Rigidité

Commissariat au Plan (HCP) sur la période 2005-2012, rencontrent de nombreuses difficultés. L’analyse statistique a distingué deux familles de difficultés : une première constituée par des facteurs exogènes aux entreprises du BTP (la baisse d’activité, la rigidité des prix, la faiblesse de trésorerie et l’approvisionnement étranger). La seconde famille regroupe des obstacles d’ordre interne, comme : la hausse des charges, le recouvrement des créances et l’approvisionnement local. L’analyse temporelle montre

déséquilibres (cf. les marchés financiers).  B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue  1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications, de contrats, de règles, auxquelles s’ajoutent les rigidités géographiques, culturelles, et celles qui

initiale est modeste et dont les qualifications ne correspondent plus aux profils des nouveaux métiers. Source : P. Charpentier, « Flexibilité et travail; enjeux économiques et sociaux », Cahiers français, n° 304, sept-oct 2001 DOCUMENT 3 La rigidité salariale est le grand argument libéral pour expliquer le chômage de masse européen face aux succès américain et britannique. Ces analyses ont pour elle une cohérence indiscutable. (...) Quelques éléments de discussion sont cependant utiles :

au Plan (HCP) sur la période 2005-2012, rencontrent de nombreuses difficultés. L’analyse statistique a distingué deux familles de difficultés : une première constituée par des facteurs exogènes aux entreprises du BTP (la baisse d’activité, la rigidité des prix, la faiblesse de trésorerie et l’approvisionnement étranger). La seconde famille regroupe des obstacles d’ordre interne, comme : la hausse des charges, le recouvrement des créances et l’approvisionnement local. L’analyse temporelle montre

Théorie des contrats implicites Publiée par Azaradis en 1975, la théorie des contrats implicites est d'inspiration de la Nouvelle économie keynésienne et cherche à montrer les imperfections qui existent sur le marché du travail expliquant une rigidité des prix sur ce marché. [pic]Bases de la théorie Cette théorie part du constat que les fluctuations des salaires sont beaucoup plus faibles que les variations de l’emploi et de la production. L’explication tient au fait que les salariés ont

l’insuffisance de la demande, le chômage involontaire et le rationnement du crédit, dans le cadre de la microéconomie de la concurrence imparfaite. Pour les Keynésiens, les rigidités des prix et des salaires interdisent l’ajustement des marchés de sorte que ceux-ci connaissent des disparités d’O et de D. Hypothèse de rigidité des prix et des salaires. Csq : déficience de la D sur le marché des produits, le chômage involontaire sur le marché du travail et le rationnement du crédit. NEK : les marchés

caractères ont une personnalité : * douceur/harmonie, * sensualité/glamour * rigidité/ austérité * agressivité, * musicalité/poésie * Humour/sympathie * Élégance * Sérieuse * Enfantine 2. La capital est à la base une lettre destinée à être graver sur les frontons des temples, c’est écriture monumentale. Il y a une force des verticales qui va lui donner une rigidité (= RIGIDITÉ), c’est une lettre à voir et est lente à lire. Rapport d’autorité 3. La lettre

hyperstatiques Elle permet avec relativement peu d’efforts de traiter des structures hautement hyperstatiques Elle est particulièrement efficace pour les structures à nœuds fixes  Elle a été supplantée par la méthode des déplacements (ou des matrices de rigidité ou méthode des éléments finis), essentiellement en raison de l’essor des ordinateurs et des programmes de calcul www.ulaval.ca 2Culture Structures – Prof. N. BoissonnadeObjectifs et motivation  Même si elle n’est plus tellement enseignée au niveau

marché interne: marché ou la rémunération , la gestion des mobilités sont régis par des règles et des procédures déterminées par l'entreprise. Donc ce marché interne est un marché qui échappe à la concurrence et c'est un marché où on observe des rigidités. Ces 2 marchés communiquent par ce qu'ils appellent « les ports d'entrée et de sortie ». Ce qui définie le marché interne ce st les règles et les procédures élaborées par l'entreprise. Ce sont des emplois régis par des règles alors que le marché

(cf. les marchés financiers). B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue 1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications, de contrats, de règles, auxquelles s’ajoutent les rigidités géographiques, culturelles, et celles qui