Religions Et Espace Public

cherché à faire sortir l’Humanité de l’obscurantisme, pour la faire progresser en établissant de nouveaux droits individuels et collectifs, tels que la liberté et le droit au bonheur.   II. La religion : l’ordre religieux contesté 1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ? (1), (2) Elles la remettent en cause en tant qu’institution qui limite la liberté de formuler des jugements critiques en imposant une pensée dogmatique. 2) Sur quoi porte la critique religieuse

et donc des agents publics (interdiction de tout port de signes religieux visibles) Elle garantit la liberté de conscience (article 1 de la Loi de 1905), la liberté de croire ou de ne pas croire, la liberté de pratiquer une religion dans le respect des lois de la République La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte (article 2 de la Loi de 1905). Les militants de l’association ont insisté sur l’essentiel, c'est-à-dire la « non ingérence des religions dans le fonctionnement

RF : abolit le principe d'une religion unique et obligatoire, Loi 1905 dite de Séparation des Eglises et de l'Etat : fixe les grands principes de la laïcité : - liberté des cultes affranchie de toute tutelle publique (art 1) - neutralité de l'Etat : « La Rép ne reconnaît, ne subventionne, ni ne salarie aucun culte » (art 2). Depuis quelques années : montée de revendications religieuses mettant en cause le fonctionnement et de neutralité des services publics → menace le modèle français de

Sommaire I) Qu’est ce que la laïcité ?.....................p4 A- HISTOIRE DE LA LAICITE………………………………………………..p4 B- LES TEXTES DE LOI………………………………………………………...p7 C- TOLERANCE ET LAICITE………………………………………………….p10 II) Laïcité et espaces publique …………p11 A- A L’ECOLE ……………………………………………………………………...p11 B- AU TRAVAIL................................................................................................p12 C- ETUDE DE CAS PARTICULIER : CAS DE LA CANTINE ET DE LA CRECHE BABY-LOUP……………………………………………………………………………

Les rapports actuels du droit et de la religion Au début du 20ème siècle une grave crise a traversé la République française dans son opposition à l’Eglise catholique, et encore aujourd’hui l’histoire de notre pays est marquée par la relation conflictuelle entre les instances politique et religieuse. Il devient nécessaire de prendre en compte l’évolution du droit et de la religion dans leur réciprocité et non dans leur particularité. Le droit, ensemble de normes régissant les rapports entre les

SECTION 3 : La liberté de l’esprit  la liberté de conscience et de religion en droit français mais aussi devant la CourEDH. Liberté d’expression et les limites. La liberté de la presse et les limites . §1 : le cadre juridique de la liberté de religion en droit français La reconnaissance constit de la liberté de conscience et de religion est établi par la déclaration 1789 art 9 et 10. Cette liberté implique deux chose :le droit d’avoir une conviction mais aussi le droit d’exprimer sa conviction

que si la révision est importante. - Référendum législatif (Art 11) : Possibilité laissée au pdr de soumettre une question au peuple, dans des conditions limitées (pas de questions fiscales ou budgétaires). Il porte sur l'organisation des pouvoirs publics notamment. Depuis 2008, il peut être fait par une volonté populaire directement. La question se pose pour savoir quels problèmes peuvent être soumis au peuple. Certaines matières ne peuvent pas être soumises à référendum : libertés constitutionnelles

 Ils correspondent chacun à un moment historique. L’indivisibilité est un  acquis de la Révolution : la République est proclamée «  une et indivisible  » le 25 septembre  1792. La laïcité s’est affirmée à partir des lois de 1882 et 1886 sur les programmes et des  personnels de l’enseignement public, puis s’est définitivement imposée en 1905 par la loi de  séparation des Eglises et de l’Etat. La démocratie est l’acquis majeur de la Révolution  française : la Constitution du 3 septembre 1791 énonce que «  le principe de toute  souveraineté réside essentiellement dans la Nation  »

entre deux espaces différents. Nous sommes ni dehors, ni dedans, nous sommes dans un entre deux. La notion de seuil est d’autant plus facile à penser et à appréhender lorsque l’on pense à la transition profane/religieux. En effet, pour l'homme religieux, l'espace n'est pas homogène ; il présente des ruptures, des cassures : il y a des portions d'espace qualitativement différentes des autres. Il y a donc un espace sacré, et par conséquent « fort », significatif, et il y a d'autres espaces, non-consacré :

parce qu'elle se déroule en l'an 391 après Jésus-Christ . L'image est centrée sur une femme, mais elle n'est pas le seul personnage à apparaître dans l'image. Dans le fond il ya plus de gens . Il semble que les gens ordinaires sont réunis dans un lieu public et ils huer quelqu'un ou quelque chose . Le thème du film est une fiction historique comme il dit des choses qui sont réelles et d'autres qui ne se produisent pas dans la réalité. Le film raconte l' expulsion des Juifs d'Alexandrie par les chrétiens