Rembrandt

que les figures habitent dans une prison éclairée par peu de lumière qui vient d'en haut. » Malgré ces critiques, la technique du clair-obscur sera reprise et adaptée par nombre de grands peintres à travers les âges, comme Georges de La Tour, Rembrandt et beaucoup d’autres. De nos jours, le clair-obscur est souvent utilisé dans le cinéma et la photographie, notamment en noir et blanc : on peut citer des cinéastes comme Orson Welles ou des photographes comme Sally Mann ou Robert Mapplethorpe. En

d’un siècle, Vermeer fut redécouvert en 1866 par le critique d’art Théophile Thoré-Burger qui lui consacra une série d'articles. Depuis cette « redécouverte », la réputation de Vermeer s’est heureusement accrue, et il est à présent reconnu, avec Rembrandt, comme l’un des plus grands peintres du siècle d'or néerlandais, certaines de ses peintures, comme « l’art de la peinture », l’une des plus belles au monde.  Attachons-nous maintenant à l’étude de la toile, « La jeune fille à la perle »

nait le 10 juin en 1819 a ornans pres de besancon en la tours -de -suisse en 1867.il immortalise une scene de la vie de ses soeur et de son fils.il est interesse par les espagnol et flammands.il commence la penture tres jeune; il est influence par rembrandt qui est ne le 15 juillet 1606 a leyde dans les provinces -unies dans l'actuelle pays-bas et meurt le 4 octobre 1669 a amsterdam. «les cribleuses de ble» est un tableau peint en 1868. il est influence par diego velasquez et theodore gericault. Diego

trois fois : deux fois de face et une fois de dos. Cela explique le titre. III) Interprétation de l’œuvre
1) Un autoportrait pas très sincère
a) La volonté de bien faire
- Le peintre prend des modèles (de haut en bas : Albrecht Dürer (1471-1528). Rembrandt (1606-1669). Vincent Van Gogh(1853-1890) Picasso 20e)
- Il fait des esquisses (brouillons).
- Il utilise un miroir, qui est l’objet qui renvoie l’image la plus fidèle de soi.
b) Un peintre qui ne se représente pas tel qu’il est
Il y a trois autoportraits

veux donc pas se montrer plus jeune qu’il ne l’est : il dénonce le manque de sincérité de certaines autobiographie ou autoportrait. À la droite de la toile du peintre sont accrochées les reproductions de quatre  autoportraits : celui de Dürer, de Rembrandt, de Picasso et de Van Gogh. On peut penser qu’il dénonce leur éventuelle tricherie ou ce n’est qu’un hommage. Ce miroir doré est décoré de l’aigle américain, et le drapeau des Etats-Unis qui symbolisent la force et la puissance de ce pays. Avec

dissimulent ses yeux et qu’il fume la pipe. Le portrait sur la toile, lui, n’a pas de lunettes, ce qui le rend plus jeune que le modèle. À la droite de la toile, le peintre a accroché les reproductions de quatre autoportraits : celui de Dürer, de Rembrandt, de Picasso et de Van Gogh. Au pied du peintre il y a de la fumée qui s’échappe d’un seau rempli de papiers froissés. Cette fumée, ainsi que : le casque de pompier (au-dessus du portrait), les allumettes brûlées (sur le sol) et la pipe Ces

visages. Le personnage de Marlet baigne dans la lumière tout comme la table. Cette façon de traiter la lumière est une référence à la peinture hollandaise, à la peinture du Nord à laquelle Courbet s’est énormément intéressé, en particulier pour Rembrandt et les frères Le Nain. [...] [...] Des zones plus claires associées à d'autres, plus sombres, donnent du modelé aux personnages. Cette toile est un bel exercice de virtuosité grâce à laquelle Courbet s’affirme en tant que réaliste par le souci

de modèle à l'artiste. Celui-ci peint des natures mortes avec des pommes de terre et des nids d'oiseaux. En octobre, il part avec son ami Kerssemakers d'Eindhoven pour Amsterdam et visite le Rijksmuseum où il est impressionné par les tableaux de Rembrandt et de Hals. En novembre, il se rend à Anvers, où il reste jusqu'en février 1886. Il essaie d'entrer en contact avec des artistes et veut vendre quelques toiles. Visitant les musées, il s'intéresse surtout à Rubens. Lors de ses promenades à travers

utilisé est interne, c’est celui de Nicolas Poussin. C’est à travers les yeux du jeune artiste que nous découvrons les personnages principaux. La rencontre avec Frenhofer est particulière. Par ailleurs, Balzac compare le vieil homme à une peinture de Rembrandt pour sa technique du clair-obscur qui fait ressortir les traits du personnage. De plus, les monologues de Frenhofer sur la Marie Égyptienne de Porbus signalent déjà l’approche de la folie. On peut supposer que Balzac exprime son point de vue par

portrait sur la toile, lui, n’a pas de lunettes. Il paraît plus jeune que le modèle. La pipe est droite contrairement à la “réalité”. À la droite de la toile du peintre sont accrochées les reproductions de quatre autoportraits : celui de Dürer, de Rembrandt, de Picasso et de Van Gogh. Le chevalet est surmonté d’un casque de pompier. Il y a plusieurs petits détails dans le tableau qui attirent le regard du spectateur : un verre en équilibre sur un livre ouvert, un tissu blanc sortant de la poche