Rythme

l’exaltation, marquées par des adjectifs mélioratifs : « idéal » (v. 2), « Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! » (v. 4), « doux frou-frou » (v. 8), « Ces bons soirs » (v. 10). L’ivresse poétique est également traduite par l’accélération du rythme, due notamment aux nombreuses monosyllabes : « à la Grande-Ourse », « un doux frou-frou », « au bord des routes », « à mon front comme un vin de vigueur », « un pied près de mon cœur ». Cette liberté, c’est dans la nature que le poète la trouve.

« ouïr » « tonnerait » v.62. -champ lexical du foisonnement : « partout » v. 9, « à foison » v. 30, « un peuple » v. 20, « les passants » v. 26, « la foule » v. 32, « vingt carrosses » v. 39, « un grand troupeau de bœufs » v. 42 + Énumérations, rythme binaire (v. 9-10, v. 21-22, v. 26) → la ville est caractérisée par le bruit et le monde. • Une ville où il est difficile de circuler. Le poète est heurté v.33-34. Il est sans cesse retardé, d’abord par la procession, puis par les laquais

nous le montre la spécificité des rimes donnant un aspect musical au poème. Nous pouvons, en effet dire que ce sonnet possède un aspect musical. Tout d'abord nous avons constaté que ce poème est fait en alexandrins donnant ainsi un certain rythme, une certaine cadence qui reste la même tout au long de l'œuvre. De plus les rimes embrassées comme « poussière », carnassière » ou encore « grossière », « lumière » donnent un effet de répétition et un aspect assez musical à l'oreille comme une sorte

la femme est révoltée, c’est un combat, une orage -la femme inspire une image mythique (l.15 „sorcières thessaliennes“) -l’auteur a vraiment besoin de peindre, il a besoin de nous présenter des images (l.16 „!“) -le poète sait se servir du rythme (l.17 la phrase commence par: „Cependant, ….“), c’est une phrase longue, découpée, elle commence par une phrase subordonnée, on voit que le sujet („le rire“) et le verbe („éclat“) sont séparés, le sommet de la phrase c’est „la fleur“ l.20, qui est

pour donner une idée de hasard. Nous ne sommes pas dans le concret mais plutôt dans le vague/l’abstrait « ce lieu » on ne sait où il se trouve. Il y a une répétition au vers 8 : «soit », « soit» on voit alors une symétrie de la construction, et un rythme ternaire « Soit- de bien, soit de mal, j’écris à l’aventure », l’auteur à une volonté de régularité pour montrer qu’il écrit régulièrement de la poésie. Pour le poète écrire de la poésie est une pratique quotidienne. b. La poésie lyrique

tout coup ! c’est la loi. » Enfin, Baudelaire souhaite montrer l’imminence de la mort dans le quotidien de l’homme, comme on peut le voir au vers 4 « Se planteront bientôt », au vers 7 et 8 « Chaque instant … A chaque homme accordé » qui donne le rythme du tic tac d’une horloge dans le poème. Le poète introduit une notion de Carpe Diem à la quatrième strophe « Remember ! … en extraire l’or ! » dans laquelle il dit au lecteur de profiter de chaque instant de la vie avant qu’il ne soit trop tard. Baudelaire

 » (v.8) - Mouvement symbolique: La théorie des correspondance, qui va au delà des apparences, influence significativement le mouvement symboliste. Pour les symbolistes, le monde réel n’est que le reflet d’une surréalité supérieur. - Rythme et sonorité: Ce poème est un sonnet composé d’alexandrins qui donnent une impression d’harmonie. Il est divisé en deux hémistiches égaux 6/6. Les assonances et allitérations (v.5) sont semblables à des échos: « Comme de longs échos qui

le poète. Mais encore, une communion avec le monde se crée, de l’aube «  le grand tapage matinal » au ciel «  astres ». Le poète crée aussi une métaphore à l’éveil du monde «  le clair de ma vie » « éveillait » » se levaient « Enfin, il emploie un rythme ternaire « tous mes » et utilise des pluriels. Ensuite, l’être aimée est également associée au voyage. En effet, elle se fait identifier comme un être servant à élargir l’univers du poète. Elle s’associe à différents lieux, « navire » « routes »

  « A l’hospice » (Chanson), « Que la fièvre maigrit) (Melancholia). II) Le choix de la forme poétique Dans le poème Chanson, Hugo utilise une ballade avec la mise en valeur du refrain « Pauvres petits ». Il utilise des sizains qui donnent un rythme saccadé pour nous rendre plus attentif. Dans le poème Melancholia, il fait le choix de l'alexandrin, qui fait pensée à la mélancolie pour nous sensibilisé. Dans le poème L'Enfant, la construction du poème alterne alexandrin et octosyllabes. Ces

du poème. Le romantisme s’exprime ainsi par l’expression lyrique du moi, la mélancolie et le sentiment de la nature. Au niveau métrique, le poème est composé d’alexandrins et d’hexasyllabes (vers de six syllabes). Les rimes sont croisées. Le rythme s’accélère avec les vers plus courts ! La ponctuation lyrique, forte est dominée par des exclamations et des interrogations rhétoriques qui accentuent le pathétique  des moments de bonheur envolés : « Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout