, avec Perceval et Lancelot. A l’instar des pythagoriciens et des esséniens, les Cathares croyaient à la réincarnation (tout comme moi) c'est-à-dire à la migration de l’âme dans un corps physique, avant la libération totale. Surtout, ils possédaient une doctrine ésotérique à base cosmique, dont on parle peu parce qu’elle gêne et qu’elle amène à se poser certaines

souffrance, de son origine et de sa cessation pour atteindre le nirvāna). On peut le définir comme une « science de l'esprit » inspirée par les enseignements du Bouddha. Celui-ci fut influencé par les concepts indiens de son époque, tels que la réincarnation, le karma (3), les dhyanas (4). Le Bouddha a précisé qu'il n'était ni un dieu ni le messager d'un dieu, et que son système de pensée n'était pas d'origine divine, mais axé sur la compréhension de la nature de l'esprit humain. Cela peut être

comme un méfait, mais plutôt comme un passage obligatoire dont il ne faut pas avoir peur car après la vie, il n’y a plus d’affres. Cependant, la vision d’Epicure ne semble pas tenir compte de la religion. Par exemple, les hindous croient en la réincarnation donc le fait qu’il n’y ait rien après la mort, comme le dit Epicure, est remis en cause. Les Bouddhistes, au contraire, seraient assez proches la vision d’Epicure. Selon Comte-Sponville, le « je »  n’existait pas de toutes les façons.

conditionnements qui nous façonnent. Cette libération est appelée Moksha, c’est le but ultime de toute recherche spirituelle, c’est un processus extrêmement long et difficile qui requiert des vies d’apprentissage (DES car les hindous croient en la réincarnation). Dans notre vie de tous les jours, nous nous identifions constamment à nos expériences et à nos sensations : ‘’moi je…’’. C’est l’égo qui est l’acteur de ces identifications. L’hindouisme apprend que l’égo, appelé ahamkara, est une entité illusoire

d’approche critique. Il doit être ouvert au débat et à la controverse, comme n’importe quelle autre croyance. Contester le christianisme, la religion du prophète ou les préconisations de la Bible doit pouvoir se faire au même titre que douter de la réincarnation, de l’existence d’extraterrestres venant nous visiter ou encore des prédictions de Nostradamus. Confronté aux religions, il n’y a donc aucune retenue face à leur prétendue dimension sacrée. Ce qu’il faut toujours privilégier, c’est la recherche

individuelle ou de groupe (toutes les techniques étant intéressantes) : elle est parfois difficile, mais libératrice de nos difficultés à vivre, à échanger, des carences de notre enfance. Ésotérisme et spiritualité : l'astrologie, aux chamanes, à la réincarnation, au feng-shui, au yoga, à la puissance du subconscient, etc… Les religions traditionnelles sont souvent choisies par plusieurs personnes comme méthodes de travail sur soi. Généralement, lorsque nous prenons la décision d’investir du temps et

l'individu se trouve beaucoup plus qu'auparavant face a un choix , la religion tend a devenir quelque chose de personnalisé. La liberté individuelle d'agir et de penser s'est introduite au sein des religions. Parmi les catholiques 8% croient a la réincarnation mais ce n'est pas une doctrine catholique mais orientale. 17% des catholiques sont pratiquants; 90% des catholiques avouent ne pas suivent les recommandations de leurs églises a propos la morale sexuelle, on hérite plus d'une religion mais très

destinataires. Le lecteur est représenté au sein des romans butoriens sous d’autres formes, notamment : l’odorat, l’ouïe, le regard et la voix. Ces formes de représentation permettent un contact plus concret avec les personnages ce qui facilite la réincarnation d’un message pluriel et tangible. En effet, le lecteur réel subit les effets d’un regard infernal qui le poursuit tout au long du roman puisqu’il a l’impression qu’il est observé, suivi, qu’il ne peut nullement échapper au fardeau d’une force omniprésente

l’interrogeait sur son métier, elle répondait invariablement : «Pressée.» » (p.12). Elle est par contre insistante et elle ne s’arrête pas à se que l’autre lui dit, elle en veut toujours plus « Et tu n’es jamais revenu ici?… J’ai oublié que tu étais la réincarnation d’une mule. Parce que! » (p.142). Elle a déjà eu un amoureux durant quatre ans, il était cinéaste, durant ces quatre années, ils se sont séparés et ils ont repris plusieurs fois « Elle avait partagé quatre années de sa vie avec son cinéaste, quatre