Rime

est un tercet. Une strophe de 4 vers est un quatrain. Une strophe de 5 vers est un quintil. Une strophe de 6 vers est un sizain. Les rimes : Une rime pauvre contient 1 phonème. … il se leva … il tomba Une rime suffisante contient 2 phonèmes. … campagne … montagne Une rime riche 3 phonèmes ou plus. … Harfleur … en fleur Une rime féminine se termine par -e. LES TYPES DE POEMES Le sonnet a deux quatrains et deux tercets. La fable est un court récit en vers avec une

un son voyelle domine (exemple de son consonne « l », « b », « d », « tr »). Quel est ce son consonne ici ? e) Dans la strophe 4, le poète a aussi crée une rime intérieures ( un mot qui rime avec un autre à l'intérieur d'un vers). Relevez deux rimes intérieures dans la strophe. f) Dans la strophe 4, le poète a aussi crée une rime intérieure. Relevez la. g) Dans la strophe 4, quel mot est répété en écho ? 2/ L'univers amoureux du poète a) Relevez des mots

les écrivains romantiques (Chateaubriand ; Lamartine/Hugo). b) La modernité * Absence totale de ponctuation * Chaque strophe est brisée par une rime masculine isolé. Rappel : Rime masculine – se termine par une consonne et autres voyelles sauf E. Rime féminine – se termine par un (E) muet. Cette rime est isolé à l’image du poète qui écrit. Les ambigüités provoqués par absence de ponctuation : ex : (v.1/2) (rejet, enjaurbement ou question) (ce qui crée 2 sens

l’apparence de la prose. III Les rimes La rime, c’est la répétition de sons identiques à la fin de plusieurs vers. On désigne par des lettres chaque rime différente: a, b, c... 1- disposition des rimes aabb: rimes plates abab: rimes croisées abba: rimes embrassées 2- valeur des rimes On juge la valeur des rimes au nombre de sons qui sont repris: chaque son est codifié par un signe de l’Alphabet Phonétique International. pensées / croisées: [e] 1 son commun -> rime pauvre (forcément un son vocalique)

île. » Francis Jammes Entre deux consonnes, le e muet se prononce toujours alors qu’on ne le prononce pas dans la conversation. « Immenses mots dits doucement. » Paul Eluard A la fin d’un vers on ne prononce jamais le e muet. Il forme alors la rime féminine. Il s’écrit e, es, ent. LA DIÉRÈSE Se dit lorsque 2 voyelles consécutives comptent pour 2 syllabes alors que dans la prononciation courante elles ne forment qu’une seule syllabe. « L’in/fle/xi/on/ des/ voies/ chè/res/ qui/ se/ sont/

décasyllabe ; douze = alexandrin En français, les vers s'associent entre eux, selon une répétition de sons dont la rime est la principale représentante. On peut classer les rimes suivant leur richesse : Une rime est dite riche lorsque trois sons au moins sont en commun entre les deux vers : sombre / ombre. Une rime est suffisante lorsque deux sons sont en commun : orage / ravage Une rime est pauvre si elle ne comporte qu'un son en commun : beau / château Les rimes offrent plusieurs dispositions possibles

syllabes. Tu vis hier le Missouri/Et les remparts de Paris. (Laforgue) 3/ Les sonorités du vers La rime, l’homophonie finale • Nature de la rime. Alternance des rimes masculines (pas de "e" muet) et des rimes féminines (avec un "e" muet). Alternance des rimes vocaliques (terminées par une voyelle prononcée) et des rimes consonantiques (terminées par une consonne prononcée). • Qualité de la rime Rimes pauvres (un son identique) : "Fou/Vous". Rimes suffisantes (deux sons identiques) : "Zéphyre/lyre"

puisque la construction du 4ème vers correspond à celle du 1er et que l’on peut faire se rapprocher les vers 2 et 3. 2) Les correspondances Le mot « cœur » est d’abord prononcé deux fois dans la 1ère strophe et a une position clef puisqu’il est à la rime. Sa répétition est d’ailleurs accentuée par la répétition dans la strophe du son essentiel de « cœur » (« pleure », langueur »). Puis, dans chacune des strophes suivantes le mot « cœur » apparaît de nouveau à 3 positions différentes (1 fois au 3ème

semblables (2 vantards) dans ce jeu à « qui perd gagne » qu’est toute la guerre. Les verbes de mouvement au passé simple conduisent cette guerre : « survint / vint / maintint » puis « accourut / disparut » : mouvements contraires mais encore liés à la rime des alexandrins. • cœur 2 sens au 17° siècle : 1- courage dans les tragédies 2- le siège des sentiments • Les 2 font affaire ensemble, se mettent au service l’un de l’autre dans la guerre de Troie. La guerre est dans le cœur du guerrier. Pourtant

de l’amour de la vie faite par deux tentateurs dont le tutoiement est méprisant ou essaie d’établir une certaine familiarité.Troisième stropheIl y a un discours direct tentateur (injonction, anaphore, rythme ternaire, question rhétorique). Mais la rime entre « Tu peux vivre comme nous » et « Et tu peux vivre à genoux » révèle l’abjection de cette vie. « Le mot qui délivre » => Trahison.Quatrième stropheRefrain, mais les mentions imprécises « une voix » =>  « la voix », « des lendemains » =>