Rythme nycthéméral

l’animal qui connote l’antithèse suivante : dans les cieux, les oiseaux en vol sont majestueux et ont une allure souveraine, mais dès qu’ils se posent au sol, ils paraissent ridicules. Les trois courtes phrases d’exclamation du troisième quatrain au rythme haché traduisent la souffrance et le désarroi de l’albatros. Ce spectacle poignant reflète l’image du poète et du monde qui l’entoure. L’albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l’oiseau. En effet, dans le dernier quatrain

Il se répercute sur le poète ( « je », « danse », « courus »), ça le dérègle. II – Un voyage initiatique de la poésie : 1 Un voyage marqué par une progression : - rythme accéléré (voyage paisible, lent à un voyage sur une mer déchainée) - Après le naufrage : accès dans le monde de la poésie. 2 Un voyage purificateur : - Purification du monde économique et sociale ( rejetés par la violence). Société dévalorisée

nostalgique et réaliste de la vieillesse La projection dans le futur se projette dans le tps: 1er quatrain = description de la vie monotone d’une femme agée →insiste âge : «bien vieille» + occupations calmes «dévidant et filant» participe prst = rythme lent évocation fin de journée : «soir» = fin de la vie opposition futur / passé : «serez», «direz»/ «célébrait» ; «j’étais» marque différence entre la beauté et la vieillesse Évocation vieillesse & mort 1tercet + 1er vers du 2nd oppose la

de rimes masculines et féminines. De plus la plupart de ces rimes sont suffisantes excepté pour "pourtant et "instant", "hasard" et "regard". Un octosyllabe est mis en avant-"Faire une perle d'une larme"- Par ailleurs, il y a une recherche dans le rythme, puisqu'il y a une alternance de vers sans ponctuation interne (vers 1, 2, 4, 5, 6, 10, 11) et de vers séparés par des virgules. Le poète a également introduit des énumérations longues (vers 7 et 8), il y a donc un travail de recherche. On remarque

structure syntaxique du sonnet qui ne comporte que des alexandrins. De même, d'un côté plus musical, de nombreuses allitérations en " l " soulignent et concrétisent le calme, la sérénité. D'ailleurs, la ponctuation est peu utilisée afin de ralentir le rythme du poème et mettre ainsi en valeur le calme des paysages. Plusieurs procédés sont employés afin de souligner cette atmosphère de détente notamment avec les termes: "voluptés calmes". L'aspect paradisiaque du paysage nous apparaît par le par le biais

périphrases par leur longueur (pas moins de 4 syllabes) soulignent l’importance de l’albatros. Elles connotent l’idée de majesté (« prince », « roi »), d’ouverture (« azur », « voyage ») et soulignent une symbiose entre l’albatros et son milieu. → Rythme et sonorités contribuent à mettre en valeur l’harmonie du vol et son déploiement : effet d’allongement crée par la prononciation des « e » muets : « qui suivent » v. 3, « vas/tes oiseaux des mers » v. 2, « le navi/re » v. 4, allitération en [en]

valeur de l’imparfait fondamentale : du second plan, durer…] (« ne bougeait pas » et « regardait »). Cette durée énerve Saucisse. Cependant, il a besoin de cette durée pour que la fusion se fasse entre les deux personnages. - Dernière phrase : rythme en trois temps qui forme une sorte de final. - Les efforts de Saucisse sont payant car elle voit d’abord l’épaule (pas de figure de style) puis la tempe (figure de style : métaphore avec corbeau/aile car il existe peut être un rapport entre la

fouiller, chercher, sonder’ qui sont à l’infinitif et sont mis en valeur car ils se trouvent à la césure, hémistiche. II. La poésie personnelle. a. Le monde qui entoure le poète : Répétition au vers 8 : ‘soit’ ; ‘soit’= symétrique de la construction, rythme ternaire, volonté de régularité pour montrer qu’il écrit régulièrement de la poésie. Pour le poète écrire de la poésie est une pratique quotidienne. Enonciation ancré : ‘ce lieu’. On est dans l’intimité du poète : ‘ce lieu ; aventure ; accidents’

réponse précise envisageable mais ce n’est pas important. Deuxième ambiguïté : le texte est bâti sur une similitude et une confusion de 2 éléments distincts d’ordinaire (la terre et la mer) que Rimbaud souhaite réunir, d’où la présence constante du rythme binaire. De plus, le poète semble influencé par la technique picturale de Turner (voir tableau p.361) qui offrent également des confusions entre les éléments terrestres et marins. I La structure binaire du texte : Dès la première lecture, une

de civilisation qui, tôt ou tard, n'ait développé son propre système musical ou n'en ait adopté un en l'adaptant à ses nécessités et à ses goûts. Origines de la musique Il est très difficile de dater, même approximativement, son origine. Le rythme et la mélodie sont toujours présents dans la musique et il est difficile de savoir lequel des deux fut le point de départ de cet art ancestral (chants, battements de mains, choc de pierres ou de morceaux de bois). On en trouve encore quelques traces