Rythme

A quoi bon cela? C'est le véritable esprit du spleen." Lettre de Baudelaire à sa mère en 1857. L'ennui est présenté ici sous la forme de la dérision (v.17). # La seule immoralité promise à l'homme en proie au spleen c'est l'ennui. La sonorité, le rythme et les métaphores sont significatifs de cet ennui; rime obsédante en "é" (v.11-18). # Les métaphores: Le temps qui dure est comme un vieillard boiteux (v.15) ou comme un hiver (v.16): le mouvement est contrarié: ça n'avance pas. Le spleen est comme

titre : L’absence d’articles du titre renvoie déjà au nom propre qui se dégage du miroir ; l’homophonie à l’initiale des deux premiers mots, l’abondance de la liquide [r], ces redites en fait, participent à cette incarnation de l’Identité du poète. Le rythme n’est pas de reste : première mesure : 1 syllabe, deuxième mesure : 2, troisième : 3, avec l’ouverture de la diphtongue finale, comme un cri de victoire : la quête du moi a été accomplie. Ici, le pseudonyme devient, par la transmutation poétique,

(qui, elles aussi, visent à instruire), ou sous la plume d’auteurs tels que Arthur Rimbaud un poète qui s’amuse à réveiller les affinités anciennes entre les vers et les proverbes. Se rapprocher du sacré : Grâce à l’importance qu’elle accorde au rythme et aux jeux de sonorité, la poésie est un moyen privilégié pour déboucher sur l’incantation et la magie. À cette fin, elle est souvent associée à la musique et aux instruments de percussion. En Inde, bien des textes sacrés sont écrits et récités

européennes : Resserrement sur Paris mais le mouvement demeure : avec la gare, les immigrants qui vont en Argentine, Jersey, les fétiches de Guinée et d'Océanie... c.Enfin éclatement du vers traditionnel : des vers irréguliers mais à la fin un rythme un peu perceptible : alexandrins des v.40 et 41 des rimes « libres », souvent suivies, quelques fois croisées (29 à 31) quelque fois assonance (15 et 16, 17 et 18) des strophes inégales et les brouillons montrent qu’Apollinaire a accentué cet aspect

monde → Théorie des synesthésies n’a rien de rationnel. Elles correspondent au langage des sens qui fait écho au spirituel. → D’après Baudelaire, c’est le spirituel qui régit le monde. Le rythme du texte nous le démontre : 1er vers : montre que l’on atteint le spirituel → impression d’harmonie avec le rythme Dernier vers : imite par son harmonie rythmique l’accès au monde spirituel. 5e vers : thème de l’écho entre le monde sensible et le monde spirituel apparait. Allitération en –k et assonance

tremblement qui semble faire partie de l’essence même de ce vin), flamme, tordre, plus mouvement ondulatoire des longs cheveux. -Impression de mouvement vibratoire renforcé par  Les sonorités : allitérations en v/f, et liquides l et r ;  Le rythme ternaire du 1er vers ; enjambements sur l’hémistiche aux vers 1, 2 et 4. Atmosphère de mystères donnée. -Par le moment : la nuit et sa lumière étrange : flamme, lune ; éclairage mystérieux ; mystère des nuits de pleine lune -Chiffre magique sept

il fait écho au terme " horreur ". Des vers 114 à 116 : enjambement), le temps est égale à un ennemi, " hélas " est à l'hémistiche (moitié du vers). ( Les interrogations sans réponses : vers 113, ces 2 interrogations sont rapprochées, avec un rythme bref. Il n'y a pas de solution envisagée mis à part qu'il considère qu'il vaut mieux rester si on le peut. Les questions et les réponses sont sur le même plan. Il y a répétition de " rester " / " reste ". ( Échec du voyage, car il n'y a pas de

façon très explicite (v.35 à 38). La beauté de la jeune femme est évoquée par Queneau avec plus d'audace il détaille son anatomie avec les parties de son corps : taille , ses biceps , sa cuisse. II -L'originalité du poéme 1) Un rythme musicale 1. Le rythme particulier de Queneau fait ressembler ce texte à une chanson, ce qu'il est d'ailleurs devenu, rendu célèbre par l'interprétation de Juliette Gréco. On remarque d'emblée son aspect binaire, puisque nombre de ses expressions sont répétées

caractérisé par un adjectif dépréciatif fort ("affreux"). Ainsi, le poète traduit le sentiement d'angoisse grâce à une représentation visuelle concrète et frappante. 2.3 Un rythme discordant : Cette représentation est renforcée grâce à des effets de rythme. ◊ On observe en effet dans ce tercet de nombreuses discordances entre rythme et syntaxe. Dans le premier vers on remarque deux contre-rejets : le premier, interne, coupe la locution "avoir peur", ce qui permet de détacher le nom ; le second, externe

répètent ? "Rappelle-toi Barbara" : vers 1, 6, 11, 14, 15, 23, 29 : répétition dans la première moitié du poème. "Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là" : vers 2, 7, 46, 47. Phrases qui reviennent : font penser à un refrain. Sert à donner du rythme au poème et moyen mnémotechnique simple. b) Récit qui progresse Le poème raconte une histoire simple : schéma identique à celui d'un récit. -Situation initiale : scène de rendez-vous amoureux : vers 17-22. Scène placée sous le signe du bonheur