Rythme

conditions de celle-ci sur le physique et les sens. Les quatre premiers quatrains développent une seul phrase qui progresse avec trois subordonnées (3 quand) et aboutit à un paroxysme dans la proposition principale. L'anaphore quand (répété 3 fois) rythme cette progression. Par ailleurs les coordinations "et qui" (v. 3-11) les enjambements continuels, tout cela donne l'impression d'un mouvement lent et enchaîné inexorablement. Les impressions que ressent la victime du spleen sont pesantes, douloureuses

dans la structure syntaxique et métrique ? • Etudiez plus précisément la correspondance entre les deux termes de la figure d’analogie. • Comment le poète a-t-il exprimé le charme et la fraîcheur de la rose ? • Comment a-t-il, par les mots et le rythme, évoqué le déclin de la fleur ? • Quels termes employés pour la rose seraient plus appropriés pour parler d’une femme ? et inversement ? • Comment s’opère au cours du poème la fusion progressive de la femme et de la fleur ? • Etudiez le système

préface: Cher lecteur, J’ai toujours trouvé que définir la poésie était une chose très compliquée. Le dictionnaire nous dit «Art du langage visant à exprimer ou à suggérer par le rythme, l’harmonie et l’image». Certains diront que ce n’est qu’une accumulation de phrases qui riment plus ou moins bien et dont l’unique but est de transmettre une idée de l’auteur au lecteur. D’autres diront que la poésie ne sert à rien car le poète complique délibérément son message ce qui le rend incompréhensible

insoutenables et ne veulent plus la cacher. Prenons l'exemple de Victor Hugo dans son poème « Demain dès l'aube ». A l'intérieur, V. Hugo pleure sa fille morte noyée. Ce poème est écrit en alexandrins, cela donne donc un rythme irrégulier, comme si c'était la pluie qui tombait goutte à goutte, ce rythme s'emboîte avec le champ lexical des larmes qui lui aussi est présent, cela rappelle la tristesse de l'auteur. V. Hugo voudrait revoir sa fille, on pourrait croire qu'il a écrit ce texte pour lutter contre l'oubli

l’animal qui connote l’antithèse suivante : dans les cieux, les oiseaux en vol sont majestueux et ont une allure souveraine, mais dès qu’ils se posent au sol, ils paraissent ridicules. Les trois courtes phrases d’exclamation du troisième quatrain au rythme haché traduisent la souffrance et le désarroi de l’albatros. Ce spectacle poignant reflète l’image du poète et du monde qui l’entoure. L’albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l’oiseau. En effet, dans le dernier quatrain

ouvriers qui chantent au travail -> Bruits (qui rythment la journée) valorisés -> sonnerie des cloches distinguées comme "hymnes solennels", idée de grandeur et de noblesse. Vers 4 : "Leurs hymnes solennels emportés par le vent" Lenteur du rythme, régulier. Les mots en eux mêmes sont longs (solennels, …) On peut noter une assonance en [â] ; de plus, il est à la rime. 2) La création d'un univers magique : Métamorphose (au cours des vers) Paris réel -> Paris imaginaire, féerique, onirique

le présent et le passé. L’imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple sur les actions brève comme la mort par contre, le présent fait naitre le souvenir. Cette notion insiste sur l’impossibilité de l’homme à fixer le temps. Le rythme est vif, notamment dans les deux premières strophes, il y a absences de points et peu de coupes. Il y a des enjambements dans les vers 3, 4, 7, 8, ce qui rallongent les vers. Pour conclure, le poème est une réflexion sur le temps et une obsession

concrète. L’emploi de mots savants (stellaire, éructer) montre une recherche et permet au lecteur une ouverture sur les mots. On pourra aussi remarquer un recours au procédé épique comme l’amplification (citation de 3 noms de montagne, avec un effet de rythme croissant). Une éloquence voisine avec celle de l’humour éclate au dernier paragraphe. Ponge quitte son lecteur avec une certaine désinvolture : brisons-la qui signifie arrêtons ici, mais aussi « rompons » ce pain pour la manger. Il y a alliance d’un

mixte, un art qui s’associe avec d’autres formes artistiques. Outre l’image, la peinture, le genre poétique s’allie également avec l’art musical. Poésie et musique se sont en effet associées dès les origines de ce genre avec un travail élaboré sur le rythme et les sonorités.D’ailleurs Verlaine considère la poésie comme « de la musique avant toute chose » Néanmoins c’est à partir du XX siècle que l’on a vraiment cette notion de musique à travers le genre poétique. Faire de la poésie en chanson, c’est

utilisant le /s/ on accroche sur les mots un peu plus et on lit le poème lentement. Cela permet de prendre le temps pour lire le poème et aussi il ajoute au séduction du poème. L’allitération est un effet sonore qui aide à donner au poème un meilleur rythme et de fluidité. C’est une forme de répétition, donc il aide aussi à la musicalité de poème. On note aussi que le dernier vers de chaque strophe est le même que le premier vers de la même strophe, sauf la strophe finale. Par exemple, la deuxième strophe