Resume De Une Si Longue Lettre De Mariama Ba

négro - renaissance »ayant pour but d’affirmer la dignité de l’homme Noir. Ils déclarent dans leur manifeste.« nous, créateurs de la nouvelle génération nègre, nous voulons exprimer notre personnalité sans honte ni crainte. Si cela plait aux Blancs, nous en sommes fort heureux. Si cela ne leur plait pas, peu importe. Nous savons que nous sommes beaux. Et laids aussi » ces intellectuels firent de Harlem un lieu d’effervescence artistique. Le jazz, le théâtre, la danse, le saoul. De tous les témoins

une littérature jeunesse commence à se développer. La littérature féminine est quant à elle la fille des indépendances. C’est à partir des années 70 que se manifeste en Afrique une écriture féminine autonome. Le roman épistolaire de Mariama Bâ, Une si longue lettre, publié en 1979, en fut le coup d’envoi spectaculaire. En ce début du XXIe siècle, c’est le mouvement de la « Migritude », un néologisme qui combine négritude et émigration, qui caractérise cette littérature. Les nouvelles générations

CLASSE : 2nde C1 SITE DE RECHERCHE : Wikipédia THEME : : travaux collectifs sur la littérature africaine LA LITTERATURE AFRICAINE ------------------------------------------------- Littérature africaine Cet article présente un court résumé des littératures des pays d'Afrique en groupant les présentations sur une base de langues. Sommaire  [masquer]  * 1 Les littératures historiques * 1.1 La littérature de l'Égypte antique * 1.2 La littérature phénicienne, grecque, et latine

N° 3 PORTANT SUR : INTRODUCTION I / LA PRESENTATION DE L’AUTEUR ABDOULAYE SADJI 1) La biographie de l’auteur 2) Ses œuvres II / RESUME DE NINI III / STRUCTURE DU ROMAN IV / LE PERSONNAGE 1) Les mulâtres 2) Les noirs 3) Les blancs V / THEMES DANS NINI 1) Les thèmes CONCLUSIONS NOMS DES EXPOSANTS : • Ibra MAR • Baydi BA • Moussa DIONGUE • Maïmouna DIENG • Abdoulaye MAR • Fatoumata BOIRO • Mame Ibrahima SECK • Mouhamadou El Bachir SECK DECHARGE

D’UN CONTINENT A L’AUTRE : LA LITTERATURE COMME UNE ARME DU COMBAT FEMININ Résumé : Bien qu’étant le produit de cultures et d’environnements (milieux) différents, Calixthe Beyala et Lalita Tademy, deux célèbres romancières noires, respectivement d’Afrique et des EtatsUnis d’Amérique, se rejoignent dans un même combat, au delà des continents, à travers les thèmes qu’elles développent, les personnages qu’elles peignent et la richesse de leurs styles (écritures) presque opposés. Pour les romancières

L’ŒUVRE ROMANESQUE DE CALIXTHE BEYALA ET LA PROBLEMATIQUE D’UNE ECRITURE AFRICAINE AU FEMININ Jean Soumahoro Zoh Université de Bouaké - Côte d’Ivoire zohjean@yahoo.fr Résumé : Très prolifique (elle a publié de 1987 à 2007 quatorze romans et deux essais), Calixthe Beyala est devenue l’une des romancières les plus importantes de la littérature féminine africaine. Ce qui frappe le lecteur qui aborde pour la première fois ses romans, c’est, entre autres, la présence d’une subjectivité féminine

joies et, à travers cela, on va voir se dessiner ce qu'ils appelleront "la nouvelle littérature africaine". Aujourd'hui, j'entends les hommes parler de cette petite littérature individualiste en désignant Ahmadou Kourouma, sans saluer au départ Mariama Bâ. Or, ce sont les femmes qui ont lancé ce modèle de littérature individualiste, cette littérature qui, il y a dix ans encore, était méprisée des hommes parce qu'il fallait parler des colonisateurs, parce qu'il fallait parler des dictateurs, cela

LES PERSONNAGES DE ROMAN CHEZ LES AFRICAINS FRANCOPHONES Par Ibrahima Ba ‘…–‡—” °• Ž‡––”‡•ǡ ‡•‡‹‰ƒ–Ǧ…Š‡”…Š‡—”  Žǯ‹˜‡”•‹–± †‡ Š‹°•Ǥ Résumé L’évolution du personnage de roman en Afrique noire francophone est indissociable de l’histoire politique du continent. En effet, dès sa naissance, la fiction romanesque africaine a tenté de déconstruire les moules dévalorisants dans lesquels la littérature coloniale avait enfermé l’image du nègre. De la littérature de consentement, en passant

etc. ; tous travers fustigés sans répit, aux antipodes de la parole discrète, murmurée, intimiste, et de l’écriture pleine et souple, toujours élégante : celle d’Une si longue lettre de Mariama Bâ, une des premières romancières de l’Afrique francophone. Publié en 1979 et écrit sous la forme d’une correspondance entre deux amies de longue date, ce roman donne à lire le vécu quotidien des femmes africaines, fait de polygamie, de souffrances et de solitude affective dans la société de façon globale, une

de l’évolution du genre en Afrique Noire. La filiation européenne est l’enveloppe visible d’une écriture qui dès ses premiers pas a posé son autonomie. Très rares sont pourtant les romanciers africains qui s’inscrivent en rupture. Tout se passe comme si la stratégie de continuité était le moyen le plus sûr de creuser un écart en toute tranquillité, à l’ombre d’une intrigue conventionnelle qui reprend souvent sans sourciller les clivages coloniaux de la ville et du village, de la modernité et de la