Roman Genre Autonome

Pour les tenants de la méthode philologique le texte donné au départ est considéré comme "orphelin" : c'est un ensemble de traces matérielles auxquelles manque une date, un lieu d'apparition, une appartenance générique (s'agit-il d'un fragment de roman ? d'un récit historique ?...) pourquoi y a-t-il des contradictions entre les diverses versions ou à l'intérieur du même texte ? quelle était sa forme primitive ? quel en est l'auteur ?...Interrogations qui supposent un perpétuel va-et-vient entre le

traduit de l’allemand par Alain Royer Illustrateur : La Mouche Editeur : Hachette Collection : Le livre de poche jeunesse, section Humour Public : jeunesse, à partir de 9 ans Année : première édition en 1975 Nombre de pages : 221 Forme littéraire : Roman Genre littéraire : Fantastique Ton littéraire : Humour II. Lecture et travail sur un extrait majeur Lettre de réclamation de l’ « enfant instantané », de l’usine de fabrication à Mme Bartolotti, p 157 et 158, présentée en séance 5. « Chère Mme Bartolotti

d'Aristote de l'antiquité. (Boileau fait la synthèse de ces théories classiques dans l'Art Poétique) : ils en font un argument d'autorité. Les genres prestigieux sont ainsi valorisés : l'épopée ; dramatique : la tragédie, puis la comédie. Le roman reste un genre sans légitimité : il y a un déficit de statut, il n'a pas d'existence théorique. L'académie conserve un prestige et une influence sur les hommes de lettres qui au 18e qui n'ont pas les moyens de vivre de leur plumes : ils sont donc dépendants

potiques des crivains ou des thoriciens, plus ou moins distingu d'autres objets avec lesquels il semblait avoir des affinits (la prose potique, le pome en vers libre ou en versets), mais aussi tel qu'il a t peru par les lecteurs. S'agit-il d'un nouveau genre littraire dfinissable objectivement par des critres formels et thmatiques, ou simplement de formes plurielles et indtermines mais considres comme pomes par certains lecteurs certaines poques? La dernire question concerne les textes eux-mmes, ceux

I-Histoire littéraire et contexte historique.A.La naissance du Roman→Texte en langue Romane =/ Latin (en vers)1er texte politique en langue Romane → 842 ap JC Serment de strasbourg1er roman psycho → XIe siecle JaponEn France Xie-XIIe → Roman courtois (matière Romane/de Bretagne)Chrétien de Troyesgeste ArthuriennePercevalYvainLa mort du roi Arthur Ex : -Le roman de Renart → utilise les animaux-Le roman de la rose → utilise la nature-Le roman Pastoral -L’Astrée 1627 d’Honoré D’UrféB.Mme de Lafayette et

Par: Julie Mélin «L'intérêt général et permanent du genre humain est que les hommes ne se tuent point les uns les autres; mais il peut se faire que l'intérêt particulier et momentané d'un peuple ou d'une classe soit, dans certains cas, d'excuser et même d'honorer l'homicide» Tocqueville ANALYSE Paradoxe du sujet, l'interdit du meurtre apparaît comme une exigence qu'on en commun tous les hommes, pourtant Tocqueville affirme que dans certaines circonstances il est excusé voire glorifié? Dans quel

la notion 1.1. Étymologie L'origine du mot romantisme renvoie au substantif roman, qui, en ancien français, est synonyme de « langue vulgaire », par opposition à la « langue noble », le latin. D'où un glissement de sens qui, dès le xiie siècle, réduit l'extension du vocable romant aux seuls récits composés en « langue vulgaire » (ainsi, par exemple, dans le Roman de Renart). À partir du xive siècle, le mot roman ne sert plus qu'à désigner des récits de chevalerie en vers, puis en prose. 1.2

envisagé. » à Synecdoque. La synecdoque est une forme particulière de métonymie qui, elle, se fonde sur un rapport nécessaire d’inclusion. « Figure de rhétorique qui consiste à prendre le plus pour le moins, la matière pour l’objet, l’espèce pour le genre, la partie pour le tout, le singulier pour le pluriel ou inversement (ex. les mortels pour les hommes ; un fer pour une épée ; une voile pour un navire). » Notions Poétiques: 1. Trope, nom masculin Sens Figure de rhétorique visant à détourner

le discours est en principe pris en charge par l’auteur, nous parlerons alors d’essai au sens large ; dans le second type, le discours est plutôt délégué à un narrateur et à des personnages, nous aurons alors affaire au récit et à la fiction, au genre général de l’apologue. Attention cependant, les genres chimiquement purs n’existent pas : un essai peut abriter des exemples qui confinent parfois à la fiction6, comme une fable permettre aussi l’expression directe de l’auteur, La Fontaine ne s’en

le discours est en principe pris en charge par l’auteur, nous parlerons alors d’essai au sens large ; dans le second type, le discours est plutôt délégué à un narrateur et à des personnages, nous aurons alors affaire au récit et à la fiction, au genre général de l’apologue. Attention cependant, les genres chimiquement purs n’existent pas : un essai peut abriter des exemples qui confinent parfois à la fiction6, comme une fable permettre aussi l’expression directe de l’auteur, La Fontaine ne s’en