Rembrandt

ces pensées qui creusent également l’âme et le corps. », cela ajoute un aspect mystérieux à son quelque chose de diabolique à sa figure. « Vous eussiez dit d’une toile de Rembrandt marchant silencieusement et sans cadre dans la noire atmosphère que s’est appropriée ce grand peintre. » cette comparaison à une toile de Rembrandt donne l’aspect fantastique à ce portrait. Nous avons l’impression que ce vieil homme habillé en noir avec une fraise étincelante autour du cou montant ces escaliers dans la

du XVII ème siècle ou des contes asiatiques, ou par des tableaux de Rembrandt. Il me semble très intéressante la façon dans laquelle Pascal Quignard s’interroge sur l’art en son rapport avec le temps et bien sûr, le jadis et sa relevance à l’époque actuelle, et je vais vous offrir une longue citation sur Rembrandt, il s’agit d’une remarque sur le tableau Suzanne, peint en 1647 : « Il y a des nombreuses toiles de Rembrandt une présence si pressante. Un don, un présent plus actif, plus

Aloysius Bertrand, le « procédé » désignant la prose. Le mot « peinture » a été habillement choisit par Baudelaire, en effet, nous pouvons préciser le sous-titre du recueil : « Fantaisie à la manière de Rembrandt et de Callot ». À travers son œuvre Aloysius veut imiter et rendre hommage à Rembrandt (peintre flamant du XVIIème) et à Callot (dessinateur et graveur du XVIIème), ces deux peintres sont pour lui une source d‘inspiration lorsqu‘il décrit une scène dans un poème. Par exemple, Aloysius laisse

pour son époque puisque sa mère décide de "la mener à la cour". Des individus célèbres sont ainsi évoqués dans le texte de Balzac, il compare le "petit nez écrasé" de Frnhofer à celui de "Rabelais ou de Socrate" et le compare aussi à une toile de "Rembrandt". L'admiration qu'éprouve les personnages externes envers les portraits décrit nous donne à nous, lecteur, une conception du réel, "une beauté parut à la cour" désigne la princesse de Clèves et Goujet "devenait beau, tout puissant, comme un Bon Dieu"

énigmatique de cette femme, et « des glaciers et des pins qui ferment leurs pays » se réfère au 3ème plan du tableau on l’on peut apercevoir effectivement une brume comme dans les pays froid et des pins. La leçon d’anatomie, Rembrandt Ce tableau de Rembrandt, colle tout à fait avec les vers énoncés par Baudelaire. « Triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement » Dans ce tableau nous voyons un médecin montrer a ses élèves comment fonctionne le corps humain

Relevez tous les termes du texte qui appartiennent au champ lexical de la mort. Expliquez en quoi Chabert est un revenant. Commentez le dialogue qui conclut ce passage de l’œuvre. 3. Pourquoi le narrateur compare-t-il le personnage à un portrait de Rembrandt, à la dernière ligne de la page 23 ? À quelles autres œuvres d’art fait-il allusion plus loin ? Pourquoi ? 4. Relevez toutes les comparaisons. Quel aspect du personnage soulignent-elles? 5. Le portrait de Chabert est-il limité au point de vue de

chapitre a été écrit par Guy Goffette en référence au tableau de Rembrandt, « La mort de la Vierge ». Rembrandt y place sa femme bien aimée, Saskia, et son combat contre la maladie tuberculeuse s’éternise, « le combat des ombres avec l’ange de lumière. » (p. 86). Alors Guy Goffette compare la tête de Saskia retombée avec celle de Verlaine qui a fini de combattre et meurt : « une tête de vieil enfant, les yeux pleins de larmes, tel Rembrandt dans les bras retombés de Saskia. » (p. 87) Verlaine sait que

opinion tout à fait différents que celui qu'il sait fait au début de la lecture car l'évolution est comme suit : de « bizarrerie » « examina curieusement » «  mais diabolique », vers « une couleur fantastique » et la métonymie faite « une toile de Rembrandt marchant silencieusement et sans cadre ». Cette description précise renvoi au tableau d'un peintre jouant avec les accessoires, les dimensions. Différents points de vue sont utilisés, on peut penser que Nicolas Poussin est externe car celui-ci

et religieuse encore profondément enracinée : la nature est perçue par l’artiste qui se fait fort de l’imiter est une manifestation divine et pour cette raison, absolument digne d’être représentée sous ses multiples aspects. * Le réalisme : Rembrandt, de La Tour. L’attention porté a l’élément naturel se spécialise, principalement en Hollande, dans la restitution précise de chaque détail du quotidien, jusqu’au plus intime. Au sein de la peinture du XVIIe siècle, travaillée par une tendance

truelle à poisson(5), jetez sur le pourpoint(6) noir du vieillard une lourde chaîne d'or, et vous aurez une image imparfaite de ce personnage auquel le jour faible de l'escalier prêtait encore une couleur fantastique. Vous eussiez dit d'une toile de Rembrandt(7) marchant silencieusement et sans cadre dans la noire atmosphère que s'est appropriée ce grand peintre. Honoré de Balzac, Le Chef-d'œuvre inconnu, 1832. Texte 2 L'action se déroule en Angleterre, à la fin du xviie siècle. Enfant, Gwynplaine