Résistance non violente

parfois choisir une attitude positive afin de s'exprimer et de s'affirmer tout en respectant les opinions d'autrui. L’assertivité, étant un élément important à l’affirmation de soi, est un comportement qui permet de faire usage d'une communication non-violente et d'éviter toute forme de conflit. Il permet également une affirmation de soi face à l'autre, que ce soit dans notre vie privée ou dans notre vie professionnelle. L'assertivité, c'est quoi au juste ? Savoir s'affirmer sans agressivité L'assertivité

Assertivité: Le mot vient du mot anglais ASSERTIVENESS. Initié par Andrew SALTER psychologue New-yorkais dans la première moitié du siècle dernier. Développé plus récemment par Joseph Wolpe, psychiatre et professeur de médecine américain comme "Expression libre de toutes émotions vis à vis d'un tiers, à l'exception de l'anxiété" L'assertivité est définie comme une attitude dans laquelle on est capable de s'affirmer tout en respectant autrui. Il y s'agit de se respecter soi-même en s'exprimant

accru : conflits de valeurs, d’intérêts, de représentations, de positions et bien entendu de personnes. D’où la nécessité incontournable de se former régulièrement à des techniques de communication qui ont fait leurs preuves : * La Communication Non Violente de Marshall Rosenberg * La méthode ESPERE de Jacques Salomé * La programmation Neuro-Linguistique Quelques soient les rencontres partenariales auxquelles l’éducateur va être amené à participer, elles requerront de sa part un minimum

L'esprit qui nie toujours Le temple et le tonneau, Jean-Pierre Marchand page 9 III/ Savoir dire non Du consentement à l’assujettissement, Sophie Jankélévitch page13 Antigone ou le pouvoir mutilé, Bertrand Ogilvie page17 Du combat non violent, Jacques Semelin page19 IV/ Faire face S'il est encore minuit dans le siècle, Jacques Tarnero page23 I/ Péril en la demeure Qui dit résistance dit péril, menace sur notre vie. Attention ! Prudence ! l 'ennemi est à nos portes. Il est même déjà

médiatique qui a accusé les activistes non violents d’être des extrémistes et des radicaux. Dans une large mesure, et à court terme, cela a été un succès : quelques bateaux seulement de ce qui aurait dû être une grande et pacifique flottille demeurent opérationnels ; le gouvernement grec, en raison de ses nouvelles relations avec Israël, a plié sous les pressions et empêché les bateaux d’appareiller. Un an après l’assassinat de neuf activistes non violents (pour la plupart turcs) dans les eaux

complémentaires de philosophie. Il lit en dehors des cours plusieurs auteurs dans le but de trouver une méthode intellectuelle pour éliminer les plaies de la société. En 1950, il découvre la philosophie non-violente de Gandhi et Thoreau. Tous deux estiment que la force de résistance non-violente de la part d'une minorité est énorme, dès l'instant ou l'on a l'inébranlable volonté de remporter la victoire et que l'on est prêt à payer le prix. En 1951, il reçoit son diplôme de la Faculté de théologie

arguments : premièrement, grâce l’entrainement à la non-violence, deuxièmement, grâce à la résistance non-violente et dernièrement grâce à sa vision philosophique. Tout d’abord, selon James Baldwin, la résistance face aux actes violents des oppresseurs ne durera pas puisque tout être humain à besoin un jour ou l’autre de sortir de ses gonds. Mais King refuse totalement cette idée car il enseigne l’aspect théorique de la non-violence mais aussi l’application pratique

III) Philosophie de la non violence 1) Le parcours intellectuel de King C’est à Morehouse College que King a son premier contact avec la théorie de la résistance non violente au travers de l’œuvre de Thoreau : « Essai sur la désobéissance civique ». Il y découvre, dit-il, « l’idée de refuser de collaborer avec un système mauvais » . Cette lecture le marque au point qu’il relira l’ouvrage plusieurs fois. « Il était conquit par l’affirmation provocante de Thoreau selon laquelle une minorité

les vingt années qui suivent un combat de résistance non violente et de non coopération face aux autorités d'Afrique du Sud. Influencé par l'écrivain américain Henry David Thoreau (1817-1862), il développe en 1909 ses théories du combat par la non-violence et la désobéissance civile de masse, la satyâgraha, dans un ouvrage intitulé "Hind Swaraj". Henry David Thoreau est un grand écrivain dans lequel il avance dans ses livres l'idée d'une résistance individuelle à un gouvernement jugé injuste

droit, l'article 433-6 du Code pénal dispose « constitue une rébellion le fait d'opposer une résistance violente à une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant, dans l'exercice de ses fonctions, pour l'exécution des lois, des ordres de l'autorité publique, des décisions ou mandats de justice ». En l'espèce : « le fait d'opposer une résistance violente » : M. Dhôtel frappe les agents «  à une personne dépositaire de l'autorité publique » : présence