Repartition Chez Malthus

assure la satisfaction des besoins publics et les « ajustements nécessaires dans l’affectation des ressources découlant du marché » La distribution (ou « répartition ») La fonction de distribution vise à corriger la répartition spontanée (primaire) des revenus et des richesses en vue d’instaurer ce que la société considère comme une juste répartition. 1. Il prélève des revenus (sous forme d’impôts ou de cotisations) 2. Il redistribue On distingue ces transferts selon -leur nature (transferts économiques

 HISTOIRE ECONOMIQUE ET SOCIALE Introduction : Une brève histoire de l'Histoire économique et sociale L'histoire  : L'étude des activités humaines passées. L'économie  : Production, répartition et commerce. C'est la science des moyens, comment satisfaire les besoins. Sociologie  : L'étude des normes, valeurs, coutumes dans une société, qui permettent d'en régler le fonctionnement. La sociologie s'intéresse plus à la valeur, comment les coutumes et les valeurs ont évolués en fonction

• L’épargne est source de croissance et d’accumulation du capital. • L’État doit avoir un rôle minimal, cantonné à ses missions régaliennes (ordre, justice, administration publique). C’est le concept de l’État-gendarme. II. Thomas MALTHUS (1766-1834) • La loi des rendements décroissants (RICARDO) de la terre énonce que toute nouvelle terre mise en exploitation est moins productive que les autres. C’est un scénario pessimiste. • La population s’accroît suivant une progression

métier ; ce qui a donné les mutuelles et les régimes spéciaux par exemple). Elle était soumise au bon vouloir individuel. Le fait de la nationaliser serait sans effet et pervers car les ouvriers sont pauvres et la croyance était qu’ils le resteraient. Malthus disait que les ressources s’additionnent mais la population se multiplie donc « au grand banquet de la nature, il n’y a pas de couvert mis pour tous. » (politique malthusienne de réduction des naissances par exemple). Loi d’Airin : Augmentation

l'organisme social, certains verront dans l'Etat l'analogue du cerveau. Une des analogies les plus répandues dans les sciences humaines, en particulier en économie, est celle de « cycle de vie » par exemple. En économie on trouve ces analogies organiques chez de nombreux auteurs : par exemple A. Marshall déclara que « la Mecque de l'économie politique est la biologie économique ». Leur volonté est souvent de prendre en compte l'évolution, le développement, le changement... C'est le cas de J.A. Schumpeter

l’avenir ? 2 Chapitre 3 Étude de cas sur le bassin du Yangzi en Chine p. 84 ou l’Espagne p. 88 X Contexte mondial p. 94 et cours 1 p. 102 X Contexte mondial p. 96 et cours 2 p. 103 X Contexte mondial p. 98 et cours 3 p. 104 X • Inégalité de répartition et d’accès à la ressource. • Maîtrise de l’eau et transformation des espaces. • Gérer une ressource convoitée et parfois menacée ? © Hatier, juillet 2010 Chapitre 2 Étude de cas sur l’Afrique sahélienne p. 52 ou le Brésil p. 56 X Contexte mondial

une approche utilitariste des services publics. Il considère que les institutions doivent être jugées en fonction de leurs compétences (output) et de leur contribution au bonheur de la société (outcome). On retrouve cette même démarche utilitariste chez John Stuart Mill, mais celui-ci définit de façon beaucoup moins restrictive le domaine de l’intervention publique. Pour lui, l’intervention se justifie dès lors qu’elle est utile à la collectivité. On peut citer les phares, qui constituent un exemple

............................................. 93 Chapitre premier – Nature de l'économie .................................................... 93 Chapitre II – Les caractéristiques du mode de production socialiste ........ 110 Chapitre III – La répartition des revenus .................................................. 130 Chapitre IV – L'économie collective à l'état statique ................................ 140 Chapitre V – L'insertion de l'individu dans la communauté sociale du travail .........

la production ? Pour se rendre compte de l’intérêt de cette question, il faut tout d’abord constater que la croissance est un phénomène récent. Avant 1760, la croissance de la production est proche de celle de la population (cf. Malthus). L’hypothèse avancée par Malthus est que c’est la croissance de la population qui permet la survie des individus et qui détermine donc la taille de la population. Cette relation entre croissance et population disparaît après 1760. La figure 1 montre que la croissance

d’identifier sont inatteignables, irréalistes et les résultats sont ambigus et vagues. Ces critères sont QUANTITATIFS. Irréalistes : car on n’a pas d’informations sur la part des productions dans le revenu national et sur la répartition des types de revenus. Ambigus : car la répartition des emplois n’est pas claire. Il est très difficile de situer quelqu’un dans un secteur économique particulier, pareil pour la famille. Vagues : car l’importance de la production pour l’exportation n’est pas précise (recensements