Rio Tinto

Dans cet essai je vais décrire 4 secteurs principaux ; la filière aluminium et le géant Rio Tinto Alcan, la filière forêt, l’agroalimentaire et le tourisme. * Bien que la traite des fourrures soit le fondement même de la région, c’est réellement l’industrie de l’aluminium qui a fait prospérer la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et qui l’a modernisé ! Alcan, la société canadienne est devenue Rio Tinto Alcan en 2007 et demeure aujourd’hui le deuxième producteur d’aluminium au monde. Baptisé

immobilier de 10 villas extensibles jusqu’à 100 villas à Forécariah, à 30 Km de Conakry, République de Guinée. En effet, à partir de 2014, la société Rio Tinto Simfer S.A. entamera l’exploitation du plus grand projet minier de la République de Guinée où il y a en temps normal une crise de logement. Ce projet minier créera un besoin de plus 2000 logements que Rio Tinto ne pourra combler qu’au 1/3. L’idée est donc de construire un complexe résidentiel modeste répondant aux normes standards et dans lequel les

sidérurgistes veulent sécuriser leurs approvisionnements face à une demande internationale toujours en hausse. Ils sont partis à la conquête de l’Ouest : les trois premiers producteurs de fer mondiaux, le brésilien Vale et les australiens BHP Billiton et Rio Tinto (70 % de la production mondiale à eux trois), mais aussi leurs clients sidérurgistes, les chinois Chinalco et Shandong Iron and Steel, le franco-indien ArcelorMittal ou encore l’indien Tata Steel, sont bien décidés à faire des gisements de fer de

sidérurgistes veulent sécuriser leurs approvisionnements face à une demande internationale toujours en hausse. Ils sont partis à la conquête de l’Ouest : les trois premiers producteurs de fer mondiaux, le brésilien Vale et les australiens BHP Billiton et Rio Tinto (70 % de la production mondiale à eux trois), mais aussi leurs clients sidérurgistes, les chinois Chinalco et Shandong Iron and Steel, le franco-indien ArcelorMittal ou encore l’indien Tata Steel, sont bien décidés à faire des gisements de fer de

volonté des autorités de régulation de la concurrence de mettre fin aux monopoles. Nous pouvons ainsi dire que le marché du diamant est un oligopole du fait que 80% du marché est partagé entre 4 producteurs (De Beers avec 50% de PDM en 2005, Alrosa, Rio Tinto et BHP Billiton). Ces entreprises entrées sur le marché disposent de moyens financiers importants et constituent donc une réelle menace pour De Beers d’autant plus qu’elles ont une activité diversifiée leur permettant de réduire leurs risques. |

pour maîtriser les marchés des commodities : • Chinalco (Aluminium Corporation of China) s’associe à Alcoa (prod.US d’Alu) pour acheter (fév 2008) 12% de l’anglo-australien Rio Tinto, pour 14 mds $ : plus gd investissement chinois à l’étranger[4] • En réaction, l’Australien BHP Billiton veut acheter complètement Rio Tinto • La CNOOC (China National Offshore Oil Corporation) très gde Cie pétrolière chin) essaye d’acheter l’US Unocal (refus de Washington) ; CNOOC, société cotée mais contrôlée à

dernières, qu’elles soient d’origine minière ou synthétique, représentent 30 fois la production de diamants gemmes, mais leur valeur leur est 30 fois inférieure. Plusieurs grands groupes se partagent le marché, tels que De Beers, Aber Diamonds, Rio Tinto, Alrosa, BHP Billiton. Le développement de l’offre sur le marché du diamant a donné lieu au développement de trois types de secteurs au sein de l’industrie du diamant : l’industrie du luxe, l’exploitation de très petits diamants visant les classes

hexagone sectoriel de ces forces. Hexagone sectoriel des forces de Porter : De Beer Chaque variable est cotée sur une échelle de 0 à 10, et permet la réalisation d’un « radar » sectoriel. De Beers doit faire face à de nombreux concurrents (Rio Tinto, Alrosa, BPB, Billiton, Aber diamond) ainsi que des groupes miniers diversifiés pour lesquels le diamant n’est qu’une activité parmi d’autres. Bien que De Beers possède 50% du marché, ses concurrents ont une forte présence sur celui-ci.

l'employeur, donc d'augmenter la puissance du syndicat. La puissance de négociation dans le conflit Rio Tinto Alcan Question 4 ( 3 points) En quoi peut-on solliciter le modèle de l'interdépendance des parties (Bacharach et Lawler) ici pour expliquer le résultat de la négociation collective des salaires en fonction de la puissance des parties à la négociation collective? Le conflit entre Rio Tinto Alcan et le syndicat de l'aluminerie d'Alma est un exemple où la mise en place de solutions de rechange

croissance constante depuis ses débuts, le Canada se positionne comme troisième fournisseur mondial d’Ilménite, la matière première servant à sa fabrication. S’il en est ainsi, c’est grâce au Québec et à la mine à ciel ouvert exploitée par QIT – Rio Tinto Fer et Titane à proximité du lac Tio dans Havre Saint-Pierre. Cette mine, la seule exploitée, fait du Québec l’unique producteur en Amérique du Nord. Cette production est vendue en partie en tant qu’ilménite et le reste est envoyé vers le complexe