Roturier

-Description de l'etat dans lequelle Victor Hugo a trouvé la langue et la litterature quand il a commencé sa carriere d'ecrivain -La Langue et le litterature etaient comparable a la societe d'ancien regime , divisée entre riche et pauvres , nobles et roturier -Réseau de personnifications , comparaisons , metaphores sert afin d'illustrer la these -Lexique pittoresque désignant de façon meprisante les basse classe -Il precise leur vetement et les lieux où on peut les trouvers -Langue divisé selon un

14-15). S'insurgeant contre cette dichotomie, injuste, V.Hugo se fait le héraut de la cause des mots et bouscule les usages et les exigences de la vieille Académie : « Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire. / Plus de mot sénateur ! plus de mot roturier ! » (v. 26-27). Déclarant les mots libres, et égaux, il s'octroie le droit de les employer comme bon lui semble, à chaque fois que son discours l'y invite. Même des termes dont le référent semble bas ont droit de séjour dans ses textes : « Je nommai

Cent Jours et de la Restauration vue d'un château de la Loire" et du mal du sciecle * c'est aussi , au travers du personnage du comte de Mortsauf, "la statue de l'Emigration" . * Aux aristocrates héritiers de l'Ancien Régime, s'opposent des roturiers , servis par les bouleversements de la Révolution et de l'Empire, comme Monsieur de Chessel, dans le roman, qui accueille Félix de Vandenesse, comme Monsieur de Margonne, un des plus riches propriétaires du département accueillait Balzac périodiquement

de l’aristocratie provinciale qui craint par-dessus tout une mésalliance. Lorsque, lasse de cette vie, elle décide de fuir cette atmosphère oppressante pour Paris, son orgueil d’aristocrate la poussera, une fois là-bas, à abandonner le malheureux roturier Lucien.

reprise par « il y avait » - l’emploi de l’imparfait, temps indéfini du conte - le décor est emprunté au conte : le château - les personnages aussi : un baron, un personnage féminin assimilable à une « princesse » - le personnage masculin , un roturier mais dont on devine une naissance noble MAIS tous ces emprunts au conte sont faits sur le mode parodique La parodie du conte Le lieu n’est pas indéfini il est cité et situé : la Westphalie L’univers de la grandeur est dévalorisé - château

Une grande liberté de création * Un mélange des genres, telle que la tragédie avec la comédie. * Un mélange des tons, telle que le sublime avec le grotesque. * De nombreux et divers personnages, alors que nobles se mêlent aux roturiers. * Une grande liberté d’expression. * La Règles des Trois Unités est bafouée, écartée. * Un rapport avec l’histoire * Les sujets sont souvent tirés de l’histoire (à partir du Moyen-âge). * L’utilisation des thèmes

roi était en déplacement se conseil le suivait. Le nombre de membres dépend du bon vouloir du roi il peut appeler qui il veut la nomination ou la révocation est informelle . Le fondement de se conseil est le conseil féodal ( il appelait plutôt des roturiers ) le conseil n’est que consultatif ms ceux qui étais appeler au conseil était obliger de lui donner conseil il sont appeler ministres d’Etat mm d ils sont révoquer il touche mm la pension ils portent un uniforme (robe longue)Le ministre d’Etat:

Parodie du conte de barde bleu de charles perrault. Je suis sûr que vous connaissez l’histoire de Barbe Bleue mais toutes celles qu’on vous a racontées sont fausses. Voici la vraie : Un roturier très imbécile, encore plus moche à cause de sa Barbe Rouche, faisait rire tout le monde. Un jour, il décida de demander en mariage une des laides filles de sa vieille voisine et pour que chacune puisse choisir il invita la mère, ses filles et des

de l'artisan au professeur, du religieux au peintre. Les Échos sont écrits pour tous, c'est l'âme du journal. On peut un jour y trouver la nouvelle du divorce de deux nobles suite à la tromperie de madame, un autre jour l'annonce de madame avec un roturier, un autre jour l'annonce du poste de ministre pour monsieur, un autre jour son renvoi dû à des détournements de fond. Ce sont, vulgairement, les potins du journal. Pour être dirigeant de la rubrique des Échos, il faut être toujours en éveil, toujours

consécration officielle à l’art littéraire. La littérature classique est une littérature sociale. L’écrivain classique est un honnête homme qui écrit pour les honnêtes gens. L’idéal de l’honnête homme s’instaure : qu’il soit bourgeois, grand seigneur ou roturier, il est noble de cœur, et, en tant qu’homme de cour (bien sûr, pas au sens de La Fontaine), il assure une élégance extérieure et morale. C’est l’exemple de Racine, de Bossuet, de Boileau. Le but du théâtre classique Le principe de la vraisemblance