Role Philosophe 18eme

le côté pratique… ». Sous l’Ancien Régime, le juge est arbitraire, mais ce n’était pas péjoratif jusqu’au 18ème siècle. Le juge arbitre devait arbitrer la peine suivant le crime et la personnalité du délinquant. La croyance de la torture judiciaire en question faisait office de procédure pénale. A partir du 16ème siècle, il y a eu beaucoup de conditions pour la torture. La pratique au 18ème siècle ne s’utilisait quasiment plus. Cependant, la torture fut supprimée avant la Révolution sous Louis XVI

Quesnay …qui sont à peu prêt contemporains de Smith, mais d’autres auteurs plus anciens au 16ème et 17ème : mercantilistes …., mais aussi Nicolas Oresme, encore plus ancien : Thomas d’Aquin, mais également plus ancien à Rome avec Cicéron et dans la philosophe grecque avec Aristote). Pour justifier cette considération concernant Adam Smith en tant que fondateur : il faut se demander si on ne fait l’histoire qu’à partir des éléments de pensée économique : dans ce cas on remonte au fondement de l’écriture

19ème siècle où s’affirme l’industrie textile d’abord, on est dans des sociétés paysannes fondées sur l’autarcie. Les juristes vont avoir à faire à cette société qui se transforme à la fin du 19ème siècle. Ils vont avoir besoin de réfléchir au rôle du droit, à sa fonction dans cette société qui change. Maurice HAURIOU (1856 - 1929) et Léon DUGUIT (1859 – 1928) vont inventer le droit public, administratif, vont fonder une école à l’intérieur du droit jusqu’ici il y avait que du civil. Inventent

Nous sommes face à un extrait du dictionnaire philosophique de François-marie Arouet dis "Voltaire", philosophe des lumières "panthéonisé" en 1792 (14 ans après sa mort) par des citoyens qui voient en lui un des pères de la révolution. Son dictionnaire sous-titré "La raison par l'alphabet" se veut être une sorte de petite encyclopédie portative mieux adaptée à la lutte philosophique que l'imposant ouvrage Diderot- D'Alembert alors interdit de publication et auquel Voltaire contribua aussi du reste

COMMENTAIRE COMPOSÉ : La rencontre, Abbé Prevost (1731) : La littérature Française du 18ème siècle s’inscrit dans un siècle marqué par la sortie de l’obscurantisme et la floraison des domaines économiques, sociales, intellectuelles et politiques. Ce qui a donné naissance à une abondance et une diversité d’œuvres littéraires que l’on peut regrouper en 2 catégories. La première étant les philosophes des lumières qui promeuvent l’acquisition de connaissance, la pensée rationnelle et entrent donc

moderne cad au 16ème siècle, ce mouvement centripète est très avancé. De plus, ceux qui étaient principaux adversaires de ce mouvement, cad les seigneurs, ont perdu leur puissance politique. La noblesse a été décimée. La noblesse n'est plus la même. Au 18ème siècle, à la veille de la révolution Française, il n'y a que environ 10% de la noblesse est d'origine féodale. Cela veut dire que la grosse partie des familles nobles sont des gens qui ont été anoblis à partir du 16ème siècle. Ces adversaires ne représentent

au 18ème siècle) : la justice est un attribut de la royauté. C’est un devoir pour le roi mais aussi une prérogative qui est liée à l’exercice de l’autorité politique. Il existe une certaine confusion à cette époque entre religion, morale et droit. Donc le crime était considéré comme un péché, une faute et une infraction. Au moyen âge les sanctions étaient particulièrement violentes. Le criminel devait expier sa faute à travers ce châtiment. 2- Le siècle des lumières (seconde moitié du 18ème siècle)

éducatif - souvent répressives à l’égard des enfants -, dictées par la religion ou selon les us et coutumes. La plupart des remarques relatives aux punitions corporelles sont fournies, néanmoins, par des auteurs (hommes de lettres, historiens, philosophes, théologiens, chroniqueurs) qui, sciemment ou non, ont brisé un tabou assez général (les sévices infligés aux enfants), dont, du reste, s’accommodait, la plupart des civilisations, à travers les âges. Traditionnellement, les sociétés reconnaissaient

est un retour en arrière par rapport à l’Ancien Régime) = quasiment pas de droits civiques. B) Le dogme de la femme en tant que mère - Les femmes sont enfermées dans un autre carcan que celui de leur éternelle minorité : celui de leur rôle de mère. Rôle de tenue du foyer, tâches ménagères et éducation des enfants= tâches principales des femmes. - Pensée toutefois récente dans la société occidentale : cf Education à Sparte où les garçons étaient retirés dès leurs 7 ans à leur mère pour être

ne peut pleinement en comprendre le sens, ni même examiner en quoi elle peut éclairer l'éducateur d'aujourd'hui, dans une société où les rapports d'autorité ont été profondément modifiés, sans commencer par la situer dans le contexte de la fin du 18ème siècle, de la philosophie des Lumières. On y réfléchira sur l'exemple du "retour à l'autorité" et à la sanction qui paraît marquer les rapports de la société contemporaine à sa jeunesse... ® Quelle histoire, et pour quoi faire ? A quoi peut bien