Risque De Déflation

prendre des risques. Schumpeter considère l'entrepreneur comme marginal, "nageant à contre-courant", animé par un désir de puissance et de domination (rôle développé dans la partie suivante). On y retrouve ici les influences de l'école historiciste allemande, représentée principalement par Weber et Sombart qui avaient mis en évidence l'influence que pouvait exercer les représentations du monde sur l'activité économique. Le banquier est celui qui au côté de l'entrepreneur, prendra un risque, mais ce

considérablement varié ces dernières années. Le prix du pétrole, libellé en dollar, n’a pas été épargné par cette variation. Le pétrole, huile minérale transformé en source d’énergie, est le principal composant de l’essence. L’inflation, hausse des prix, et la déflation, ralentissement de l’inflation, du baril de pétrole a une influence directe sur le prix du carburant et donc, sur les décisions des agents économiques composés des ménages et des entreprises. Quels sont les influences de la variation du prix du

liée à la perte de confiance des entreprises qui du coup investissent moins, et à la diminution de la consommation des ménages, entraînant une baisse de la demande. Pour le chef économiste du FMI, Olivier Blanchard, il pourrait même y avoir un risque de déflation sur la zone euro si la demande sur cette région continuait à faiblir. Pour sortir l'Europe de cette situation économique médiocre, le FMI a clairement une vision keynésienne, il préconise une politique budgétaire de relance par une augmentation

la valeur non monétaire, à l'échéance choisie par ses déposants. Cette valeur réelle à terme est soit le crédit d'une autre banque, par exemple la banque centrale, soit le remboursement des crédits qu'elle a accordés. La monnaie limitée par le risque Le remboursement du crédit par le crédit signifie-t-il l'absence de limite physique à la création monétaire par le crédit ? Le remboursement d'un crédit par son débiteur implique qu'il vende quelque chose à l'échéance en contrepartie de quoi il

qui offraient des prêts hypothécaires, des entreprises d'investissement, et des entreprises immobilières créées et détenues par le gouvernement américain qui avaient accordé des prêts de taux massivement élevés aux emprunteurs caractérisés par un risque élevée de défaut (Banque de France, 2010). Ces prêts ont été appelés subprimes, ou sous-primes (de connotation inferieure), en contraste avec les prêts hypothécaires les plus traditionnels surnommés « primes » pour indiquer leurs statuts supérieur

absolument pas mis fin à la crise de 1929. Non, les guerres ne profitent jamais à une économie, non, le fossé croissant entre les pauvres et les riches n'est pas causé par un niveau de taxation trop bas mais plutôt par l'endettement des ménages, non la déflation n'amène pas à une catastrophe.  Depuis 30 ans les crises se succèdent à un rythme accéléré malgré toutes les interventions gouvernementales et les politiques monétaires de plus en plus centralisées. N'en seraient-elles pas plutôt la cause?

des causes conjoncturelles. Les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979 sont des causes structurelles. Inflation : Augmentation des prix qu’il est un processus cumulatif. L’inflation est une période. Désinflation : Processus de baisse des prix. Déflation : Processus de récession grave qui a beaucoup existé aux USABeaucoup de chômeurs=pic de la crise. Processus désinflationniste : * Prix et revenus ont baissé de moitié * Augmentation du pouvoir d’achat C’est donc un cercle vicieux. Cause

indicateurs tel que le PIB. La mesure de la richesse va nous donner des prix et ces prix vont nous permettre de suivre, d'étudier l'évolution de ces prix. La valeur de la monnaie se déprécie et s'apprécie dans le temps. Étude de l'inflation, de la déflation, permet de donner les prix relatifs des marchandises, la correspondance avec les marchandises, les biens, l'évolution des prix relatifs produit par une communauté nationale, de vérifier le « panier de la ménager ». Le taux d'inflation moyen est de

suffisamment liquide (un stock de marchandises, des actions ou des obligations, etc.). Dans ces conditions la valeur de la monnaie est dépendante de la valeur des actifs qui sont utilisés comme garantie pour l'émission monétaire, et il y a inflation ou déflation lorsque la quantité de monnaie émise (billets etc.) ne correspond plus à la valeur réelle des actifs sous-jacents : si le prix de ces actifs diminue, la valeur de la monnaie diminue aussi (ex : la chute du système de Law suite à la dévalorisation

6 Déflation L’inflation belge reste en ligne avec l’inflation dans la zone euro, très molle depuis plusieurs mois, tout comme la croissance d’ailleurs. Un 1,0 0,4 0,2 jan. fév. mars avril Mai Source: SPF économie tel cocktail est jugé dangereux par certains économistes, qui craignent une déflation, c’est-à-dire une baisse prolongée des prix et des salaires susceptible de paralyser l’activité. La BCE s’est déclarée prête à agir pour contrecarrer ce risque et pourrait