Résultat financier

de Calcul du coût de production ou coût prévisionnel période1...................... 14 3. Saisie de la première décision.................................................................................... 16 IV/ COMMENT INTERPRETER VOTRE PREMIER RESULTAT ? .................... 18 A. Informations gratuites ................................................................................................ 18 1. Classement ...............................................................................

touts les préteurs et pour poursuivre son activités. Pour cette garantie, elle doit collecter, gérer des ressources financière, et analyser en permanence la situation et la fonction mènent de l’entreprise. En fin, il lui faut maitrise tous les financiers lies à son activité. Il s’agit donc d’assurer le pérennité de l’entreprise tout en galantisant : * Sa rentabilité, sa solvabilite, son autonomie, son développement à long terme. A) Qu’est-ce que la rentabilité de l’entreprise ? La rentabilité

0248 | 4364/140843 | 0.031 | DLMTCAF | / | / | 70904/32155 | 2.205 | 56798/33392 | 1.701 | EBECapitaux engagés | / | 0 | 34667/40000 | 0.138 | 44004/40000 | 0.191 | Résultat netFonds propres | / | 0 | 58809/76580 | 0.01 | 62616/89198 | 0.141 | Rémunération des actionnaires | 0 | 0 | 0 | | | | EVALUATION DES RESULTAT EN 2004 (en euros) Marge commerciale + Production387585 | | | Conso.Externe101625 | Valeur ajoutée H.T.285960 | | | Subventions5794 | | Impôts et taxes7119

capital de F (filiale de M), F détenant 70 % du capital dans SF (filiale de F, et sous-filiale de M). Les bilans sont les suivants : Bilan de M Actif Immobilisations corporelles Titres F Autres actifs Total Passif 1 400 Capital 192 Réserves 408 Résultat Dettes 2 000 Total 400 380 120 1 100 2 000 1re partie : Les principes La consolidation d’un groupe comportant à la fois des filiales et des sous-filiales peut s’effectuer d’abord selon la méthode par paliers. La démarche est ascendante : la sous-filiale

étudiées ultérieurement. Les produits Comptabilisés comme tels, ils sont dans leur grande majorité compris dans le résultat fiscal. Il y a donc peu de corrections à apporter. A PRINCIPES Tous les produits non financiers qui proviennent de l’activité de l’entreprise ou qui peuvent être rattachés à un élément inscrit au bilan de l’entreprise doivent être inclus dans le résultat fiscal. La règle comptable étant identique à la règle fiscale, il n’y a pas de corrections extra-comptables à opérer.

PROFESSEUR: Nabil BOUAYAD DÉTERMINATION DU RÉSULTAT FISCAL IMPOSABLE (R.F.I) PROFESSEUR: Nabil BOUAYAD Détermination du Résultat Fiscal Imposable R.F.I R. Comptable = Produits - Charges. Impôt = Résultat comptable x Taux I.S FAUX PROFESSEUR: Nabil BOUAYAD Détermination du Résultat Fiscal Imposable R.F.I Le résultat fiscal est obtenu en apportant au résultat comptable des corrections d’ordre fiscal. R.F.I = Résultat comptable avant impôt + Réintégrations – Déductions

Introduction Un groupe d’entreprise ou groupe est un ensemble d’entreprises nationales et /ou internationales, présentant des caractéristiques juridiques distinctes, mais qui ont des liens directs et /ou indirects principalement financiers notamment la participation ou le contrôle, organisationnels en l’occurrence les dirigeants, les stratégies envisagées et économiques en mettant en commun les ressources. Il existe plusieurs groupes marocains, notamment le groupe Benjelloun qui comporte la BMCE

dotation amo. & provision reprise = EBIT Charge financière Produit financier charges exceptionnelles produits exceptionnels impôt effectivement faux = Résultat Net + + + + Résultat Net + impôt effectivement faux + intérêts (ch. financière) = EBIT - impôt théoriquement juste = NOPAT EBIT - impôt théoriquement juste = NOPAT + dotation amo. & provision - reprise - ∆ BFR = CF Exploitation - Investissement (achats) = FCF EBITDA - Résultat s/cession (HE) + charge d'intérêt (HE) - Revenu placement (HE)

comparant les chiffres dans le temps. Les groupes Procter & Gamble, Unilever et LVMH semblent être les principaux concurrents de L’OREAL ; cela nous permettra donc de faire une comparaison dans l’espace. I- ETUDE DE L’ACTIVITE DE L’OREAL 1. RESULTAT DE L’ACTIVITE Les ventes augmentent d’environ 10 % sur les quatre années observées et sur l’ensemble des continents, de manière générale. Cette progression est nettement plus marquée que celle du marché cosmétique mondial, du fait d’une croissance

réglementaires 111. La procédure normale 112. L’OPA simplifiée 113. La garantie de cours 114. Les conditions de dérogation à l’obligation de lancer une OPA 12. Aspects financiers 121. Impact sur le BPA et le cours de bourse 122. Impact sur le ratio d’endettement 123. Impact sur la capacité de remboursement 13. Aspects fiscaux 131