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personnage de Thérèse. °Développement : Axe1 : Un rôle informatif -Introduction : L’incipit est un seuil qui permet au lecteur d’entrer dans l’histoire. Dans ce texte la technique de l’incipit «in medias res » nous permet de trouver un ensemble d’informations intéressants pour entrer dans l’histoire. A) Où ? Quand ? -> Cadre spatio-temporel _Indices temporels : au couloir du palais de justice, d’une petite place, de la route de Budos, de la sous-préfecture

Pierre et Jean début son incipit par,  «  «  Zut !» s’écria tout a coup […] de la mer » , le cadre spatio-temporel n’est pas donner et on commence le roman par une action qui est déjà en cour, le terme utiliser pour cette technique est « IN MEDIAS RES » et l’ on découvre déjà un des personnage. Stendhal dans son roman Le rouge et le Noir début son roman par « La petite ville […] la Franche-Comté.». Dans cette première phrase le romancier ne donne que la partie spatial du cadre spatio-temporel en

ne pouvait m’apprendre… » Négation qui crée un suspense l.36: « Je passerai en Amérique » ® on se demande si cette volonté pourra se réaliser. Incipit in medias res: Pour raconter l’histoire d’un personnage on peut suivre la chronologie des événements. Ce n’est pas le cas dans notre texte on a affaire à un incipit in medias res On prend la vie des personnages en cours de route. Cela donne une illusion de réalité. C’est la vieille femme qui amène le narrateur à s’intéresser à Manon et à

existante pour créer une illusion du réel. Et avec le point de vue externe (Germinal), on a l'impression de suivre la scène derrière une caméra, comme si la scène était réelle. Ces trois récits ont un point commun : ils débutent « in media res » du latin « au milieu des choses » Dans le premier récit, le texte commence avec une réplique dont on ne comprend pas la sens au moment où on l'a lit : on ne sait pas qui l'a prononce ni de qui ce personnage parle . L'action a déjà commencé puisque

travers cet incipit que l’auteur présente son protagoniste, informe le lecteur et dénonce. 1- Un incipit qui se positionne esthétiquement : un incipit réaliste. A- Cadre spatio-temporel réel > ancrer dans un univers. B- Le début in medias res > impliquer dans l’action. C- Le personnage principal et les autres. 2- Un incipit qui présente le personnage, informe et dénonce. A- Un séducteur > l’art de la manipulation. B- Un personnage modeste mais élégant > le paraître avant l’être. C-

sa cousine Aloïse. Le dernier extrait parle de la conspiration car Mère Ubu veut devenir reine de Pologne et essaye donc ce convaincre Père Ubu de conspirer pour renverser le roi. Pour le premier extrait d’Alfred de Musset, on a un début in medias res car le lecteur est directement au cœur de l’action, d’un dialogue sans savoir ce qu’il s’est passé avant. Ce texte commence par « Eh bien ! Ciuta, qu’a-t-elle dit ? », cela éveil tout de suite la curiosité du lecteur qui a envie d’en savoir plus, cela

1er texte de la Condition humaine, André Malraux : Un incipit « in medias res » introduction : La Condition humaine, quatrième ouvrage d’André Malraux sur l’Orient après La Tentation de l’Occident, Les Conquérants, La Voie Royale, 1930, est un roman politique et métaphysique relatant les moeurs de l’insurrection communiste en Chine. Le jeune Tchen, participant à ce mouvement révolutionnaire veut au début du roman tuer un trafiquant d’armes susceptible de récupérer un papier pouvant leur permettre

l’incipit de ce roman, où l’auteur propose le portrait de Thérèse Desqueyroux, accusée d’avoir tenter d’empoisonner son mari. En quoi cet incipit incite-il le lecteur à poursuivre sa lecture ? I. Une sortie de procès 1. Incipit « in medias res » Ouverture très dynamique : dialogue, peu de description, alternation narration/dialogue, verbes d’actions « L’avocat ouvrit une porte » : il ouvre la porte du roman et du palais de justice. Dès qu’il ouvre la porte, il l’a referme, ça veut dire

Il est fréquemment employé dans les romans des années 1950 (appelés « Nouveaux Romans »). Il est aussi utilisé dans d'autres types de romans, à d'autres époques : au début des romans policiers par exemple, souvent associé avec une entrée « in medias res ». En résumé, en point de vue externe, le lecteur a très peu d'informations et en sait moins que les personnages. Il assiste aux scènes, découvre les faits comme les gens et cherche à comprendre.

I. Un univers rendu familier A) Entrée in medias res dans un univers • Comme si tout était connu du lecteur, pas d’explication : complément circonstanciel de lieu « ici » (position connue), « juste au virage » (à + le, article défini = endroit connu) • Nom de lieu « Avers », « Chichiliane » = comme si le lecteur pouvait visualiser l’endroit • Cadre spatio-temporel indiqué au fur et à mesure de l’incipit (pas d’un coup de manière très explicite comme dans d’autres œuvres) : « en 1843-44-45 »