Rome Athene

parce qu'elles sont ouvertes même la nuit, celle d'Assourbanipal à Ninive, celle de Polycrate à Samos, celle de Pisistrate à Athènes, celle d'Alexandrie qui déjà au IIIe siècle contenait 400 000 volumes et qui au ler siècle, avec celle du Serapeum, contenait 700 000 volumes, puis celle de Pergame et celle d'Auguste (à l'époque de Constantin il y avait vingt-huit bibliothèques à Rome). Je connais en outre assez bien certaines bibliothèques bénédictines et j'ai commencé à me demander quelle était la fonction

explique que Sophocle ai repris le mythe et se soit principalement inspiré de ses oeuvres. On peut aussi expliquer le fait que ce soient les villes de Thèbes et de Corinthe qui apparaissent dans l’œuvre de Sophocle. Ce dernier était très attaché à Athènes. Thèbes, ville importante située en Grèce centrale était une ville ennemie d’Athènes. C’est pour cela qu’il décide d’associer les crimes que sont le parricide et l’inceste à cette ville. Pour Corinthe, les raisons sont les mêmes (ville ennemie) mais

né vers 460 av. J.-C. dans le dème d'Halimunte (Attique), mort peut-être assassiné entre 400 av. J.-C. et 395 av. J.-C. Il est l’auteur de « l’Histoire de la guerre du Péloponnèse », qui raconte la guerre du Ve siècle av. J.-C. entre Sparte et Athènes. Cet ouvrage est rédigé après son exil, car il s’est fait battre à Spartes. Lors de la rédaction de cet ouvrage, la guerre n’est pas finie, il ne prend pas de recul, il écrit à chaud. Dans cette œuvre, il retrace l'origine du conflit et rapporte

civilisations de ces peuples étaient initialement moins urbaines, juridiques et scripturaires que celle des Grecs et des Romains, mais non moins élaborées religieusement, socialement et artistiquement. Les Celtes Au-delà de la Grèce ou de la Rome étaient présents des peuples qui se nommaient eux-mêmes Kelt, signifiant à peu près « nobles ». Les Celtes occupaient une grande partie de l'Europe, des Carpates à l'Atlantique. Les auteurs latins utilisent le mot Galli pour désigner les Celtes

créer des lois, des règles de droit. Spartes fut connue par son législateur). Les sources dérivées ou interprétatives : Toute fois, il faut voir si une loi s’applique à un cas particulier, on a donc besoin d’une interprétation : la jurisprudence. A Rome, c’était l’acte des savants, aujourd’hui c’est l’acte des tribunaux qui interprètent et créent du droit. Il y a aussi la doctrine, qui est le travail des juristes. 1ere partie : l’héritage de l’Antiquité grecque et romaine : l’Etat et le droit

Pour quelle raison ces éléments s’assemblent-ils pour créer la vie ? Deux forces : l’amour qui unit et la haine qui désunit. Donc on a les substances élémentaires et les forces naturelles. (Proche des sciences modernes) Anaxagore (500-428 A.J.C., Athènes mais viens d’Asie mineure) Une partie du tout dans tout. La nature est formée minuscules morceaux invisibles à l’œil. Tout peut se diviser en parties encore plus petites, mais dans chacune d’elles il y a une fraction du tout. Ex. dans le lait, il

quelles dates d’arrivée des certains sports dans certains pays 8 ». L’éloge de la force, la compétition, la nation, est conforme à l’olympisme antique comme moderne. Pierre de Coubertin, à qui on doit la résurrection des Jeux Olympiques en 1896 à Athènes, est d’ailleurs un personnage controversé. Derrière le créateur du modèle sportif de paix universelle et de fraternité où « l’important n’est pas de gagner mais de participer » il apparait comme un aristocrate conservateur qui défend l’idée de forger

socio-politique: c’est la fin de l’empire d’Alexandre. Il ne reste de cet empire que des lambeaux que se disputent ses généraux. La cité a été brisée au profit d’un empire immense. Avant Alexandre, la Grèce était formée de petites cités politiquement autonomes: Athènes, Spartes etc. Au III° siècle cela représente le passé. L’empire a pris la place des cités. Ceci a entraîné une accentuation de l’individualisme (moins d’esprit de groupe, de patriotisme dans l’empire). Or, l’empire est brisé. Véritable décadence de

- De divertissement, à Rome (où il faisait partie de « jeux » réclamés, avec le « pain » par le peuple). - De divertissement et aussi d’enseignement, en Grèce et au Moyen-âge (pour un public illettré dans son immense majorité). Tous les rôles, masculins ou féminins, étaient tenus par des hommes. La comédienne n’existait pas. Les comédiens n’étaient pas professionnels (sauf à Rome), car le théâtre avait lieu, en Grèce, seulement dix jours par an. A Rome soixante jours. Au Moyen-âge

tradition trouve son fondement dans l’Etat-Cité athénien : « Notre tradition de pensée politique commença lorsque Platon découvrit qu’il était en somme inhérent à l’expérience philosophique de se détourner du monde commun des affaires humaines » (p.38). Athènes portait donc en elle son propre fondement mais aussi celui des civilisations occidentales à venir. 1 André Enegrén, « Pouvoir et Liberté, une approche de la théorie politique de Hannah Arendt, revue Etude, avril 1983. Ainsi, selon Arendt