Représentation

peut réduire la problématique soulevé par la planche I à une simple relation alimentaire. Il semble en effet qu’à cette planche, l’évocation du fait de se nourrir(banalité selon Mme Boulanger-Banneyguier) sert seulement de support symbolique à la représentation de la relation de dépendance à l’image maternelle comprise dans un sens beaucoup plus large et en particulier dans sa dimension de bon et/ou mauvais objet. En fait, les questions que pose la planche dans son contenu latent peuvent être ainsi résumées

lèvres et de la bouche), le traitement visuel susceptible de permettre, par exemple, la discrimination de visages non familiers, la génération des noms et la reconnaissance des visages familiers. Cette dernière suppose l’existence d’unités ou représentations stockées en mémoire (les unités de reconnaissance faciale ou URF) correspondant à ces visages. L’activation de ces unités conduit à l’identification de la personne, cette dernière pouvant être suivie d’une recherche du nom dans un « lexique de

comprendre finement la situation. * Pour être vraiment efficace, le coach doit cesser d’être considéré par la personne à coacher comme un étranger et plutôt entrer dans l’univers de ce dernier, devenir un « initié» et ce, en trouvant des représentations communes avec l’entrepreneur et en parlant le même langage que lui. * Le coach doit arriver à gagner la confiance de son protégé pour que ce dernier accepte de s’ouvrir à lui mais il faut davantage l’amener à s’ouvrir au changement, pour

l’indifférence ironique qui s’y lovent ; à l’heure où, à force de frondes péripatéticiennes et de rodomontades rituelles devant les sites de conférences institutionnelles, l’Occident prétend recomposer un espace de partage mais s’enlise dans un jeu de représentations qui n’a de cesse de nier les possibilités d’action ; à l’heure où, par la grâce de l’instauration de lois de compétences universelles et de cours de justice pénale internationales destinées à juger les petits dictateurs avec le financement

universités. Il est chercheur au Centre Émile-Durkheim, associé au CADIS et enseignant au département de sociologie de l'Université de Bordeaux. Il est spécialiste de la sphère publique, des média cultures, des Cultural Studies, des politiques de la représentation et des mouvements culturels relatifs aux genres (théories féministes et queer) et à l'ethnoracialisation (discriminations, ethnicité, postcolonialité). Cette article est une analyse sur le succès de l'émission de télé-réalité Loft Story et

ombres suivant la position du soleil au cours du temps... Qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qui est faux, dans ce monde de la représentation et de l’inauthenticité dans lequel on vit ? (Schopenhauer est constamment cité). « Des représentations. Et des images. C’est tout ce dont nous disposons. Des adorateurs d’images, voilà ce que nous sommes. (...) Au-delà de nos représentations, rien n’existe, dis-je. Au centre de tout ce que nous représentons existe un noyau dur. Ce noyau est le monde (...) Cette

...................................17 2.2.2.1 - STI................................................................................................................................................................................17 2.2.2.2 - la Représentation du STI...............................................................................................................................................18 2.2.2.3 - Matière traitée : Signes et Symboles............................................

qui a seulement pour fonction de l »habiller », afin de la transmettre selon un ensemble de « conventions » reconnaissables par une communauté concernant la conscience humaine, peut on dire que celle ci « habille » une pensée, un ensemble de représentations, qui existe indépendamment d'elle? La conscience n'est elle qu'un moyen pratique, un truchement commode? 2 objections s'imposent aussitôt: il existe différentes consciences du monde: y aurait il donc autant de mondes? Si la pensée est indépendante

difficiles, mouvantes, complexes (doc 1, doc 4). Elle permet une efficacité pratique et favorise la réussite dans l’action (doc 2, doc 3, doc 4 ). b) C’est pourquoi elle est valorisée sur le plan symbolique : c’est le cas dans le mythe ou les représentations du héros (doc 1, 2 et 4) et dans la définition qui est donnée de la civilisation, par opposition à la barbarie (doc 1) c) Mais elle ne doit pas aboutir à une violence destructrice extrême (doc 1), à la recherche exclusive du profit (doc 2)

et la marginalisation communautaire. Sur ces questions, multiplicité de cas de figure sont à distinguer, qui renvoient à la diversité des sociétés de provenance et des parcours migratoires, à la diversité des représentations que la société d'accueil peut avoir sur elles, (représentations solidaires des relations que la France a pu entretenir avec l'histoire de ces pays), et enfin, à la distinction de la situation des immigrés dits de la première génération, de celle de leurs enfants. il éxiste