Relation Metteur En Scène Texte Théatral

l’Académie de Bourgogne auprès du Théâtre Scène conventionnée d’Auxerre flomonvail@sfr.fr VILLE « LA VILLE » d’Evgueni Grichkovets par la compagnie Addition Théâtre, en résidence au Théâtre d’Auxerre photo prise en répétition/octobre 2011 Le spectacle « La ville » sera crée au Théâtre Scène conventionnée d’Auxerre le 16 et 17 février par 2012 par la compagnie « Addition Théâtre ». Contact au Théâtre d’Auxerre : Jean-Philippe Verger, chargé des relations publiques rp@auxerreletheatre.com / 03

COMMENTAIRE COMPOSE : Marivaux, les acteurs de bonne foi, scène 2 Texte étudié : Scène 2 : Lisette, Colette, Blaise, Merlin Merlin : Allons, mes enfants, je vous attendais ; montrez-moi un petit échantillon de votre savoir-faire, et tâchons de gagner notre argent le mieux que nous pourrons ; répétons. Lisette : Ce que j'aime de ta comédie, c'est que nous nous la donnerons à nous-mêmes ; car je pense que nous allons tenir de jolis propos. Merlin : De très jolis propos ; car, dans le plan

Marivaux, L'île des esclaves, 1725. Scène 2 : La tirade de Trivelin. Introduction Lorsqu’il publie L’Île des esclaves, en 1725, Marivaux s’inscrit dans cet esprit de la Régence qui regarde d’un œil critique le long règne de Louis XIV, avec ses conséquences, dont peut-être le goût de l’arbitraire et du pouvoir. Mais Marivaux, s’il s’inscrit dans les Lumières naissantes, n’en est pas pour autant un révolutionnaire. Dans la scène d'exposition, qui précède directement l'extrait que nous allons

ACTE III, scène 3. La première question qu'il est nécessaire de se poser, lorsque l'on aborde un travail d'interprétation autour de cette scène, est liée à la lecture que l'on se fait de la fable. D'elle dépend l'interprétation de la partition du rôle de Tartuffe. Au sens étymologique du terme, l'hypocrite, c'est d'abord l'acteur. et dans cette pièce la question de l'être et du paraître, du vrai et du faux se pose constamment. Tout y est spectacle, représentation théâtrale, tout est réduit

Les Lumières Texte I Les Lettres Persanes Montesquieu 1721 Lettres 24, « nous sommes à Paris …paradis ? » Ce roman par lettre écrit par Montesquieu transcrit les correspondances de deux persans, Usbek et Rica, voyageant en France entre 1712 et 1740. Il fut publié en 1721 à Amsterdam. A l’époque, l’Orient et le roman par lettre étaient très à la mode. Cette lettre étant la XXIV, elle se situe au début de l’itinéraire des persans. Elle annonce les grands thèmes de la critique, et représente

construction de Versailles et a fait de la langue française la langue diplomatique. Malgré cette époque où l’ordre, la symétrie, la droiture et le contrôle sont prônés, la comédie dans le monde théâtrale est très populaire. On peut notamment se remémorer les grands succès du célèbre auteur et metteur en scène qu’est Molière. À l’époque, il est chargé des divertissements de la cour royale. Par ailleurs, une de ces œuvres qui a été jouée plus de 2000 fois en 100 ans est le sujet de cette étude. Il s’agit

(l.20) et sources (l.30) → « on » (l.71) : ambigu : renvoie au public qui assiste à l'éxécution. Mais sensations visuelles et auditives sugèrent l'utilisation du point de vue interne. Le narrateur semble être un personnage, un témoin direct de la scène et semble s'inclure dans le dernier « on » Les autres procès : Allusion à d'autres procès : -sorcellerie, l'affaire Gauffridi (l.17) -héresie, les affaires « Jordano Bruno » et « Vanini » (l.62). Souligne permanence et fréquence des injustices perpétrées

« Pouvez-vous vous imaginer un médecin de campagne, sa trousse à la main parcourant sans cesse la scène, en compagnie de son fils ? » Thomas Bernhard pose cette question dans l’un de ses rares entretiens ( La table ronde, mai 1990). Cette trame est celle de son roman Perturbation qui vient d'être adapté au théâtre par Krystian Lupa au théâtre national de la Colline en 2013. Cette Perturbation est un texte formidable mais difficile qui emprunte de multiples voies à partir d’un choix qui a façonné la

RICHARD III DOSSIER PEDAGOGIQUE RICHARD III Théâtre musical Shakespeare traduit par A. Markowicz Mise en scène David Gauchard De la seconde à la terminale Vendredi 12 février A 20h30 Espace Maurice Novarina Durée : 1h30- 2h DISTRIBUTION SUR SCENE: Richard III: Vincent Mourlon, Arm & Olivier Mellano Anne: Mélissa Rayé Richemond: Nicolas Petisoff Tête de Plomb 1: Nicolas Petisoff Tête de Plomb 2: Emmanuelle Hiron James Tyrrel: Emmanuelle Hiron & Nicolas Petisoff A L'ECRAN: Elizabeth:

choisi pour créer l’atmosphère propre à cet acte, souligner les relations entre les personnages et faciliter le déroulement de l’intrigue. Comment exploiteriez-vous ce lieu si vous étiez metteur en scène ? Lieu indiqué par la didascalie : chambre de la comtesse, lit en alcôve, surélevé (estrade), quatre ouvertures : porte principale, porte des femmes, porte du cabinet, fenêtre. Atmosphère et relations entre les personnages : le 2° acte est celui où se noue l’intrigue