Rhum arrangé

s’emparent de deux autres couteaux en décidant de mener à bien leur terme. malgré les arguments de leur entourage, ils retournent au bar, les couteaux enveloppés dans du papier journal. La gérante Clotilde Aramenta leur sert du rhum, dans l’espoir de les saouler et d’annihiler chez eux toute envie de faire ce crime. Dans les pages qui suivent le narrateur donne plus de détails du bar et de sa gérante. -Quatrième chapitre : Le narrateur nous raconte dans ce chapitre

résultats : Taux de (mensuel) Fréquentation Lunch 72 % Diner 79 % b) Le bar Le Lolly bar est décorer dans la même ambiance que la réception. Le bar propose de nombreuses boisson et disposent d'une carte varié, du simple cocktail de fruits frais au rhum arrangé fait maison par la barman. Le bar est ouvert tous les jours au même horaire que le restaurant. 13 c)Le petit déjeuner : L'hôtel Bellepierre ****, dans sa salle panoramique, propose un petit-dejeuner de 6H00 à 10H00 ( 10H30 les week ends) avec

3 Une fois réalisé, rajouter le rhum. 4 Tremper les babas qui auront été réalisés la veille. 5 Les faire tremper par 2 ou 3 à la fois. 6 Les retourner... 7 ...de manière à bien les imbiber. 8 Les retirer à l'aide d'une écumoire et les placer sur un plat. Laisser refroidir. 9 À feu doux, faire fondre le nappage avec un peu d'eau. 10 Pendant ce temps, préparer les fruits et un peu de crème chantilly ou de crème pâtissière parfumée au rhum. 11 De temps en temps, remuer le nappage

discuter avec Hansen, tâchant de retenir leurs noms, et de me rappeler leur figure, car, ce qui compte beaucoup en librairie, plus qu’ailleurs, c’est d’appeler l’acheteur par son nom dès qu’il met le pied dans la boutique. Pour le logement, je m’étais arrangé avec lui. Je reprendrais les deux pièces qu’il occupait au-dessus du drugstore en face. Il m’avait avancé quelques dollars, en attendant, afin de me permettre de vivre trois jours à l’hôtel, et il eut l’attention de m’inviter à partager ses repas

avec Han- sen, tâchant de retenir leurs noms, et de me rappeler leur figure, car, ce qui compte beaucoup en librairie, plus qu’ailleurs, c’est d’appeler l’acheteur par son nom dès qu’il met le pied dans la boutique. Pour le logement, je m’étais arrangé avec lui. Je repren- drais les deux pièces qu’il occupait au-dessus du drugstore en face. Il m’avait avancé quelques dollars, en attendant, afin de me permettre de vivre trois jours à l’hôtel, et il eut l’attention de m’inviter à partager ses repas

voulaient la bouteille... Il chantait d’une voix aigre et cassée qui semblait s’être usée à l’accompagnement du cabestan, et frappait comme un sourd à la porte, 6 avec un gros bâton de houx qu’il avait au poing. À peine entré : « Un verre de rhum ! » dit-il rudement à mon père. Il le but lentement, en connaisseur, fit claquer sa langue, puis revint à la porte et se mit à examiner d’abord les falaises qui s’élevaient sur la droite, puis notre enseigne et l’intérieur de la salle basse.

rengaine de marin que j’ai si souvent entendue par la suite : “Quinz’ matelots sur la malle du mort— Yo–ho–ho, une bouteille de rhum !” de sa vieille voix haut perchée et chevrotante, qui semblait avoir été accordée au grincement du cabestan. Il a frappé la porte avec un bout de canne qui ressemblait à un levier de marine. Quand mon père est apparu, il a commandé un verre de rhum d’une voix rude, mais ensuite il l’a bu lentement, comme un connaisseur, le savourant sans cesser d’observer les falaises et

discutables et Maupassant ne cesse de le ridiculiser. En fait, Cornudet et Boule de suif sont perçus comme deux marginaux que tout aurait pu rapprocher. Les Loiseau Les Loiseau sont des gens du peuple. C’est seulement sa réussite financière qui les a arrangé du côté des bourgeois. Ils sont médiocres, profondément vulgaires, à l’humour grivois. M. Loiseau. On voit lors du dîner final, son goût pour les plaisanteries sexuelles. Cela révèle sa nature vulgaire. On remarque aussi qu’il ne sait pas se

bons oiseaux. Retour au gîte et repos avant le dîner, prévu au restaurant de Judith et Denis, à 19h30 : un bon repas pris sur une grande table commune, après un apéritif de punch : crudités, poisson et riz, glaces en cornet. Digestif en prime : vieux rhum délicieux. On boit beaucoup dans ce pays, à l’instar du patron qui se ballade toujours avec une bière en cours. Expédition tortue après le dîner. En voiture jusqu’au parking de l’auberge de jeunesse, au bord de la plage. Pas moins de 6 tortues luth

cabestan, il entonna cette antique rengaine de matelot qu’il devait nous chanter si souvent par la suite : Nous étions quinze sur le coffre du mort... Yo-ho-ho ! et une bouteille de rhum ! Après quoi, de son bâton, une sorte d’anspect, il heurta contre la porte et, à mon père qui s’empressait, commanda brutalement un verre de rhum. Aussitôt servi, il le but posément et le dégusta en connaisseur, sans cesser d’examiner tour à tour les falaises et notre enseigne. – Voilà une crique commode, dit-il à la fin