Responsable De Nos Actes Freud

Bordeaux) « Si la propension à la guerre découle de la pulsion de destruction, on est tenté d’invoquer contre elle la pulsion antagoniste, l’Eros. Tout ce qui établit des liens affectifs entre les hommes ne peut que s’opposer à la guerre »1 écrivait Freud dans sa lettre à Einstein. Il est courant de voir la guerre associée au déploiement de la pulsion de mort, comme si cette dernière était synonyme de destruction et de chaos. Pourtant, lorsqu’on relie l’activité guerrière à la théorie des pulsions,

La méchanceté « L’homme étant bon les hommes sont devenus méchants » pour rousseau, ce n’est pas la nature de l’homme qui est mauvaise c’est la société qui est responsable de tout le mal. Donc la méchanceté serait une affaire de malchance ce qui est conforme à l’étymologie, le méchant est malchanceux d’abord puis misérable. La méchanceté serait affaire de malchance, autrement dit de circonstances, il n’y aurait pas de méchanceté foncière, la méchanceté serait dérivée et donc excusable. Il n’y

vision de l’Enfer. Ainsi il écrira Huis clos en 1944. Pour l’écrire il s’inspire de son nouveau mouvement philosophique qui est l’existentialisme, grâce auquel il tente d’expliquer que l’avenir de l’homme lui appartient et qu’il est donc seul responsable de ses actes et de ses choix. Sartre étant athée, il veut faire comprendre à ses lecteurs que Dieu n’intervient en rien dans la destinée de l’Homme. Il écrivit de nombreux des romans et nouvelles tels que La Nausée en 1938, Le Mur en 1939, Les Chemins

] Mais si vraiment l'existence précède l'essence, l'homme est responsable de ce qu'il est. Ainsi la première démarche de l'existentialisme est de mettre tout homme en possession de ce qu'il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale de son existence. Et quand nous disons que l'homme est responsable de lui-même, nous ne voulons pas dire que l'homme est responsable de sa stricte individualité, mais qu'il est responsable de tous les hommes. Il n'est pas un exemplaire d'une norme

laisse guider aussi par notre part naturelle. Le problème est que les conséquences des actes commis sont eux soumis systématiquement à l'examen de la conscience, surtout si ils sont allés à l'encontre de la morale. L'homme doit alors faire face à un nouveau paradoxe : sa liberté conférée par la conscience se trouve limitée par sa propre conscience, mais cette fois-ci par une conscience morale. L'homme, responsable, qui croyait vivre selon sa conscience se heurte à des bornes morales instaurées par

fondement de ses pensées et de ses actions". Sommes-nous réellement au fondement de toutes nos pensées et actions? Non. Comme expliqué ci-dessus, le sujet n'est jamais entièrement la seule entité au fondement de ces actes. Il demeure toujours un part de l'influence d'autrui... Freud nous parle de l'inconscient. La psychanalyse, qui est l'analyse de la psychée et plus précisemment de l'inconscient, permet de soigner l'hystérie: une maladie psycho-somatique se manifestant par des symptômes particuliers

l’homme, étant doté de la pensée, est responsable. De plus, il expose que l’inconscient est corps, c’est à dire matériel, il serait donc impossible qu’il nous pousse à faire quelque chose. Il est donc loisible de se demander quelle vision de l’inconscient développe Alain dans ce texte ? L’auteur affirme dans un premier temps que deux Moi ne peuvent exister, et qu’un second Moi, c’est à dire l’inconscient serait une échappatoire à la responsabilité de nos actes. Nous pouvons remarquer, par la suite

son attention sur un objet mentaux précis et il faut être responsable de nos actes, conscient ou non. C'est une définition pour le moins complexe qui nécessite une grande réflexion sur le terme. Si l'on considère premièrement que la conscience représente un point de vue exclusif sur nos états mentaux et qu'elle est la présence immédiate de la réalité, et si l'on considère deuxièmement que la conscience renvoie a l'intentionnalité de nos actes qui serait en relation avec nos sentiments, notre perception

dans la première phrase du texte, est la suivante : un caractère essentiel de l’homme est d’être conscient ; et ce fait implique nécessairement qu’il a une dimension morale, c’est-à-dire la capacité de juger en termes de bien et de mal chacun de ses actes comme ceux d’autrui. Et Kant de rajouter, cœur de son propos, que l’homme ne peut pas échapper à cette dimension morale : il ne peut pas ne pas se juger et juger les autres en termes de bien et de mal – c’est d’ailleurs cette réalité que l’on désigne

            2. Le déterminisme social Proposé d’abord par E. Durkheim, le déterminisme social désigne la façon dont le comportement des individus d’une société dépend de la société elle-même. En d’autres termes, les volontés des individus et les actes qui en découlent sont des « faits sociaux », ils appartiennent à un ensemble (la société) qui est première et supérieure (= holisme) par rapport aux individus et qui les déterminent. Le déterminisme social explique les phénomènes de reproduction sociale :