Rien en commun

une différence. ≠ Différence : Deux choses sont différentes dans la mesure où elles n’ont pas la même détermination. De la même manière que deux choses identiques ne le sont pas radicalement. Deux choses pour différer doivent partager au point un commun : l’être ≠ Egalité : deux biens sont égaux lorsqu’on leur reconnaît une même valeur (ce qui ne les empêche pas d’être différent). Deux personnes sont égales lorsqu’on leur reconnaît une même dignité (càd les même droits) I/ Qui est autrui ?

connaissance? nous verrons dans une premiere partie ce que pense la majorité sur cette question. Puizs nous démontrerons, que la majorité se tient dans le faux. enfin, nous elaborerons la solution qu'a l'homme pour parvenir a sa connaissance. I/opinion commune: non l'homme n'est pas condamné a se faire une illusion de lui meme. a/ L'homme se connait, il sait comment il est physiquement grace a ses sens. Les sens lui donne les informations sur son physique. Donc nous pouvons etre certain que grace aux

de la démocratie. L’égalité formelle renvoie à trois notions. Dans un premier temps, l’égalité de fait implique que nous sommes tous soumis aux mêmes obligations, de jouir des mêmes droits dans une société où les privilèges ont été abolis. De plus, rien n’est refusé à personne car la mobilité sociale permet à chaque individu d’accéder à n’importe quelle fonction alors que cela était strictement impossible dans l’Ancien régime. D’autre part, la tendance à l’égalisation implique que les hommes font

sérieux n’excluant pas la convivialité, des nourritures “terrestres” (biscuits, boissons non alcoolisées…) accompagnent celles de l’esprit. Sans prétention mais avec un peu d’ambition, nous cherchons ainsi moins à produire une position philosophique commune qu’à confronter nos arguments sur quelques questions essentielles. Les textes du menu de gauche ont servi d'introduction aux précédents ateliers. Ils sont classés par ordre alphabétique des notions concernées. Leurs auteurs sont désignés par leurs

Paris : Nathan.) Cet entretien intégralement retranscrit ici a été mené auprès d’une jeune femme, bachelière, mariée, mère d’un enfant et qui en attend un second. Sophie est ouvrière dans un abattoir de cailles d’une petite commune

com/medias/images/en-attendant-godot-Becket.jpg           En attendant Godot de Samuel Beckett : Scène d'ouverture du début à « Il n'y a rien à voir » Le texte : Route à la campagne, avec arbre. Soir. Estragon, assis sur une pierre, essaie d'enlever sa chaussure. Il s'y acharne des deux mains, en ahanant. Il s'arrête, à bout de forces, se repose en haletant, recommence. Même jeu. Entre Vladimir. ESTRAGON (renonçant à nouveau). — Rien à faire. VLADIMIR (s'approchant à petits pas raides, les jambes écartées). — Je commence à le croire

 Parler d'une nature de l'homme, c'est parler d'une essence commune à tous chez l'homme, c'est à dire un ensemble de traits que l'on retrouve chez tous les hommes sans exception. Le problème est donc le suivant : d'un côté, la pensée commune s'accorde à dire que l'homme possède une nature (exemple : la nature de l'homme est d'être mauvais), mais de l'autre, les observations nous prouvent le contraire quant à la diversité des êtres humains et à sa perfectibilité. Nous essaierons donc dans une

c’est-à-dire un are éternellement insatisfait ? Que manque-t-il à l’homme pour qu’il désire tant ? « Malheur à qui n’a plus rien à désirer », déclare Rousseau qui semble vouloir nous mettre en garde. Or la définition commune et l'étymologie du terme de désir nous enseignent le contraire. En effet, le désir est généralement considéré un manque, une absence. Ce sens commun est hérité du mot « desiderare » en latin, qui signifie « le regret de l’absence du ciel étoilé », l’avenir étant lu dans les

Ses yeux sont clairs et leur blanc est strié de rouge. Le docteur Simon apparaît dans le texte sous deux dénominations « Le docteur Simon » et « Simon », privilégiant tantôt sa fonction (d'ailleurs héritée de son père), tantôt l'homme. Ce nom très commun peut aussi être son prénom: on ne le voit à aucun moment de l'histoire désigné de façon à pouvoir inférer sur son identité complète. L'auteur, par cette désignation ambiguë, affirme le caractère solitaire du protagoniste, et facilite l'assimilation

Le rêve et la réalité Rien n’est plus frappant que la ressemblance du rêve avec les perceptions de la veille. Nous voyons, dans nos rêves, des objets, des personnes, des évènemens identiques à ceux de la veille. La croyance à la réalité de ces objets, de ces personnes, de ces évènemens, est aussi absolue que pendant la veille. On ne saurait trop insister sur ce point : la sensation du réel est aussi complète, aussi intense. Les émotions sont aussi profondes et aussi vives ; les joies ont souvent