Retour Du Protectionnisme

pour effet de déconnecter les consommateurs que nous sommes du bon sens qui prévalait quand les échanges n'étaient pas soumis à la tyrannie de la finance et des marchés. Loin de moi l'idée d'adopter les dogmes altermondialistes ou de prôner le retour à l'économie de grand papa : le monde n'est plus une constellation d'états économiquement indépendants et rien n'est plus exaspérant que cette nouvelle lutte des classes qui oppose riches et pauvres, pays développés et pays émergents. Cependant

Finances de Louis XIV) est passé dans l’histoire comme l’exemple du soutien étatique aux manufactures royales. En règle générale, les droits de douane n’étaient pas exorbitants : 20% étaient considérés comme élevés. Selon les mercantilistes, ce protectionnisme devait avoir des conséquences positives sur l’économie nationale et sur l’emploi. En important des matières premières à vil prix, on favorisait leur transformation dans le pays en produits finis. Certains mercantilistes anglais parlaient de «balance

résistances des pays sous influence C). D’autres plans thématiques sont possibles, comme celui fondé sur l’interrelation Etats-Unis-Amérique I. Les Etats-Unis imposent un écrasant leadership à l’Amérique, qui a pu dériver en impérialisme II. En retour, des réactions diverses mais souvent guidées, au cours du XXème siècle, par un fort nationalisme anti-yankee III. Bilan et perspectives : vers l’unification ou la division du continent ? Proposition de plan I. Des relations marquées au XXème

la convergence et rend nécessaire, d’une part, le renouvellement des théories, d’autre part, la conception même de l’insertion dans le commerce mondial 2.1 Pour comprendre l’absence de convergence entre pays et au sein même des économies … 1) Retour sur l’analyse de l’évolution des inégalités entre pays… a) Lors de la « première mondialisation » • Les analyses de Bourguignon et Morrisson, citées par Pierre Noël Giraud montrent que de 1820 à 1940, les inégalités entre les pays ont fortement

 En ce début de XXIe siècle, nous vivons l’amorce d’un reflux de cette globalisation économique, que l’on appelle « mondialisation », même si ce terme a une signification plus large. L’histoire et la politique reprennent leurs droits. C’est le retour des États, que l’on disait naguère impuissants, et le recul des marchés, que l’on prétendait omniscients. Cette globalisation – ou mondialisation – a été porteuse de bien des passions contradictoires. Elle a été adulée par les uns, vilipendée par

oligopole. Macro économie des intervenants publics,, politiques, monétaires, politiques budgétaires, politique des prix des revenus… La globalisation de l’économie : La théorie des avantages comparés ; Le protectionnisme dans tous ses états ; FMI et banque Mondiale ; Les nouveaux gendarmes de l’économie de marché ; (Le cas des pays émergents et des pays issus de l’ancien bloc de l’est) Référence – Stiglitz ? L’arc, la bonne conscience du commerce international 

pouvant être affinées dans le développement. Une problématique : interroger, par exemple, les effets des gains de productivité sur l’emploi (création, destruction, substitution…), ce qui pose la question du partage des gains de productivité ; et, en retour, de l’emploi sur la productivité (impact de l’évolution sectorielle, des formes d’emploi, du niveau de la demande…). L’annonce du plan LE DÉVELOPPEMENT doit être articulé en deux ou trois parties, elles-mêmes clairement structurées. Voici les

droits de douane Le protectionnisme : pratique économique visant à protéger une économie (ses biens et services) de la concurrence extérieure. ¤ Comment ? Favoriser les exportations avec des subventions Limiter les importations (barrière douanières, taxes, droit de douanes, quotas aux importations…) Privilégié les entreprises nationales dans les appels d’offre Empêcher les investisseurs étrangers de prendre le contrôle des entreprises françaises ¤ Exemples de protectionnisme : Les mésaventures du

Etats-Unis doivent intervenir en Europe pour régler le problème de la réparation de l’Europe avec le plan Dawes et le plan Young en 1929. Lors de la Grande dépression les Etats-Unis retirent progressivement leur capitaux d’Europe et ont recours au protectionnisme, ce qui entraîne l’Europe dans la crise. Dans le même temps ils deviennent une terre d’accueil pour ceux qui fuient la montée du fascisme et du nazisme mais ils ne se préoccupent pas encore du réarmement de l’Allemagne. Ils ont alors une politique

généralisé. La part de l’économie publique a été réduite par de nombreuses privatisations et le système financier libéré des contraintes posées par les politiques s’est lancé dans les spéculations tous azimuts. L’argent faisait de l’argent, 15% sur retour d’investissement, telle était la norme. Les patrons comme les cadres dirigeants voyaient leurs rémunérations exploser, les traders jouaient à : "pile je gagne, face tu perds" avec les investisseurs, et les chinois reprenaient la production industrielle