Rythme

clôt sur elle-même• Point de départ : la chevelure, métonymie de la femme• Musicalité, effet rythmique : répétition de verbes, rythme ternaire• émotion : échos sonores: Allitération en :- « m » > douceur - « f » > mélanges- « p, b » > bercements• paronomase : rapprochements sonoresPar sa structure fluide mais organisée à laquelle s'associent des effets de rythme et de musicalité, ce texte apparaît bien comme un poème en prose. Le poète est sans cesse à la recherche d'une perfection dans

hyperboles : «  cent ans… » et les adjectifs élogieux : « merveilleux », « belles », et l’adverbe « gaiement ». L’enfant un espoir ? 2.2. La musique de la scène : - Etudier le rythme des vers quand Hugo parle de l’enfant et s’adresse à lui : V.25, v.37 : rythme régulier car ‘enfant porte l’espoir. - Le rythme ternaire et les répétitions musicales sont à étudier en conjonction avec l’évocation des instruments (« cymbales », « hautbois ») et du « chant » . - Allitérations en « ch » :

du poète, puisque le mot «  flamme » suggère l’amour. La vision du poète est vacillante et incertaine puisque le vent est « trembleur ». Le mouvement vibratoire est renforcé par les sonorités : allitérations en v/f, et liquides l et r ainsi que le rythme ternaire du 1er vers. L’ivresse ne fais pas que débuter et clore le poème : elle est présente au cœur du poème et ne touche pas que le poète : «  Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent / Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter »

peut varier, les coupes être disposées très librement, la ponctuation disparaître : J’étais à 16000 lieues du lieu de ma naissance. L’unité du vers reste marquée par le retour à la ligne : sa cohésion repose alors soit sur une nouvelle perception du rythme, soit sur le jeu des sonorités (homophonies : lieues-lieu), soit sur la syntaxe. La poésie moderne peut enfin s’écarter de la typographie et de la mise en page habituelle pour proposer d’autres dispositifs : calligrammes, innovations typographiques

« déclore ». De plus le verbe mourir (« meurt ») est placé a la césure à l’hémistiche, ce qui met en avant la pitié du poète. Egalement quelques vers plus bas, le locuteur utilise un euphémisme « tu repose » ce qui accroit la sympathie. En outre, le rythme binaire du poème souligne le deuil qu’accompli le poète, une ligne que le poète veut suivre pour retrouver Marie dans sa pensée. Enfin nous constatons une gradation au début du dernier tercet « mes larmes et mes pleurs », le groupe « mes pleurs »

enseigne que lui, qu'il devienne son complice sur la piste de " l'inconnue ". Mais le poète propose des repères qui n'en sont pas, et il convient pour conduire l'enquête de s'investir dans le rêve qu'il donne à partager. Verlaine nous berce avec un rythme lancinant et répétitif pour mieux nous endormir. - La place du temps " je me souviens ", les souvenirs de Verlaine semblent s'être estompés avec le temps. Il ne se rappelle plus du nom mais simplement de sa sonorité " doux et sonore ". La présence

périphrases (« Chastes buveuses de rosée, sœurs des corolles vermeilles, filles de lumière, guerrière, O généreuses ouvrières, Ailes d’or et flèches de flamme ») qui indiquent la douceur, la pureté, la bonté ouvrière. Mais dans un 2ème temps, le rythme s’accélère : les vers sont plus saccadés, on trouve des tournures exclamatives de phrases qui donnent à ce registre une tournure épique comme une armée liée contre l’homme. Ensuite on a le discours des abeilles qui correspond aux strophes 4 et

et qu’il n’a nulle part ailleurs où aller (p.18). Ce lien est indestructible. B. Une pièce qui semble littéralement figée dans le temps - Les multiples didascalies « Un temps. » freinent délibérément la progression du dialogue, dont le rythme est pourtant vif. On a l’impression que finalement, la pièce ne va jamais finir. - Certaines répliques viennent confirmer cette immobilité temporelle, comme « C’est une fin de journée comme les autres (…) » (p.26) et « Pourquoi cette comédie

mort Immortalité connotation positive = « repos » du poète La décrépitude d’Helene avec la gradation v2 et v9 c. La chute du Poème Dernier tercet chute (contrainte formelle sonnet) Injonction à l’impératif renforcée par 2 adverbes Rythme v13 inverse par rapport au v1 (2+4+6) après évocation de la mort, le poète faire entendre appel à la vie. Contraste entre vie/ mort Rose = fleur symbolique beauté féminine. III. La glorification du poète et des pouvoir de la poésie.

strophes d'une simplicité harmonieuse et d'un lyrisme touchant. Avec une détermination qui n'exclut ni l'émotion ni l'imagination, il décrit par avance le cheminement qui le conduira auprès de son enfant bien-aimé. Mais par la magie des images, des rythmes et par le charme du langage poétique, ce voyage vers le souvenir et vers la mort prend la forme d'un poème d'amour et d'une célébration. Léopoldine disparue revivra éternellement grâce à l'offrande de quelques fleurs. Hugo illustre ici le pouvoir