Role Confident Tragédie

     Exemples : Le prologue de ​ La Machine infernale​ , de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le  prologue d'​ Antigone​  de Jean Anouilh.    Un acte :  Partie d'une pièce correspondant à une étape importante dans le déroulement de l'action. Les  tragédies classiques​  sont divisées en ​ cinq actes​ , l'action culminant généralement au quatrième  (Mots­clés).     Exemple : La composition des ​ Femmes savantes​  (1672), de Molière, résumée par rapport aux  actions des personnages, est la suivante : I

Bérénice est une tragédie classique écrite par Racine en 1670. Cette pièce s'inspire d'événements et de personnages de l'Empire Romain. Notre étude de texte se situe dans la cinquième scène du premier acte qui met en scène Bérénice et sa confidente, Phénice. L'extrait se situe dans la tirade de Bérénice. Le premier acte a pour but d'exposer le thème principal de cette tragédie. On apprend ainsi qu'il est question du mariage entre l'Empereur Titus et de la Reine Bérénice. Dans la quatrième scène,

Racine, auteur du XVIIème siècle, appartient au mouvement du classissisme. Ce texte est un extrait d’une pièce de théâtre tragique (acte III) d’Andromaque. Cette œuvre a été publiée en 1667. C’est une tragédie classique écrite en alexandrin (vers de douze pieds), ce qui donne une sonorité et un rythme particulier au texte. Cette œuvre tragique conte l’histoire d’une troyenne, Andromaque qui, prisonnière de Pyrrhus, un envahisseur grecque, doit choisir entre la vie de son fils et se sacrifier en se

illusion » (revêt différents sens selon le contexte) Relativement au métier d'acteur : « confidente » (p188), « rôle » (p347), « costume » (p235), « ton dramatique » (p347), « talent d'un comédien » (p215) Autour de la représentation : « public » (p188, 370), « spectateurs » (p267), « spectacle » (p40), « applaudissements » (p215) Citations de pièces de théâtre et de lieux de représentation: Quelques tragédies mais avant tout des comédies : - Phèdre, p147 + Britannicus, p180 - Le méchant

personnages La scène 1 permet de présenter les psges :  3 protagonistes sont sur scène : - Ruy blas, nommé dès le 1er vers (laquais) - Don Salluste (psge noble et puissant: grand d’Espagne) - Gudiel, dès le vers 4 (valet-confident) :psge d’arrière plan, donc prend la place des spectateurs  1 hors scène : - La reine Dona Maria de Neubourg, vers 10 La répartition inégale de la parole, qui est accaparé par Don Salluste souligne les différences entre le maître et

physique mais aussi psychique. Cette nouvelle montre à Phèdre qu’Hippolyte ne fuit pas l’amour mais elle ! L’existence lui devient un véritable supplice. [...] [...] Selon Racine : C’est une femme dévouée, maternelle et maudite. Elle est la confidente de Phèdre et fut sa nourrice. Elle est donc un peu comme sa seconde mère et la considère comme sa propre fille. Phèdre la repousse pour ne pas lui avouer son lourd secret. Oenone pense aussitôt à se suicider car elle ne supporte pas l’idée d’être

de Marivaux I. Le théâtre au XVIIIème siècle • Au XVIIIe siècle, la tragédie classique continue à avoir du succès. On joue • aussi des comédies qui peuvent transmettre une critique sociale (idée des Lumières) ex: comédie de Beaumarchais, le mariage de Figaro, où il remet en question la rigidité des hiérarchies sociales. Au XVIIIe siècle se développe aussi le drame bourgeois ☛ genre nouveau intermédiaire entre comédie et tragédie : - moment très pathétique - fin heureuse II. Marivaux : • 1688-1763

l'écriture racinienne. Dans le sujet comme dans le travail du vers se mettent en place les fondements de sa dramaturgie, à savoir le motif amoureux et la passion déchirante, la violence des personnages et de son écriture versifiée. Les règles de la tragédie racinienne sont parfaitement mises en place dans ce passage central de la pièce. Si l'action semble mise en veille au profit de la réflexion du personnage éponyme, on voit ici se nouer tout le drame. La suite de la pièce dépend de la résolution de

“Britannicus” (1669) Tragédie en cinq actes et en vers Seconde femme de l'empereur Claude qu'elle a fait assassiner, Agrippine est parvenue à écarter du trône l'héritier présomptif, le fils de l’empereur, Britannicus, en faisant adopter Néron, fils d'un premier lit. Depuis trois ans, il gouvernait avec sagesse. Mais, se sentant de plus en plus délaissée par cet ingrat qui veut lui enlever toute trace de pouvoir ou d’influence, elle décida de se venger en se conciliant Britannicus pour qu’il

faux dévots Registres Dans l'édition de 1682, la pièce est présentée comme une comédie. Le terme de comédie est souvent au xviie siècle un terme générique pour désigner toute pièce de théâtre mais il est parfois compris en opposition à celui de tragédie. Dans cette acception, on peut remarquer que Molière s'est souvent battu pour que soit reconnue la comédie comme moyen de « corriger les hommes en les divertissant ». Cependant nombreux sont les auteurs qui voient dans cette pièce de multiples couleurs