Russel Probleme Philosophie

à résoudre des problèmes que nous disons concrets, s'approvisionner en nourriture, trouver de nouveaux médicaments, résister aux assauts de la nature, se protéger des menaces, de toute menace, inté¬rieure ou extérieure, naturelle ou humaine. Quel rôle peut alors être celui du phi¬losophe, que l'on se plaît à décrire comme l'homme de l'abstraction, l'abstraction étant peut-être aisément assimilée à la distraction, si nous pensons à Thalès2 ? Or il ne va pas de soi que la philosophie nous ramène au

par le biais du, mais des langages. Ainsi, nous nous questionnerons sur l’aspect personnel ou collectif revêtus par ces facultés proprement humaines que sont le langage et la pensée. Enfin demander si mon langage exprime ma pensée pose un dernier problème. En effet, le sujet pose le langage et la pensée comme deux réalités statiques à comparer et examiner pour savoir si l’un exprime ou non l’autre. Or on peut se demander si admettre le langage et la pensée comme deux entités immuables est vraiment

------------------------------------------------- EXPOSE EN PHILOSOPHIE ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Classe : 2nde C ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Année Académique : 2012-2013 ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- THEME ------------------------------------------------- PHILOSOPHIE ET VIE PUBLIQUE -------------------------------------------------

INTRODUCTION GÉNÉRALE Quand on commence à étudier la philosophie, dans le contexte d'un cours ou de soi-même pour des raisons diverses, il peut sembler naturel et légitime de commencer par poser la question "qu'est-ce que la philosophie ?" Pourtant, commencer par une définition qui prétendrait dévoiler d'un coup la nature de la philosophie, et même dans le cas où cette définition serait correcte, poserait certaines difficultés spécifiques ou non à la philosophie : • du point de vue de l'apprentissage,

C'est bien la « première signification de vrai et faux », selon Spinoza, puisqu'un récit est dit vrai lorsqu'il est « réellement arrivé » et faux quand le fait raconté n'est « arrivé nulle part ». Dans le domaine épistémologique (qui concerne le problème de la connaissance), la notion de vérité doit être comprise comme une croyance tenue pour vraie. La question est donc de savoir ce qui justifie qu'un individu ou un groupe d'individus considère telle proposition sur le réel comme étant vraie. « Il

par la méthode dialectique, processus permettant d’accéder à la connaissance, au monde des Idées. Aristote (384-322 av. J.-C.), philosophe grec. À son nom sont attachées la métaphysique et la logique, et son importance dans l’histoire de la philosophie est considérable, tandis que son œuvre ne cesse d’influencer la pensée occidentale sous toutes ses formes. Épicure (341-270 av. J.-C.), philosophe grec, fondateur de l’école du « Jardin », que la postérité retiendra sous l’appellation d’épicurisme

Philosophie : «La philosophie nous permet-elle de mieux vivre? » INTRODUCTION ●La philosophie, née de l'Antiquité, est basée sur un questionnement systématique de l'Homme sur les différents concepts qui l'entourent tout au long de sa vie : l'existence, la mort, la connaissance, le langage et la communication, l'inconscient, la liberté, l'art, le désir...autant de sujets qui provoquent chez certains des interrogations auxquelles des réponses sont recherchées. Ainsi comme le bucheron fabrique

la recherche de la vérité en est le principe. La connaissance satisfait un désir de liberté, elle permet à l’esprit de s’affranchir des superstitions, des craintes, des prétendus savoirs, c’est d’ailleurs ce que Bertrand Russell nous dit dans son texte Problèmes de la philosophie : on se libère de la prison dans laquelle nous nous enfermons. Et selon Kant, les opinions, les croyances, les convictions, ne font pas partie de la connaissance, ils resteront infiniment éloignés de la vérité. En revanche

croyances qu’un ou deux exemples suffisent à valider. Toutefois, le poulet qui a toujours été nourri par le fermier aurait tort, s’il pouvait réfléchir, de penser qu’il le sera toujours. Il peut avoir le cou tranché selon l’anecdote de Russell dans ses Problèmes de philosophie. Bref, l’induction n’est jamais sûre. Ne faut-il pas alors penser qu’il n’est pas possible de tirer des leçons de l’expérience ? Il est sûr que nous nous appuyons sur l’expérience et qu’elle est la source de nos prévisions. Comme

psychologie, non seulement parce que les thèses positivistes elles-mêmes ont considérablement évolué de Comte au Cercle de Vienne, mais aussi parce que la science psychologiste ellemême a considérablement changé entre la publication du Cours de philosophie positive en 1830 et l’époque ou le positivisme logique a jeté ses derniers feux, dans les années 1950. Ma thèse principale sera la suivante. La psychologie est devenue science à partir du moment où elle s’est donnée pour but la mesure du comportement