Responsabilité Et Jugement Hannah Arendt

nous raconter sur leurs pratiques en la matière. C’est que le recours systématique aux représentants de la loi n’était pas vraiment de mode et qu’à vouloir régler ses problèmes en cercle restreint, il fallait bien faire preuve de créativité et de responsabilité pour trouver des réponses là où étaient les problèmes ; on ne parlait pas encore de vie locale ni de proximité, on les vivait. Le sujet n’est pas ici de revenir sur ce qui a changé, même si une réflexion systémique serait avantageusement à mener

histoire, sa genèse, Paris : Vigot Attitude : « Par leur pouvoir normatif et évaluatif, les attitudes constituent la clé de voûte de la représentation » MOSCOVICI, 1961. Auto- évaluation : « Processus par lequel un sujet est amené à porter un jugement sur la qualité de son cheminement, de son travail ou de ses acquis en regard d’objectifs pré définis et tout en s’inspirant de critères précis d’appréciation ». (p.118). LEGENDRE R (1993). Dictionnaire actuel de l’éducation. Montréal : GUERIN. Autonomie :

disparu, laissant le salarié avec une moindre régulation du stress. L‟actualité des entreprises met aujourd‟hui les risques psycho-sociaux sur le devant de la scène et les causes organisationnelles sont à présent reconnues1 et portent leur part de responsabilité dans l‟apparition de ces risques émergents. Dans le contexte des pays développés, les entreprises doivent gérer les demandes de salariés d‟une nouvelle « génération », qui ne fonctionnent plus « au devoir de faire » comme leurs parents, mais qui

légitimité du pouvoir. On prend ainsi petit à petit l'habitude de mettre en cause, de demander des éclaircissements. C'est un processus de publicité qui est mis en place et qui permet l'émergence d'une force nouvelle : l’opinion publique. Pour Hannah Arendt, le terme public a un double sens : ce qui paraît en public d'une part et le monde lui-même en ce qu'il nous est commun à tous d'autre part. Pour elle l'Etat moderne doit se soumettre à cette puissance qu'est l'opinion publique, être à son service

importante territorialisation ; sa possible instrumentation par des groupes d’intérêts ; l’irréductibilité des tensions qu’elle contribue à révéler voire à fabriquer. En définitive, les expériences étudiées ne permettent pas toujours de démentir le jugement post-tocquevillien de Mancur Olson : « Si les groupes privilégiés et intermédiaires triomphent souvent des effectifs numériquement supérieurs des groupes latents, c’est que les premiers sont en général organisés et actifs tandis que les seconds sont

consubstantiel au mouvement puis au régime. Chacun ne tire sa légitimité que de son degré de proximité avec le Führer. De ce fait, en l’absence de tout successeur (« En toute modestie, je suis irremplaçable », propos d’Hitler à ses généraux rapporté par Hannah Arendt), la dictature de Hitler n’a aucun avenir et ne peut lui survivre (selon Kershaw). La mort du Troisième Reich et celle de son dictateur se sont d’ailleurs pratiquement confondues. Les Allemands et Hitler L’adhésion des Allemands à sa politique

entreprises ont de toute éternité été régies par un même et seul principe : l’efficacité. Elles n’ont pas de soucis « moraux ». Le célèbre économiste de Chicago, l’ultralibéral Milton Friedman, avait résumé ce processus d’une phrase célèbre : « La responsabilité sociale de l’entreprise est de faire du profit. » Point de morale dans tout cela2 . André Comte-Sponville pose également la question dans son livre sur le capitalisme. Sa réponse est que celui-ci n’est ni moral ni immoral. Il obéit à une autre

impliquerait que de Gaulle rejette le capitalisme comme le communisme. Au nom de la liberté individuelle, il rejette et condamne très clairement le communisme, il assimile ce modèle à une contrainte matérielle et morale inacceptable. En revanche, son jugement du capitalisme est plus nuancé. Très tôt, de Gaulle a dénoncé le primat de l’économie sur le politique, il critique les grands pouvoirs financiers, capables de dicter leur volonté aux citoyens. La critique gaullienne est même allée jusqu’à une dénonciation

ces réflexions ne reconnaissent pas aux classes laborieuses la capacité de gouverner. L’évolution des idées politiques sous-tend la domination de la bourgeoisie : seule la classe qui montre sa capacité dans la gestion économique peut avoir la responsabilité des charges gouvernementales. D’ailleurs, pratiquement dans le même temps que sont énoncés les principes du libéralisme politique, la nécessité du libéralisme économique commence à être posée et les critiques du mercantilisme s’affirment : William

d'égalité , c'est ce que disait Tocqueville. Ce derniers avait ecrit un jour « les américains sont fait de liberté nous somme d'égalité » . Les americains au nom des plus grande liberté sont prêts a accepter des inégalités : c'est le systéme de la responsabilité individuelle Américaine . Les Français disait-il sont pas tellement prêt a sacrifié l'egalité au nom de la liberté parce que le concept qu'il leur tient a cœur c'est le concepte d'égalité . On plutot tendance a compresser la liberté pour atteindre