Réduction Dépenses Publiques

SUPERPOSITION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES, DEPENSES PUBLIQUES LOCALES ET HETEROGENEITE SPATIALE : LE CAS DES VILLES FRANÇAISES DE PLUS DE 50.000 HABITANTS Les études internationales sur les effets de la superposition montrent un effet systématique d’inflation de la dépense publique induit par la complémentarité des biens publics locaux offerts. En introduisant des différences spatiales dans les comportements de demande de bien public, on montre ici que dans le cas français, cet effet n’apparaît

TITRE 1 : La politique budgétaire Chapitre 1 : LE BUDGET ET L’ECONOMIE Introduction et définition : -Le budget est l'acte par lequel sont prévus et autorisés les dépenses et recettes annuelles de l'Etat. (1862) -Le parlement autorise ces dépenses et ces recettes mais les dépenses votées ont un caractère facultatif alors que les recettes sont obligatoirement perçues. C'est la loi de finance, qui pour chaque année civile fixe l'ensemble des ressources et des charges de l'Etat. Section

les dépenses de l’état pour une année civile. Il est constitué d'un ensemble des comptes qui décrivent toutes les ressources et toutes les charges de l'Etat et des ministères. Les recettes sont constituées essentiellement des impôts directs (impôts sur le revenu, sur les sociétés,taxe foncière…) et indirects (TVA, taxe sur les carburants). Les dépenses sont constituées : - des dépenses de fonctionnement des services publics - des dépenses d’équipement ou d’investissement - des dépenses d’intervention

Exposé sur le budget de l’Etat Intro  L'État dispose d'un budget qui lui permet d'assurer le fonctionnement des services publics. Formé des dépenses publiques et des recettes publiques, le budget constitue un instrument essentiel de la politique économique et sociale de l'État. I)Le budget de l’Etat Instrument essentiel de la politique financière des gouvernements, le budget de l’Etat (pouvant aussi être appelé projet de loi de finances) peut être défini comme l’ensemble des documents

: soit un équilibre consolidé des recettes et des dépenses sur l'année, au centime près, ou un excédent (cas du budget de l'union européenne) ; soit un équilibre du Budget de fonctionnement, autorisant un déficit pour l'investissement, financé par l'endettement (cas du budget des administrations locales en France) ; l'obligation de demeurer en dessous d'une valeur maximale pour un ou plusieurs indicateurs de déficit (déficit / PIB, dette publique / PIB) avec des mesures contraignantes en cas de

est seule sur le marché est price maker. | 10/12/09 II. POLITIQUE BUDGETAIRE Les dépenses publiques, G, varient selon le PIB. PIB=Y Y= C+I+G avec C= consommation, I= investissement. Les critères de convergence de Maastricht : -le déficit public ne doit pas dépasser 3% du PIB -la dette publique ne doit pas dépasser 60% du PIB. Aujourd’hui en France la dette publique est évaluée à 7% du PIB. Cf politique de relance de Mitterand. III. LA POLITIQUE FISCALE -Cotisations

Chapitre 1 : Le budget de l’Etat Jusque dans les années 50, le but de l’Etat était de faire marcher les services publics administratifs donc son budget correspondait à un simple document administratif comptable (recettes et dépenses). Ensuite ce fait se diversifie (ex. : objectif des politiques macroéconomique)  nécessité de chiffrer, d’avoir des supports économiques = budget devient un document de support à la politique du plus précis. Ex. : prendre une mesure fiscale Cette situation  l’ordonnance

L’évaluation des politiques publiques est un principe très en pointe dans les démocraties notamment anglo-saxonnes telles que le Royaume- Uni et les Etat- Unis, qui les premiers l’ont mise en place. Les politiques publiques sont un ensemble d’actions coordonnées et mises en œuvre par les institutions publiques et les administrations publiques. Leurs objectifs sont divers. Ils peuvent concerner l’éducation comme la sécurité ou encore le logement, le chômage.. L’évaluation de ces dernières consiste

dedépenses publiques visant à soutenir la demande et relancer la machine. Le « grandemprunt » proposé récemment par N. Sarkozy semble s’inscrire dans cette perspective.Les dépenses publiques peuvent consister en de grands travaux d’infrastructure ouencore financer l’effort de recherche et d’innovation de la nation. Selon les néoclassique, toute dépense publique se substituera à une dépense privée(principalement investissement, mais aussi consommation) : c’est l’effet d’éviction desdépenses publiques

préconisée - Les déficits publics montrent que non seulement les dépenses publiques sont importantes, mais surtout qu’elles le sont de plus en plus. - Contradiction avec la règle libérale de la bonne gestion de l’Etat en bon père de famille 3) Les interventions publiques pour relancer la demande, qui conduisent au déficit, sont inefficaces. - Théorie des anticipations rationnelles (les individus savent que l’augmentation de la dépense conduira à celle des impôts dans le futur : ils épargnent donc