Rythme

signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que révèlent aussi les termes du Moyen Age, comme trouvère et troubadour. Le poète, héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité et le rythme, d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours à une forme versifiée qui confère de la densité à la langue. Le poète recherche aussi l'expression par le poids accordé aux mots comme par l'utilisation des figures de style et au premier chef

soir » v. 9 = coucher de soleil. 3 ) Un effet de chute * Signification du poème : Le mot « tombe » v. 11 fait un véritable effet de chute. → Hugo a rendez-vous avec sa fille disparue et non avec une personne vivante → Engendrement qui donne au rythme un caractère pathétique, un registre tragique au poème. Le mot « tombe » est un véritable choc et incite à une relecture du poème. III – Une célébration, un hommage 1 ) Immortalisation de sa fille * Léopoldine paraît vivante grâce au dialogue

premier quatrain est une description de la vie monotone d'une femme âgée. Ronsard insiste sur l'âge "bien vieille" vers 1 et les occupations calmes de la femme en question "dévidant et filant" vers 2. Il s'agit ici de participes présents qui créent une rythme lent. L'évocation de la fin de journée "au soir" au v.1 fait penser à la fin de la vie. L'opposition futur/passé "serez" v1 et "direz" vers 3 "célébrait" vers 4= la femme était la muse du poète et "j'étais" souligne la différence entre la beauté propre

La première phrase l’étende jusqu'au la ligne 16, ce qui crée un effet de lenteur, tension, pression. L’atmosphère est plus que inconfortable, une atteinte de quelque chose de mal qui va surgir. Axe 2. Nous avons déjà accentué le fait que le rythme est assez lent dans ce poème,afin de créer l'atteinte,pression et souligner le côté angoissant. L'anaphore « Quand »,qui est donc présente dans les 3 quatrains et le « Et que » qui se répète à la l.3 et l.11 augmentent cette impression de la crise

régularité et retranscrit le mouvement de la marche enjambement vers 5 : suggère une idée de progression spatiale Axe 2 : Coup de foudre et idéal baudelairien: 1. Un poète troublé et subjugué : Le narrateur est en proie à un trouble perceptible: rythme haché des vers 6 et 7 : division des vers en des sections inégales en terme de nombre de vers “Moi, je buvais, crispé comme un extravagant / Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan” Le poète, face à cette apparition, ne peut être qu'un spectateur

d'outils de comparaison (« Comme » v. 1). La femme est considérée comme la rose : noble, belle, délicate (« belle », « grâce »). La femme à travers la rose est divinisée. b. Sonorités douces et rythmes agréables Effet de son agréable, presque chantant. La répétition de ces sonorités douces donnent un effet de rythme mélodieux et harmonieux. (« o » -> rose : v. 1-14). II- La (manifestation de la) mort Malgré l'aspect divin de la femme et de la rose, toutes les deux restent mortelles et fragiles.

comprendre le sens du mystère qui gravite autour de l’être humain. La forme et le message que le poète privilégie contribuent à faire comprendre cette nouvelle ouverture des auteurs. Dans ce poème, la liberté semble être liée au rythme modelé sur les rêveries. L’auteur emploie un rythme saccadé et accéléré afin de permettre au lecteur de découvrir ses propres significations. Dans les poèmes du XIXème siècle, les auteurs créent une intrigue afin que le lecteur puisse visualiser toutes sortes de scénarios

premier vers le mot « fleuve » nous renseigne sur l’endroit de déroulement du poème. Une fois cette précision apportée on peut ressentir que ce fleuve est important pour le poète il l’assimile même a un chef d’orchestre au vers un. Dans ce même vers le rythme binaire en six/six nous fait même penser au remous d’un fleuve calme. Ce n’est qu’au vers deux que le pote commence vraiment son voyage puisque qu’il « dénou[e] l’amarre » mais le poète ne nous renseigne pas sur sa destination. Grâce a la présence

sorte d’harmonie qui naît de la situation de retraite. Il y a un accord rythmique entre la chute de la neige et le mouvement de retraite. La retraite est évoquée de manière poétique. Il y a un mouvement inexorable qui est évoqué par la prosodie, le rythme et le lexique. L’anaphore de « il neigeait » structure le poème. On le retrouve cinq fois et sa place n’est pas aléatoire. La dernière reprise de l’expression (vers 18) est marquée par un redoublement (« il neigeait, il neigeait toujours »). Le «

dans trois vers d’adverbe de temps « demain » (v. 2) et « puis » (v. 3 et 3). L’anaphore du dernier souligne l’importance du thème du temps, également présent dans les deux derniers quatrains « bientôt » (v. 15). L’anaphore mise en relief par le rythme ternaire du vers 4 marque une continuité dans la progression qui se retrouve avec « sans cesse » (v. 12). L’adverbe « bientôt » (v. 15) traduit une proximité. Le temps est ainsi perçu dans sa progression voire son imminence ce que précise l’analyse