Rome Aristocratie Democratie Monarchie

grecque 97 Paragraphe 1. L’invention de la Cité et du citoyen 97 Paragraphe 2. La constitution ou politeia et les institutions de la Cité 98 Paragraphe 3. La pensée politique et juridique 100 Section II. Rome 108 Paragraphe 1. La royauté romaine ( 753 – 509 av. J.-C. ) 108 Paragraphe 2. La Res publica ( 509 – 27 av. J.-C. ) 111 Paragraphe 3. L’empire ( 27 av.-565 ap. J.-C. ) 117 Chapitre II. Le droit privé :

droit intéressant les individus privés dans leurs rapports : mariage, filiation, commerce... Le droit public n'avait guère d'intérêt sous la monarchie, puisqu'il concernait essentiellement une élite et demeurait {text:soft-page-break} très unilatéral. C'est donc le droit privé qui fut enseigne dans les facultés, et ce jusqu'à l'institution de la démocratie : le droit administratif 'apparaît ainsi que dans la première moitié du XIXe siècle, le droit constitutionnel à la fin du XIXe et c'est le droit

l'empereur de pratiquer son éradication. On assiste alors à un retournement de situation et à la proclamation du christianisme comme religion officielle. On distingue deux parties de l'empire : -L'empire romain d'Occident dont la capitale est Rome, il disparaît en 476. -L'empire romain d'Orient dont la capitale est Constantinople qui dure jusqu'en 1453. Cette partie là de l'empire aura pour objectif de reconstruire l'empire romain. L'empereur Justinien va quasiment réussir cet objectif.

abdiquer la royauté. C'était la coutume de la plupart des villes grecques de confier à des étrangers l'établissement des leurs. Les républiques modernes de l'Italie imitèrent souvent cet usage ; celle de Genève en fit autant et s'en trouva bien.(a) Rome, dans son plus bel âge, vit renaître en son sein tous les crimes de la tyrannie, et se vit prête à périr, pour avoir réuni sur les mêmes têtes l'autorité législative et le pouvoir souverain. Cependant les décemvirs eux-mêmes ne s'arrogèrent jamais

de constitution et ou le pouvoir a changé le plus souvent de mains. Mais les élites politiques ne changent pas. La décadence de la monarchie absolue. Louis le grand. Connu pour être le siècle de l’absolutisme contre lequel va s’élever les critiques des lumières. La difficulté sociale l’impossibilité de mener des réformes va entrainer la chute de la monarchie a la fin du 18ème. Chapitre 1 : Puissance et stabilité On parle rarement de la puissance royale mais plutôt de celle monarchique

Tableau de la France à la veille de la Révolution A) Les blocages de la monarchie française 1. Impossibilité des réformes Mise en place par HENRI IV, la monarchie absolue française a été véritablement construite par LOUIS XIV. Le roi : Depuis le baptême de CLOVIS en 496, le roi est sacré à Reims. La France est la fille aînée de l’Eglise, puisque le roi est un personnage différent du commun des mortels, tenant son pouvoir de Dieu ; Il est oint par la Sainte Ampoule. Le roi respecte

produit à la révolution car sous l’ancien régime (MA Révolution) le pouvoir appartenait au roi en personne qui était donc souverain et était donc confondu avec l’Etat d’où l’expression « L’Etat c’est moi » de louis XIV. C’était la période de la monarchie absolue et durant cette période la loi procédait de la seule volonté du roi. Paragraphe 1 : Les éléments constitutifs de l’Etat L’Etat est une société politique organisée mais toutes sociétés ne forment pas un Etat, il faut des critères. Il faut

Grèce, dans la Gaule antique, chez les Mayas, en Inde… Les cas de civilisations correspondant aux frontières d’un Empire sont rarissimes (Rome, la Chine aux périodes d’unité) – et c’est au prix de régimes fort peu respectueux des individus. Mais la désunion a son prix : de même que la Grèce antique a dû finir par accepter de s’unir sous le joug d’une monarchie certes culturellement hellénisée, mais quand même périphérique (la Macédoine), la première guerre mondiale marqua, à l’intérieur du monde

: Chapitre 3.6 : Chapitre 3.7 : Chapitre 3.8 : Chapitre 3.9 : Chapitre 3.10 : Chapitre 3.11 : Du gouvernement en général Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement Division des gouvernements De la démocratie De l'aristocratie De la monarchie Des gouvernements mixtes Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout pays Des signes d'un bon gouvernement De l'abus du gouvernement et de sa pente à dégénérer De la mort du corps politique 4 Jean-Jacques

conquêtes, devenu prépondérant et il s’est substitué aux droits locaux souvent pour une raison purement qualitative. L’empire romain n’a pas eu à imposer son droit mais il s’est substitué naturellement dans des territoires toujours plus éloignés de Rome. On dit que la majeure partie des Etats qui s’imposent aujourd’hui dans l’union européenne appartient à la famille des droits romano-germanique. Ces pays doivent leurs sources juridiques à une rencontre entre le droit romain et les usages germaniques