Relativisme Et Pluralisme Critique

sont aussi venues les critiques – de qualits diverses. Dans cet article je vais discuter neuf critiques distinctes que j’ai souvent rencontres : la plupart me semblent trahir une comprhension inadquate soit de la structure de la thorie de la vertu, soit de ce qu’elle implique pour penser un problme moral selon ses termes. Dans la premire partie, je ferai une prsentation : elle montrera que beaucoup de ces critiques sont simplement dplaces et noncera ce qui me parat tre la critique majeure adresse la

1 Histoire sémantique du terme religion 1.1 Thématisation de la religion dans l'Antiquité 1.2 La religion christianisée 1.3 Premiers signes d'un pluralisme religieux en Europe 1.4 Développement de l'idée moderne de religion 2 Théories modernes des religions 2.1 Problèmes de définition 2.1.1 L'objet « indéfinissable » des sciences des religions 2.1.2 Critiques des définitions 2.1.3 Religions : traditions culturelles ou confessions religieuses ? 2.2 Thèse de la sécularisation 2.2.1 Sortie de la religion

LES LETTRES PERSANES Ou a quoi sert la comparaison? Montesquieu le Persan. Du jugement moral sur "l'autre" a la connaissance d'une société différente. La difficile question du relativisme culturel . La comparaison comme un outil de connaissance. (en voyageant on se découvre soi meme). La comparaison comme critique politique. 1721 - Stratégie pour faire un pamphlet, contourner la censure, 1/ La comparaison comme méthode de connaissance. Dans les Lettres persanes, qu'il publie anonymement (bien

Mais cette incrédulité est aussi celle du lecteur, car Voltaire force les traits de l'utopie à dessein. 4. Leibniz a toujours professé la multiplicité des points de vue possibles sur le monde et sa pensée reflète ce pluralisme. La constante remarquable dans cette diversité est la critique de Descartes. Descartes fait du cogito (la certitude de sa propre existence comme être pensant) la première vérité indubitable. Pour Leibniz, le cogito n'a pas de priorité. Les vérités de raison sont fondées sur les

pas vraiment de limite. Thierry de Duve, Au nom de l'art, "Fais nimporte quoi", edition de minuit ,Paris 1939. Le n'importe quoi en art concerne soit la reception artistique et en particulier l'indignation des critiques d'art sucitant dans le public la peur de la fin de l'art. Les critiques se presentent comme les gardiens de l'ordre esthetique mais aussi technique, en rappelant l'interdiction de faire n'importe quoi. Il s'agit alors d'un jugement legislateur lié a l'exercice d'un certain pouvoir

et un laisser-faire vis-à-vis des lois? Loin d'être cette vertu suprême qui nous obligerait, n'apparaît-elle pas alors plutôt comme l'une des conséquences majeures du nihilisme contemporain ? I - Nos sociétés démocratiques sont fondées sur le pluralisme et la relativité des valeurs impliquant le respect des opinions individuelles et de la liberté de conscience et d'expression dans la mesure où elles ne portent pas atteinte à l'ordre public (pornographie, pédophilie, nazisme, etc ...). Ainsi tolère-t-on

Etats modernes constitue l’objectif de Philipe Nemo. Il commence donc par donner une définition de la civilisation occidentale qui se résumerait par plusieurs concepts « l’Etat de droit, la démocratie, les libertés intellectuelles, la rationalité critique, la science, une économie de liberté fondé sur la propriété privée » (p7). Il structure ensuite la morphogenèse culturelle de l’Occident en cinq événements : 1) L’invention de la Cité, de la liberté sous la loi, de la science et de l’école par les

«démocrate» suffit bien souvent à s’attirer la sympathie des soutiens intérieurs et extérieurs, ainsi que les faveurs des puissances de l’argent (institutions de Bretton Woods et autres divers clubs). Pour saisir les enjeux de cette falsification du pluralisme, nous avançons l’hypothèse que la démocratie, en Afrique, se construit sous le signe du platonisme, ou plus exactement d’un «néoplatonisme» politique, qui privilégie la forme sur le contenu, se méfie de la souveraineté du peuple et redoute autant

sacrifier leur bien-être personnel. • Ne pas confondre l’ « utilité » en éthique à « utilitaire », « fonctionnel » ou « pratique ». 6 Introduction : Eléments de philosophie morale Ethique des conséquences a) Conséquentialisme/Utilitarisme : Critiques : 1) mesurabilité des plaisirs & douleurs. 2) imprévisibilité des conséquences. 3) considérer la justice comme une simple forme particulière de l’efficacité ou de l’utilité sociale n’est pas acceptable. 4) exigence d’impartialité dans le « calcul »

structurent la vie sociale, tout en jouant un rôle déterminant dans nos interactions quotidiennes et au sein des nombreux conflits qui jalonnent nos rapports de pouvoir. Autant de balises qui, conjuguées aux défis nouveaux du multiculturalisme et du pluralisme des valeurs, sont facteurs de cohésion ou de fragmentation sociale, d’intégration ou de marginalisation des individus. Tel est le point de départ de ce cours, qui se donne d’abord pour ambition de vous dévoiler le monde sous un nouveau jour, mais