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Sartre : L’existentialisme est un humanisme : Résumé : Pour Sartre, il y a deux types d’existentialistes dans le monde : les catholiques (Diderot ; Voltaire ; Kant) et les athées (tel que Freud lui-même) : Pour les catholiques, l’essence précède l’existence : On peut assimiler Dieu comme un artisan et l’homme sa création, autant que l’artisan qui fabrique un coupe-papier : l’essence est la fonction, le rôle. L’existence, le fait qu’il existe matériellement par des techniques et conceptions. Pour

la place très grande que prend l’inconscient dans la conception de la plupart des gens. Il souligne que l’inconscient n’est pas à dissocier du Je et que le fait qu’il existe ne doit en aucun cas nous dispenser d’être tenus pour pleinement responsables de nos actes. Les deux dernières phrases tiennent lieu de conclusion en résumant les lignes précédentes. La première phrase reconnaît le fait que l’homme ne se connaît pas lui-même, et le pose comme un fait indéniable, presque une connaissance scolaire

Le rêve selon Freud et le sommeil paradoxal Jouvet Bibliographie : Jouvet M. : Le sommeil et le rêve, O. Jacob 1992. Laberge Stephen P. : "Evidence for lucid dreaming during REM sleep." Sleep Research, 1981 10 : 141 - 181. Mac-Carley et Hobson : "The neurobiological origins of psychoanalytic dream théory." Am. J. Psychiat. 1977. Trabach-Valadier C. : "Les fonctions du rêve : à propos de la neurobiologie du sommeil paradoxal." Thèse de médecine, Univ. Claude Bernard, Lyon 1988. Sur internet

formateur… tout ce temps là j’ai aussi poursuivi un travail sur moi-même à travers l’expérience de la cure analytique et depuis 2 ans je suis installé comme psychanalyste. » Rouzel définit la psychanalyse comme « son bâton de marche ». Il s’appuie sur Freud et sur sa conception que « l’idée n’est pas que ce qui inconscient puisse un jour devenir conscient, donc qu’on puisse un jour en avoir la maîtrise, mais de l’apprivoiser, d’apprendre à faire avec, pour vivre un peu moins mal » B – BIBLIOGRAPHIE

apaisant. Emotion* : modification de l'état interne de l'organisme à la fois physiologique et psychologique suite à un stimulus modifiant le comportement. Spontanée et universelle. 2 – DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT Développement psychoaffectif (FREUD) Concept de libido et de pulsions 6 stades: Stade oral : 0 – 1 ans : distinction du soi et du non soi  « naissance de la pensée ». Stade anal : 1 – 2 ans : période d’acquisition d’une première forme d’autonomie et de maitrise, et du « non » avec

contre – transférentielle ( le patient transfère chez le psychanalyste une situation qui lui est propre ) . Elle à pour objet d'étude les processus psychiques , Freud considère donc que la psychologie clinique ( on interprète les éléments transfero contre transférentielle contrairement à la psychanalyse ) est en partie liée à la psychanalyse . Freud veut distinguer la psychologie traditionnelle ( béhaviorisme ) par opposition à la psychologie des profondeurs ( ce qui touche à l'inconscient ) . Psy clinique

posée. LA CONSCIENCE D'ETRE LIBRE PEUT-ELLE ETRE ILLUSOIRE? Cours! La conscience, liberté, inconscient. Il existe deu types de conscience. La spontanée (d'un monde) et la reflechie ( la capacitée de faire retour sur soi)comme avec les actes. Cette conscience est illusoire ou veridique. La conscience dedoublement de soi, de s'observer. Prendre conscience de soi est-ce prendre conscience de sa liberté? De quelle lbt? Libre arbitre= lbt de choi sans motif contraignant, etre maitre de soi

l’homme et celle entre un père et son fils sont similaires, en cela que le croyant a la liberté d’agir par rapport à la volonté de Dieu. Il peut décider des moyens par lesquels il s’y conformera, et par conséquent des répercussions de ses actes. L’homme est responsable de lui-même. Il est donc libre. Par conséquent, puisque l’homme choisit de croire ou de ne pas croire en Dieu et en ses prescriptions, et qu’il peut par le fait même décider des chemins à emprunter dans sa croyance ou dans son incroyance

souffrance = maladie mentale par contre dans toute souffrance il y a des troubles mentaux que le psychologue doit repérer. Normalité et Pathologique : On ne peut pas faire une frontière entre le normal et le pathologique ! La psychanalyse de Freud prouve la continuité des 2 principes : il n’y a pas de rupture franche. La frontière est très fine, c’est l’intensité et non les idées du patient qui définit lorsque l’on bascule dans le pathologique. Du grec « Norma » = équerre. La norme c’est

|représentant les pulsions positives, (Thymos, le Cœur) file |lui, parce qu’une bonne partie de sa vie psychique est | | |droit et bravement vers la vérité, le Bien, etc. L’autre, |inconsciente ou irréfléchie. FREUD ( le ça et le Surmoi. En | | |représentant les pulsions viles (Epithymia, le Ventre) va de |effet, nous intériorisons durant notre enfance une multitude de| | |travers et divague, attirant l’homme vers le Mal