Républicanisme

pour que leurs différences ne les menacent pas. Ils doivent se reconnaître comme étant solidaire avant même que de s'accepter comme égaux et ≠. En France, tout se passe comme si nous faisions de grands efforts pour l'éviter, en balançant entre un républicanisme rigide et une tolérance et dont chacun sait qu'elle affaiblit nécessairement la solidarité et l'égalité. Au Canada, chacun a droit à sa singularité, à sa différence et à sa culture, sous réserve que ces droits ne prennent jamais le pas sur les

Napoléon-Le-Petit en 1852 à l’avènement du 2nd Empire. Après la proclamation de la république le 4 septembre 1871 il rentre triomphalement à Paris. Comme nous venons de le voir, la pensée politique de Victor Hugo a évolué du conservatisme monarchiste à un républicanisme teinté de social voire d’un socialisme assez flou, en passant par la monarchie libérale. S’il a siégé comme pair de France et comme député dans des assemblées, Hugo n’a pas exercé de fonctions administratif le mettant au premier plan. Lui-même

de l’exploitation par la socialisation des forces productives, récit de la marche vers la société d’abondance par la croissance économique. On voit que ces grands récits correspondent à de grandes orientations philosophiques et politiques : le républicanisme de Condorcet et l’instruction publique, le libéralisme de Tocqueville et l’égalisation des conditions (Etat de droit), le marxisme et l’idée de dépassement des contradictions du capitalisme, le capitalisme et l’idée de rationalisation, de productivité

française. En réalité ce que l’on apprend l’histoire politique c’est que le discours de volonté de dépassement de ce clivage sont aussi vieux que le clivage lui-même et que les stratégies de dépassements ont toutes échouées. A - Le républicanisme 1. Le républicanisme avant la 3ème république. L’idée républicaine se développe comme idéologie de 1789 à 1870 même si ce régime n’est pas une république. Etre républicain = s’opposer à la monarchie et défendre l’idée que seul l’expression de la volonté

1. Le bonapartisme vu par la seconde tradition républicaine La seconde tradition républicaine, qui débute à partir de 1848, arrive avec la deuxième République. Cette République allie le républicanisme et le bonapartisme (qui sont considérés comme inconciliable). Pourtant, jusque vers 1848, le républicanisme et le bonapartisme ne sont pas considérés comme totalement incompatibles ainsi, Napoléon devient chef de l’État autrement dit il est élu Président de la République. A noter que Bonaparte est

de la révolution puritaine, en montrant que les causes principales étaient économiques. L'idée est que la propriété des terres étant de plus en plus aux mains de la bourgeoisie, cela devait amener une république homogène et plus égalitaire. Le Républicanisme aristocratique. Milton : Poète, auteur du "Paradis perdu", il admire Cromwell et justifie l'exécution de Charles Ier. Il écrit pour justifier la politique de Cromwell. Sidney : Il défend la souveraineté populaire (la liberté du peuple), s'oppose

1794). Robespierre a été placé en état de l'arrestation et a été sommairement essayé et guillotiné le matin suivant (juillet 28). Le caractère et l'influence de Robespierre ont été le sujet de la grande polémique. Cependant, son intégrité et républicanisme dévoué sont au delà de discussion. A la mort de Robespierre apparaît Napoléon Bonaparte qui est aussi énormément connu : Napoléon Bonaparte, 1768 - 1821 , général français et empereur. À l'âge de dix ans, Napoléon a quitté sa Corse natal pour

communautarisme et du libéralisme. Une critique philosophique peut ainsi servir une connaissance de ce qu’est l’Etat en sa vérité, en commençant par en examiner les différents moments situant les vérités respectives du communautarisme, du libéralisme et du républicanisme. Mais déjà, l’alternative simple entre un espace multiculturel de mondes fermés et un ordre cosmopolitique de sociétés ouvertes nous invite à aller plus loin sur la voie d’un dépassement de cette opposition, et à nous demander si, entre ces deux

avons commerce étant, de fait, nos égaux[5]. Le moment Rousseau et le modèle républicain S’il vaut la peine de s’arrêter un instant à Rousseau, c’est que ce dernier nous livre ce qu’on pourrait presque appeler le modèle idéal-typique du républicanisme civique et qu’en outre il propose une théorie du citoyen comme membre élémentaire du corps politique qu’il vaut la peine de confronter avec la situation contemporaine. Je n’entrerai pas ici dans le détail de la réflexion que présente Rousseau

meurt en héros romantique ! Mais cette régénération vient trop tard. Homais, le pharmacien d'Yonville, gagne sur tout le monde. Reconnu, respecté, il fait triompher avec lui les valeurs qu'il incarne, ce qui fait bien de lui un mythe : un républicanisme étroit et sectaire, une culture mal assimilée et complaisamment étalée, une « langue de bois » avide de pouvoir et soucieuse de respectabilité. Cherchez Homais autour de vous : il pullule ! [...] Le lendemain, Charles alla s'asseoir