Réparation de l'ADN

traversent. Ces rayonnements peuvent en effet, s’ils atteignent un organisme vivant, endommager ses constituants cellulaires (ADN, organites), et provoquer une mutation dans son matériel génétique. A faible dose, les lésions sont réparées par réparation cellulaire, mais une forte dose est souvent létale pour la plupart des organismes vivants. Une étude de l’environnement dans la zone proche de l’accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl a permis pourtant de retrouver un grand nombre d’espèces

s’individualiser. Remarque : cette phase est suivie de la séparation des cellules au niveau des membranes : on parle de cytodiérèse. 3- Le maintien du patrimoine génétique Le maintien du patrimoine génétique est assuré par la présence d’une réplication de l’ADN (phase S) avant chaque mitose qui permet d’obtenir des chromosomes doubles qui seront ensuite séparés (anaphase 1) pour donner un chromatide à chaque cellule fille (cette chromatide correspond alors un chromosome simple). Les phases de la mitose sont

méiose est: (retenir une seule réponse)--  a) -- La première télophase   b)  --La première métaphase   c) --La première prophase    d)  --La première anaphase   e)  -- Toutes les étapes sont proches sur le temps Cycle cellulaire et duplication de l'ADN | Le cycle cellulaire englobe, en plus de la mitose, un événement capital corespondant à la duplication de l'ADNQUESTION 1. La phase S du cycle Cellulaire a la même durée pour toutes les espèces (cocher une seule réponse) -   a) Vrai--   b) Faux -- QUESTION

dans l'ADN au cours des générations, mutations qui se retrouvent dans les populations actuelles. La comparaison des séquences des allèles permet d'identifier trois types de mutations ponctuelles : — les substitutions, qui proviennent du remplacement d'un nucléotide par un autre ; — les additions, engendrées par l'insertion d'un ou de plusieurs nucléotides ; — les délétions, provoquées par la perte d'un ou de plusieurs nucléotides. La figure ci-dessous présente le début des séquences de l'ADN de la

eucaryote, on retrouve aussi différents Adn :  L'Adn génomique nucléaire : se trouve dans le noyau et possède deux formes différentes : - L'Hétérochromatine : très condensée se situe à proximité de la membrane nucléaire, dense aux e-. - L'Euchromatine : peu dense aux électrons don apparait claire, n'est pas condensée. L'Adn doit être accessible à la transcription, c'est donc l'euchromatine qui va être le substrat préférentiel pour la transcription.  L'Adn mitochondrial : un anticorps anti Adn se fixent

bactérie qui transportera le nouveau gène à l’ADN. Les bactéries se multiplient rapidement donc c’est plus facile, ce qui est plus difficile est de retrouver l’ADN qui a été génétiquement changée pour l’exploiter. Une autre méthode pour changer un végétal est d’insérer dans une masse de cellules extraites de la plante avec un pistolet spéciale des petites billes qui peuvent traverser le noyau d’une cellule et déposer le gène qu’elles transportaient pour changer l’ADN. Généralement, une séquence d’ADN appelée

domaine médicale et scientifique. En effet, ces maladies qui touchent l'ADN, cette partie de l'organisme si délicate à atteindre et qui est restée durant plusieurs millénaires inconnue, ont longtemps été considérées comme non-guérissables. Depuis quelques années, grâce à la découverte de l'ADN et du séquençage du génome de nouvelles possibilités sont apparues dans l'esprit des scientifiques. En effet, la structure moléculaire de l'Adn n'a été établie qu'à partir de 1953 par Jim Waston et Francis Crick

CULTURE GENERALE MEMOIRE DE RECHERCHE L’ADN [pic] Sommaire Introduction Page 2 Section 1 L’ADN une découverte scientifique majeure Page 3 à 10 § 1Decryptage de l’essence de l’homme Page 3 §2 Utilisation concrète de l’ADN Page 5 A /Thérapie génique Page 5 1/ Définition Page 5 2/ Interrogation et réglementation Page 5 B/ L’analyse de l’ADN Page 7 1/ Notion Page 7 2/ Police scientifique Page 7

moyenne un diamètre de quelques µm. Le repliement de l’ADN est assuré par des protéines. II. Les repliements de l’ADN 1) Premier niveau de repliement : il commence à l’association de l’ADN avec des petites protéines basiques appelées histones. Les histones s’associent au repliement de l’ADN au nombre de 4 : H2A, H2B, H3 et H4. Ces histones s’organisent en octamère, un octamère est constitué de 2 molécules de chacune des 4 histones. Le repliement de l’ADN assume presque 2 fois autour de l’octamère et se

substances chimiques qui bloqueront donc l'action de l'ADN polymérase créant ainsi des erreurs dans sa réplication. Ces erreurs empêchent la survie des cellules, stoppent la fabrication d'une protéine ou créent tout simplement des cellules modifiées (sans système immunitaire etc..). Mais pour remédier à cela, des mécanismes de réparations sont mis en place comme la réparation par excision (suppression et remplacement de la zone endommagée), la réparation des ruptures etc... Si elles ne sont pas réparées