René Descartes

enfants sauvages, Lucien Malson) Henry Vercors, Les animaux dénaturés, « L’animal fait un avec la nature, l’Homme fait deux : des animaux dénaturés, voilà ce que nous sommes. » → nous sommes détachés de la nature I- LA CONSCIENCE CARTESIENNE René DESCARTES, 17°s, fr, ϕ, physicien astronome, mathématicien. Etudie la lumière et l’optique. Tiré même ccl que Galilée (≈même moment) → héliocentrisme, mais c rétracté dû situaθ de Galilée en Italie (tribunal de l’inquisiθ). S’intéresse ϕ, écrit Le discours

- Csce est une substance permanente, si on enlève tout a l’H (caractéristiques), il reste que cette substance. - Csce est constitué grâce à l’Xp et la connaissance, donc la csce est tjrs en mouvement. I) La csce, faculté primordiale de l’H. René Descartes : 17e siècle, mathématicien et physicien, préoccupé par l’idée de la vérité, curieux. Il étudie la métaphysique (tout ce qu’on peut pas savoir, c’est au dessus de la physique « méta » (Sujets de métaphysique : l’âme, la mort, Dieu) Il va à la

 DUBÉ-GARCIA, DAVID L’être humain 340-102-MQ, groupe 00013 DISSERTATION FORMATIVE Comparaison Descartes - Rousseau Travail présenté à Jacynthe Vidal Département de philosophie Cégep André-Laurendeau 10 avril 2015 J’atteste que j’ai personnellement produit ce travail et que j’ai indiqué tous les emprunts de textes ou d’idées (provenant de documents écrits, oraux ou visuels). Signature de l’étudiant : _________________________________________________________________ Question philosophique :

quantitative. René Descartes, lui, trouve une erreur dans les énoncés de Galilée et créé le principe de l’inertie de Descartes. Ce principe énonce qu’ « en l’absence de frottement ou de toute autre contrainte ou force, un objet continuera sur sa lancée en ligne droite et à vitesse constante ». Ces changements minimes dans le principe d’inertie de Galilée fissent toute la différence et sont compris dans l’étape d’hypothèse de la démarche scientifique. Robert Hooke suivra l’idée de Descartes. Il affirma

grands noms de la science de son époque tels que Descartes, Galilée, Mersenne et Pascal.   Il rencontre pour la première fois Pierre de Carcavi en 1632, également conseiller au parlement de Toulouse avec lequel il partage sa passion pour les sciences et développe une forte amitié. C’est avec ce dernier et Mersenne qu’il étudie les problèmes sur la chute des corps, travaux déjà entrepris par Galilée auparavant.   Il développe en parallèle avec Descartes, avec qui il n’est pas toujours en accord, la

avait alors une rivalité entre les platoniciens de Cambridge et les aristotéliciens d’Oxford. Depuis quelque temps, la connaissance traditionnelle était mise en cause par des philosophes tels que Francis Bacon, Thomas Hobbes et René Descartes. Ce fut par la lecture de Descartes que Locke s’intéressa véritablement à la philosophie, vers 1659. Il fut également influencé par des savants tels que Robert Boyle et Sydenham. Lui-même souhaitait devenir médecin. Locke fut lié d’amitié avec Lord Ashley, comte

commissions de terminologie. (elle créé des lois pour interdire l’usage de l’anglais dans certaines institutions internationales. (René Descartes (1596-1650) (Ce célèbre philosophe a écrit le Discours de la Méthode (1637) et a donné l’adjectif « cartésien » au dictionnaire français. cartésien : Qui est rigoureux et méthodique, selon les principes du philosophe Descartes. Qui procède par des déductions logiques, des démarches méthodiques rigoureuses, qui est rationnel et méthodique.[3] À partir

professeur pour qu'il vérifie votre compte rendu. [Com3] 4. René DESCARTES Philosophe et savant français (1596-1650), on lui attribue la loi de la réfraction (1637) qui fait intervenir le sinus de l’angle d’incidence (sin i) et le sinus de l’angle de réfraction (sin r). Cette loi affirme que le rapport sin i / sin r est constant lorsque la lumière passe d'un milieu transparent à un autre. (Quelques années avant Descartes, un physicien hollandais nommé Snell avait également affirmé la même

Je pense donc je suis : le cogito Cette citation sur la conscience est extraite du Discours de la Méthode, oeuvre-phare de la philosophie de René Descartes, dans laquelle il relate sa vie et la manière dont il a pu s’appuyer sur la certitude de son existence afin de fonder une nouvelle métaphysique. Descartes cherche un fondement sûr pour bâtir la connaissance, un point fixe à partir duquel fonder le savoir et accéder aux vérités. Pour cela, il propose deux méthodes pour y parvenir :

avait alors une rivalité entre les platoniciens de Cambridge et les aristotéliciens d’Oxford. Depuis quelque temps, la connaissance traditionnelle était mise en cause par des philosophes tels que Francis Bacon, Thomas Hobbes et René Descartes. Ce fut par la lecture de Descartes que Locke s’intéressa véritablement à la philosophie, vers 1659[réf. nécessaire]. Il fut également influencé par des savants tels que Robert Boyle et Sydenham. Lui-même souhaitait devenir médecin. Locke fut lié d’amitié avec