Ridicule

l'argumentation. Fontenelle observe avant d'interpréter, étant un scientifique, on peut parler de « méthode expérimentale », il souligne donc le défaut qui pousse les hommes à l'erreur : la précipitation et ce qu'elle engendre : le ridicule. « Enfin nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point. » Les dernières ligne (allant de la ligne 22 à 7) permettent à l'auteur de développer sa pensée, et de conclure, il explique dans sa 1ère phrase que cette « méthode » est utilisable

chaine de la télévision. Elle est vêtue d’une tenue légère rouge-noir, un maquillage pâle. Elle regrette Orphée. Le geôlier tante de séduire Eurydice mais en vain. Avec l’aide de Cupidon, Jupiter se métamorphose en une bête ridicule, une mouche. Ce passage est complètement ridicule, suivit du ballet des mouches pour distraire l’attente du public. Eurydice est séduite par la mouche. Ce qui est complètement impensable. Cette scène d’approche tourne au comique avec des gestes « déplacés » Après cela, Jupiter

femmes -La mère : décrite physiquement, l'accent est mis sur sa corpulence généreuse qui lui attirun grand respect. L'auteur insiste sur le respect qu'entraine le poids=> ridicule les 2 phénomènes sont sans rapport. Ce poids fait ressembler à un animal. -La fille : elle est nommée = plus grand importance, son prénom est ridicule, elle est décrite « fraiche, grasse, appétissante » ce qui la fait ressembler à une patisserie ou a une volaille. ==> Les 2 personnages féminins sont décris physiquement

• COMPOSITION - 3 temps forts : -Description générale de la classe - Focalisation de la description sur la casquette - Paroxysme du ridicule à la révélation du nom (Charbovari, qui évoque un charivari !) I) Un personnage vaincu 1) Description physique de Charles La description de Charles suscite d’emblée la surprise par son ridicule qui implique une mise à l’écart immédiate, d’autant plus qu’il est « nouveau » (insistance marquée par les répétitions du substantif « le nouveau »

s’accepte , se comprennent, contrairement à la curiosité qui se consacre entièrement à quelque chose de ridicule. Il y a un parrallélisme de construction « Ce n’est pas .. mais...» , qui entraine une dévalorisation de la curiosité supplémentaire. Ce parrallélisme permet a La Bruyère d’appuyer tout ce que n’est pas la curiosté. Au fil des phrases, La Bruyère rend l’objet de la curiosité ridicule, dérisoire. On peut tous tombé dans cet excès, il fait le procès de l’excès de l’être humain en générale

partie d’humanité ridicule que l’auteur souhaite mettre en exergue. Et toute pièce montre des personnages, qu’ils soient humains, objets ou animaux, aucune à ma connaissance ne déroge à la règle. Le théâtre, c’est un zoo de l’homme, présentant des spécimens originaux. Ridicule, le mot est lâché. Nous rejoignons ici Pagnol. Le rire se fait au détriment du moqué. Pour nous rendre supérieurs ou remettre gentiment en place les valeurs constitutives de la société. En effet, le ridicule né d’une inadéquation

nomées « jurons ubuesques » ont été inventé par Jarry pour tourné au ridicule son personnage. Le roi Ubu est d'autant plus ridicule du fait qu'il s'exprime avec des jurons et après site les saints au vers 12. Les saints qui sont attribués à un caractère religieux marque à l'aide d'une antithèse l'objection entre le rôle noble d'être roi et le comportement de Ubu ; cela traduit que Ubu n'est pas à la hauteur de son titre et le rend ridicule. D'autre part, on retrouve chez ce roi une incohérence dans ces

société ou de certains type d’individu. Dans Le Bourgeois gentilhomme, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le mode de vie de la noblesse. Dans cette pièce, Monsieur Jourdain, personnage naïf va être tourné en ridicule. Il permet à Molière de dénoncer le comportement qu’ont certains bourgeois de son époque. Certaines pièces de théâtre dénoncent plutôt les travers de la société dans laquelle l’auteur vivait. Ainsi dans un même but critique, Beaumarchais a écrit

l’acte I, un dialogue entre les beaux-parents et le gendre souligne la tension entre les personnages : on peut alors se demander qui domine dans la conversation. S’il s’avère que le dialogue débute à l’avantage des deux nobles, mettant en avant le ridicule de Dandin, il n’empêche que la situation semble ensuite s’inverser au profit du protagoniste principal. Cependant, les deux partis peuvent également apparaître sur un pied d’égalité sur l’ensemble de l’échange. On peut finalement envisager une domination

totalement différent . Le marquis est ridicule car il est précieux . Il répète toujours les mêmes arguments creux et sans originalité : '' elle est détestable parce qu'elle est détestable '' . Il remplace donc le vide des arguments par des formules toutes faites qui ne prouvent rien du tout comme : '' Dieu me damne '' ,'' Mais enfin je sais bien '' ; ainsi que par des rires ridicules comme '' Hai ! Hai ! Hai ! Hai ! Hai Hai ! '' . De plus , il se rend ridicule tout seul en reconnaissant implicitement